Cours Climatologie l1
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Cours Climatologie l1
Climatologie : histoire du climat :Introduction : Histoire du climatPourquoi s’intéresser à l’histoire du climat ?Comprendre le fonctionnement de la « machine climatique »- Caractériser la variabilité climatique naturelle- Déterminer les processus qui pilotent cette variabilité- Etablir les interactions qui existent au sein de la machine climatique-
Quantifier la sensibilité du climat terrestre aux différents « forçage »Définitions : Le climat est la distribution statistique des conditions de l’atmosphèreterrestre pendant une période de l’année- Diffère de la météorologie par sa dimension statistique- En pratique, on définit le climat enn considérant une moyenne sur 30ansGlobal : dans une région«
latitudinal » : famille de climatsoTropicaux hulidesoTropicaux secsoSubtropicauxCf diapo Variation de la température globale depuis 1850 :Période de 30 (1960-1991) : plateau : période de référenceTout est relatif, rien n’est absoluCourbe : réchauffement climatique (fin des années 60) : - Induit en grande partie par l’activité humaine : augmentation
desémissions des gaz à effet de serre dans l’atmosphère (dû à la révolutionindustrielle) Ceci est un aperçuTu souhaites profiter d'un accès complet ? Passe au niveau Premium et débloque toutes les 3 pagesAccès à tous les documents Obtiens des téléchargements illimités Tu es déjà un membre Premium ?Pourquoi cette page est-elle floue ?Il s'agit
d'un document Premium. Deviens membre Premium pour pouvoir lire l'intégralité du document Climatologie : étude sur le long terme des variations du climat global ou local.
Un climat est défini sur une période de trente ans actuellement, mais peut concerner des temps plus longs pour les climats du passé (siècles, millénaires, etc.). Hygrométrie : mesure de l'humidité relative, correspondant à la quantité d'eau présente sous forme de vapeur dans l'air. À 100 %, il pleut. Météorologie : étude des paramètres atmosphériques
à un instant donné pour essayer de prévoir à court terme (quelques jours) les variations de ces paramètres. Nébulosité : proportion du ciel couvert par les nuages.
Un climat est défini sur une période de trente ans actuellement, mais peut concerner des temps plus longs pour les climats du passé (siècles, millénaires, etc.).
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climat global ou local. Un climat est défini sur une période de trente ans actuellement, mais peut concerner des temps plus longs pour les climats du passé (siècles, millénaires, etc.). Hygrométrie : mesure de l'humidité relative, correspondant à la quantité d'eau présente sous forme de vapeur dans l'air. À 100 %, il pleut. Météorologie : étude des
paramètres atmosphériques à un instant donné pour essayer de prévoir à court terme (quelques jours) les variations de ces paramètres. Nébulosité : proportion du ciel couvert par les nuages. Pluviométrie : mesure du volume des précipitations sur une période et une surface données. 2. MésoclimatQuand le macroclimat est modifié par des paramètres
régionaux ex.: topologie/présence de chaîne de montagne ou de cours d’eauExemple des zones montagneuses : Température baisse avec l’altitude : conséquence sur les précipitationsSoufrière en Guadeloupe : Versant EST : > 1000 L/m²/an Versant ouest < 500 L/m²/anModulation du macroclimat par phénomènes plus locaux Exemple : zones
désertiques et courants marins/montagnesRappel : Côtes Ouest des Continents => upwellings + sécheresseModulation du macroclimat par phénomènes plus locaux Exemple : zones désertiques et courants marins/montagnes3. MicroclimatClimat défini à l’échelle de quelques mètres à 100aines de mètresEchelle des climats :Si on réduit encore
l’échelle : micro climatMax de temp au point bMax et min de temp au point c, ces max de temp sont bcp plus bas que ceux du point b2 périodes : gel / plus chaudeSur de petites zones : climats complètemt difFaune : on ne parle pas forcemt de mégapoleBiomasse : il ne représente pas grand- choseMacrofaune : arthropode Plantes : 65-90% Méduses :
95-99% Graines : 1%Excepté les formes de résistances ou de stockage, tout être vivant a besoin d’eau pour vivreLes éléments chimiques dans les organismes vivants : Hommes : 66% d’ eau (H 2 O) Environ 50% de la matière organique est du carbone (C) Azote (N) : constituants des protéines (structure et métabolisme = enzymes) Calcium (Ca) +
Phosphore (P) : os des vertébrés Reste du P : membranes en phospholipides , énergie (ATP) et matériel génétique (ADN/ARN)A la base, l’énergie pour les organismes vivants est d’origine solairePhotosynthèse : mécanisme de base de l’intégration de l’énergie -> synthèse de matière organique :3 modes de récupération de l’énergie/métabolisme
énergétique sur Terre : Les organismes autotrophes : matière minérale + source d’NRJ = matière organique Les org hétérotrophes : matière organique = matière organique Les org mixotrophes : matière org et/ou matii-re minérale + source d’NRJ = matière organiqueCasser les liaisons chimiques permet de libérer l’énergie pour la récupérer1g de
glucose = 16kJAu cours des temps géologiques, apparition sur Terre d’une grande diversité d’organismes vivants autour de ces 3 modalités de métabolisme énergétique. Les sciences de la vie permettent notamment d’étudier cette diversitéLa taille de l’écosystème doit être définie par l’observateur, plus l’écosystème est grand, plus les paramètres à
prendre en compte sont grandsExemple : pour étudier une forêt : il faut fixer des limites et la bornéeEcosystème = Biotope + BiocénoseEnvironnement physico-chimique organisme vivants2) Les grands types d’écosystèmes :Eau tamponne fortement les variations de température, donc contraintes macro climatiquesmoins importantes qu’en terrestre :
Disponibilité en eau pas limitante, mais nécessité de maintient composition interne malgré la salinité du milieu Limitations qualité/quantité de lumière Limitation en oxygèneChaleur spécifique de l’eau très importante (1 calorie = quantité de chaleur nécessaire pour augmenter de 1°C la température de 1g d’eau à 15°C)Inertie thermique 4 fois plus
forte que celle de l’airAmplitude annuelle de la température de l’eau rarement supérieure à 20°C, alors que celle de l’air est de l’ordre de 40°CLa salinité des eaux varie entre 0 et 40 L-1 (voir plus dans les milieux hypersalins) : Exemple : Branchies de poisson, son système d’échange passif d’oxygène entre eau et sangNécessité de maintenir la
pression osmotique du sang constante (homéostasie)Contraintes : Dans milieu salé, éviter perte d’eau du sang Dans milieu peu/pas salé : éviter pertes de sels depuis le sangNotions de bassin versant : aire dans laquelle toutes les eaux sont collectées vers un cours d’eau.Plus pertinent pour comprendre le fonctionnement du cours d’eau car prend en
compte les surfaces drainées Littoraux (lagunes, estuaires, mangroves) o Zones avec une forte diversité biologique o Eau saumâtre, transition eau douce et mer = adaptations des espèces aux changements fréquents de salinité Marins : o Marins pélagiques : colonne d’eau o Marins benthiques : fond des écosystèmes aquatiques Province néritique :
partie d’océan qui s’étend au-dessus du plateau continental jusqu’au niveau du talus continental Essentiel de la diversité biologique dans la province néritique, notamment dans la zone littorale soumise aux maréesEmbrun : poussière de gouttelettes formée par les vagues qui se brisent, et emportée par le ventEstran : zone de balancement des marées
soumis à des variations de : Humidité : eaux salées ou douces Températures : fonction du niveau d’eau Lumière : idemPlus la taille de la zone de balancement des marées est grande, + la diversité biologique est élevée. Phénomènes des marées, plus ou moins importants selon : La position de la terre, le soleil et la lune Amplification du phénomène
par découpage des côtes : efet « entonnoir »Zone pélagique : souvent qualifiée de « désert » biologique car peu de biomasseDiversité biologique surtout liée à la pénétration de la lumière dans l’eau et richesse en nutriments :b. Les écosystèmes terrestres :Air tamponne peu les variations de température, donc contraintes climatiques primordialesLes
grands biomes continentaux : répartis surtout en fonction de la pluviosité et de la températureGrandes zones macroclimatiques (pluviosité et température) définissent des grands ensembles végétaux auxquels sont associés des animaux et microorganismes : les biomesLes écosystèmes de montagne présentent des profils proches de ceux des diférents
biomes, la T°C étant modulée par l’altitude. Baisse d’environ 1°C tous les 150m Les grands facteurs climatiques jouant sur la répartition des espèces De nombreux facteurs afectent la répartition et l’abondance des espèces : Les facteurs climatiques Autres facteurs abiotiques o Facteurs édaphiques en milieux terrestres (cad qualité des sols) o
Facteurs hydrologiques en milieux aquatiques Les facteurs biotiquesChaque espèce possède ses propres capacités de résistance à des paramètres climatiques.
Climatologie : histoire du climat :Introduction : Histoire du climatPourquoi s’intéresser à l’histoire du climat ?Comprendre le fonctionnement de la « machine climatique »- Caractériser la variabilité climatique naturelle- Déterminer les processus qui pilotent cette variabilité- Etablir les interactions qui existent au sein de la machine climatique-
Quantifier la sensibilité du climat terrestre aux différents « forçage »Définitions : Le climat est la distribution statistique des conditions de l’atmosphèreterrestre pendant une période de l’année- Diffère de la météorologie par sa dimension statistique- En pratique, on définit le climat enn considérant une moyenne sur 30ansGlobal : dans une région«
latitudinal » : famille de climatsoTropicaux hulidesoTropicaux secsoSubtropicauxCf diapo Variation de la température globale depuis 1850 :Période de 30 (1960-1991) : plateau : période de référenceTout est relatif, rien n’est absoluCourbe : réchauffement climatique (fin des années 60) : - Induit en grande partie par l’activité humaine : augmentation
desémissions des gaz à effet de serre dans l’atmosphère (dû à la révolutionindustrielle) Ceci est un aperçuTu souhaites profiter d'un accès complet ? Passe au niveau Premium et débloque toutes les 3 pagesAccès à tous les documents Obtiens des téléchargements illimités Tu es déjà un membre Premium ?Pourquoi cette page est-elle floue ?Il s'agit
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mesure de l'humidité relative, correspondant à la quantité d'eau présente sous forme de vapeur dans l'air. À 100 %, il pleut.
Météorologie : étude des paramètres atmosphériques à un instant donné pour essayer de prévoir à court terme (quelques jours) les variations de ces paramètres. Nébulosité : proportion du ciel couvert par les nuages. Pluviométrie : mesure du volume des précipitations sur une période et une surface données. 2. MésoclimatQuand le macroclimat est
modifié par des paramètres régionaux ex.: topologie/présence de chaîne de montagne ou de cours d’eauExemple des zones montagneuses : Température baisse avec l’altitude : conséquence sur les précipitationsSoufrière en Guadeloupe : Versant EST : > 1000 L/m²/an Versant ouest < 500 L/m²/anModulation du macroclimat par phénomènes plus
locaux Exemple : zones désertiques et courants marins/montagnesRappel : Côtes Ouest des Continents => upwellings + sécheresseModulation du macroclimat par phénomènes plus locaux Exemple : zones désertiques et courants marins/montagnes3. MicroclimatClimat défini à l’échelle de quelques mètres à 100aines de mètresEchelle des climats :Si
on réduit encore l’échelle : micro climatMax de temp au point bMax et min de temp au point c, ces max de temp sont bcp plus bas que ceux du point b2 périodes : gel / plus chaudeSur de petites zones : climats complètemt difFaune : on ne parle pas forcemt de mégapoleBiomasse : il ne représente pas grand- choseMacrofaune : arthropode Plantes :
65-90% Méduses : 95-99% Graines : 1%Excepté les formes de résistances ou de stockage, tout être vivant a besoin d’eau pour vivreLes éléments chimiques dans les organismes vivants : Hommes : 66% d’ eau (H 2 O) Environ 50% de la matière organique est du carbone (C) Azote (N) : constituants des protéines (structure et métabolisme =
enzymes) Calcium (Ca) + Phosphore (P) : os des vertébrés Reste du P : membranes en phospholipides , énergie (ATP) et matériel génétique (ADN/ARN)A la base, l’énergie pour les organismes vivants est d’origine solairePhotosynthèse : mécanisme de base de l’intégration de l’énergie -> synthèse de matière organique :3 modes de récupération de
l’énergie/métabolisme énergétique sur Terre : Les organismes autotrophes : matière minérale + source d’NRJ = matière organique Les org hétérotrophes : matière organique = matière organique Les org mixotrophes : matière org et/ou matii-re minérale + source d’NRJ = matière organiqueCasser les liaisons chimiques permet de libérer l’énergie
pour la récupérer1g de glucose = 16kJAu cours des temps géologiques, apparition sur Terre d’une grande diversité d’organismes vivants autour de ces 3 modalités de métabolisme énergétique. Les sciences de la vie permettent notamment d’étudier cette diversitéLa taille de l’écosystème doit être définie par l’observateur, plus l’écosystème est grand,
plus les paramètres à prendre en compte sont grandsExemple : pour étudier une forêt : il faut fixer des limites et la bornéeEcosystème = Biotope + BiocénoseEnvironnement physico-chimique organisme vivants2) Les grands types d’écosystèmes :Eau tamponne fortement les variations de température, donc contraintes macro climatiquesmoins
importantes qu’en terrestre : Disponibilité en eau pas limitante, mais nécessité de maintient composition interne malgré la salinité du milieu Limitations qualité/quantité de lumière Limitation en oxygèneChaleur spécifique de l’eau très importante (1 calorie = quantité de chaleur nécessaire pour augmenter de 1°C la température de 1g d’eau à
15°C)Inertie thermique 4 fois plus forte que celle de l’airAmplitude annuelle de la température de l’eau rarement supérieure à 20°C, alors que celle de l’air est de l’ordre de 40°CLa salinité des eaux varie entre 0 et 40 L-1 (voir plus dans les milieux hypersalins) : Exemple : Branchies de poisson, son système d’échange passif d’oxygène entre eau et
sangNécessité de maintenir la pression osmotique du sang constante (homéostasie)Contraintes : Dans milieu salé, éviter perte d’eau du sang Dans milieu peu/pas salé : éviter pertes de sels depuis le sangNotions de bassin versant : aire dans laquelle toutes les eaux sont collectées vers un cours d’eau.Plus pertinent pour comprendre le fonctionnement
du cours d’eau car prend en compte les surfaces drainées Littoraux (lagunes, estuaires, mangroves) o Zones avec une forte diversité biologique o Eau saumâtre, transition eau douce et mer = adaptations des espèces aux changements fréquents de salinité Marins : o Marins pélagiques : colonne d’eau o Marins benthiques : fond des écosystèmes
aquatiques Province néritique : partie d’océan qui s’étend au-dessus du plateau continental jusqu’au niveau du talus continental Essentiel de la diversité biologique dans la province néritique, notamment dans la zone littorale soumise aux maréesEmbrun : poussière de gouttelettes formée par les vagues qui se brisent, et emportée par le ventEstran :
zone de balancement des marées soumis à des variations de : Humidité : eaux salées ou douces Températures : fonction du niveau d’eau Lumière : idemPlus la taille de la zone de balancement des marées est grande, + la diversité biologique est élevée. Phénomènes des marées, plus ou moins importants selon : La position de la terre, le soleil et la
lune Amplification du phénomène par découpage des côtes : efet « entonnoir »Zone pélagique : souvent qualifiée de « désert » biologique car peu de biomasseDiversité biologique surtout liée à la pénétration de la lumière dans l’eau et richesse en nutriments :b. Les écosystèmes terrestres :Air tamponne peu les variations de température, donc
contraintes climatiques primordialesLes grands biomes continentaux : répartis surtout en fonction de la pluviosité et de la températureGrandes zones macroclimatiques (pluviosité et température) définissent des grands ensembles végétaux auxquels sont associés des animaux et microorganismes : les biomesLes écosystèmes de montagne présentent
des profils proches de ceux des diférents biomes, la T°C étant modulée par l’altitude. Baisse d’environ 1°C tous les 150m Les grands facteurs climatiques jouant sur la répartition des espèces De nombreux facteurs afectent la répartition et l’abondance des espèces : Les facteurs climatiques Autres facteurs abiotiques o Facteurs édaphiques en milieux
terrestres (cad qualité des sols) o Facteurs hydrologiques en milieux aquatiques Les facteurs biotiquesChaque espèce possède ses propres capacités de résistance à des paramètres climatiques.
Définit la niche écologique de l’espèceChaque espèce est soumise à plusieurs contraintes, notamment climatiques, en même temps. La niche peut donc être représentée en 2 ou 3 dimensionsCertaines espèces possèdent des capacités de résistance élevées à un facteur écologique, d’autres y sont très sensiblesPrincipaux facteurs climatiques
susceptibles d’impacter les espèces : Température & pluviosité Lumière Vent/neige La climatologie est la science des climats. Le climat est l'ambiance atmosphérique constitué par la seris des états de l'atmosphère au dessus d'un lieu dans leurs succession habituel.A. Phénomènes mesurés1. Température*En Altitude --Elle se mesure comme étant la
température de l'air. Cette température sont les plus dans des désert chaud (Sahara 57°, désert de Thar 52°) -Les température de l'air minimum on été relevé en arctique ( Vostok -88°) *Au sol 78° dans le Sahara Mesure biquotidienne: température la plus forte et la température la plus faible, la différence entre la température max et la température
min est l'amplitude thermique journalière. Ces température permet d'établir des normals: des moyennes calculées sur 1O ansRégime thermique c'est une courbe annuels des moyennes mensuels. C'est régime thermique nous permettent d'observer l'amplitude thermique annuels( différence entre le max et le min du régime thermique)Le gradient
thermique: la température décroît avec l'altitude: 0,6° tous les 100m2. L'eau atmosphériqueL'atmosphère contient de l'eau sous trois aspects: la vapeur d'eau ( invisible), les nuages et brouillards (fine gouttelette d'eau en suspension dans l'air ) et la précipitation ( liquide, lourde et tombe),a'hygrométrieMesure de l'humidité de l'air ( de la vapeur
d'eau) *humidité absolue: quantité de vapeur d'eau dans 1m cube d'aire Ex: air sibérien 0,03, polaire 30 g/m3 dans l'air très chaud *humidité relative: rapport entre l'humidité absolue et la capacité de contenance de l'air Ex: brouillard 100%, 2% dans le désert, à Paris 60à 90% C'est la probabilité qu'il se mettent à pleuvoir.b nébulositéC'est la
proportion de la coupole céleste, qui est couverte de nuage c'est le contraire de l'insolation *insolation: mesure qui mesure la duré en jour et heure d'ensoleillementc. les précipitationsQuand les nuage vont donner de la pluie. C'est la quantité d'eau atmosphérique qui tombe à la surface du sol sous forme de pluie la plupart du temps ou de neige, de
grêle, de grésille. Elle est mesuré en millimètre à l'année, ou par mois, Le maximum de précipitation dans le monde est observé dans une ville du bangladesh: Cherrapunji 11000 mm/an, don’t 3000 pour le mois de juillet (mousson) Ce mesure avec le pluviomètre, pluviograhe et la neigenivoètre *le régime pluviométrique: c'est la répartition des
précipitations sur les 12 mois de l'année, ils s'exprime sous forme de diagramme sur lequel on peut lire l'irrégularité des précipitations, alternance de saison sèche et saison des pluis dans la zone3. La dynamique de l'aira. la pression atmosphériqueExprime la pression exercé sur les masse d'aire cette pression est mesuré grâce au baromètre en
millibar (force qui s'exerce sur une surface &cm² La pression de l'air est comprise entre deux valeur: max 1070 mb (sibérie en hiver, haute pression) et 890 mb (basse pressions de cyclones tropicaux 1013 mb de moyenne. La pression de l'air décroît avec l'altitudeb. la direction du ventTransfert de masse d'air qui va des hautes pression vers les basses
pression. Ce vent est mesuré par sa vitesse, qui peut être très élevé à la surface du sol 250 km/h ( cyclone tropicaux) ou 500 km/h en altitude La vitesse du ventre est réduite au sol par les aspérités du sol (forêts, montagne, colline, végétation)Diagrammes ombrothermiques: permette de voir les alternances saisonnières, saison chaid/froide, saison
sèche/pluie. Permet d'observer la sécheresse. (le déficit ou manque de précipitation) par rapport à la chaleur qui entraîne une évaporation de l'eau. Ce n'est visible sur le graphique que si les échelles respect cette règle: P=2T échelle des précipitation= 2*l'échelle des températuresB'atmosphère et les masses d'air1 structure thermique verticale de
l'atmosphèreLa température varie si on s'éloigne verticalement de l'atmosphère.a'atmosphère est divisé en 4 stratesCes strates thermiques sont délimité par les paliers qui corresponde à des inversions thermiques *la troposphère: de l'altitude 0 jusqu'à 12 km d'altitude. La température décroît d'environ 20 degrés à -60°. Cette troposphère est limité
en altitude par un palier: la tropopause. La troposphère estC)Les facteurs intrinsèquesC'est l'apport solaire en chaleurs. Le soleil apporte toujours la même quantité, la constante solaire. *La réception calorifique au sol: le sol ne reçois pas tous en effet 42% du flux calorifique sont réfléchie par l'atmosphère. La perte d'énergie est d'autant plus grande
que les rayon arrive obliquement et que l'atmosphère est épaisse c'est pour cela qu'il fait froid au pôle. Dans la zone intertropical ou les rayon arrive directement, il fait beaucoup plus chaud: en effet dans la zone chaude l'apport calorifique est plus fort, 0°de latitude (équateur) la réception est de 380 calorie/j/cm à 20°L de 420 cal/j/cm², en revanche a
60°L de 200 cal/j/cm² *le relief joue sur la température de l'air a cause:- du gradient thermique (0,6° tous les 100m) -de l'exposition des versant au soleil (versant exposé au sud: adret/ versante exposé au nord: ubac) -le substratum: la surface de la terre (la roche) présente une capacité varier d'accumulation (d'énergie) dans la journée elle est chauffé
ou surchauffé par le soleil et dans la nuit cette chaleur va se dissiper Ceci explique l'amplitude thermique journalière (plus chaud la journée et plus froid la nuit), elle se mesure avec l'albédo. C'est le % du rayonnement réfléchie par le substrat par rapport au rayonnement reçu). L plafond nuageux renvoie 60 à 90% de cette chaleur, la neige renvoie
85% de la chaleur, le sable sec en renvoie 34% , forêt de feuillus renvoie que 0,04%.( Plus c'est clair plus ça renvoie) *l'eau absorbe beaucoup plus de chaleur que la terre. C'est pour cela que l'amplitude thermique journalière est beaucoup plus faible près des océan.D)Les facteurs extrinsèques de la températureTransfert de température liée à la
circulation des masses d'air, l'air tropical est un air chaud L'air tropical maritime est un air chaud et humide et il s'appelle les alizés ( vent qui va des tropic à l'équateur) inversement l'air polaire est un air froid1 pression atmosphérique et les ventsa champs de pressionCe sont des Individus isobariques (individus de pression) ou centre d'action qui
peuvent être de 2 types: -les anticyclones (pression supérieur à 1015 mb) noter H sur la carte -dépression (ou aires cyclones) basse pression tournant dans le sens cyclonique noter L sur la carteAu sol à basse altitude nous avons 5 cellules de haute pression permanente sur les océans : 3 dans l'hémisphère sud(océan atlantique, indien, pacifique), 2
dans l'hémisphère nord (océan atlantique, pacifique).
Au dessus des contient les cellules de haute pression sont saisonnière: (anticyclone sibérien). En altitude : croit des pôle jusqu'à l'équateurb.
La circulation atmosphériqueLe vent se dirige toujours des hautes pression vers les basses pressions. Sa vitesse est réduite au sol de 30 à 50% du fait des aspérités. Ce vent ne circule jamais tout doit: dévié sur sa droite dans l'hémisphère nord et sur sa gauche dans l'hémisphère sud , du fait de la force de Coriolis (fait que la terre tourne). Les
contraste thermiques peuvent déterminer des vents localisés. Par exemple la brise de mer et le brise de terre qu'on observe sur les côtes, lorsque le matin et le soir la terre est plus froide ou plus chaude que la mer. Vent thermique locaux que l'on retrouve en montagne entre les vallée et les sommets. Les vents sont marqué à la surface du globe par
des grand flux zonaux: -dans la zone tempéré: westerlies (ou vent d'ouest) qui sont issues des hautes pression tropicals et aspiré vers les basse pressions polaires -les alizés circule dans la CIT ( zone de convergence intertropicale) depuis les haute pression vers l'équateur, ce sont les Trade winds. En haute altitude nous avons un flux continu (jet
stream) souffle à 400 km/h a 150000 m d'altitude entre 35 et 45°L et qui comprime les masses d'airs situé en dessous. Nous observons 2 types de vents qui traverse ces zones climatiques, ils sortent de leurs territoire habituels.: -les cyclones tropicaux: ont lieux en automne et ils vont remonter vers les hautes latitudes -les décharge polaire:
échappé/vancé d'air froid l'hivers qui peuvent aller du pôle nord jusqu'à la méditerranée. -la mousson d'été: une inversion saisonnière de grande ampleur de cette circulation, elle est liée à la déviation des alizés au moment ou ils passent l'équateur, à la déviation du jet stream au nord de la barrière himalayenne, l'oscillation saisonnière de la CIT. En
juillet la ZCIT passe au nord l'équateur et en janvier elle est au sud de l'équateur.c. les effets de la circulation atmosphérique sur la circulation océanique.Les vents ont tendance a entraîné avec eux l'eau des océans. *Courant océanique:- la dérive d'ouest, c'est un courant de l'océan australe qui passe au sud -les courants chaud dans la zone
intertropical suivent les alizés -ils se prolonge dans la zone tempéré par le courant chaud: -Le Kuro Shivo ( longe les côtes du japon) -le Gulf stream (longe les côtes nord américaine et arrive en europe.) Ces courants chaud, longe les continent sur le côté est. Inversement du côté ouest des continents les courant sont froid: courant de californie,
courant de Humboldt, courant des canaries, courant ouest Australien, courant Bangalore. Il provoque une évaporation moins forte des océans, donc des précipitation moins abondante et de l'aridité. Opposition entre les façade est ou ouest des continents.Localement des mouvement verticaux de l'eau sont observable, c'est le phénomène de
l'Upwelling: lorsque le vent souffle du continent vers la mer, il repousse l'eau de surface, chauffé par le soleil, vers le large, qui est compensé par une remontée d'eau froide. (côte du maroc et de mauritanie, côte de la Namibie, chili et Pérou.Effet climatiqueConclusion: Il y a deux grande famille de climats:=> les climats zonaux: zone en terme de
latitude A) Zone de convergence intertropicale (zone chaude) 1. Domaine équatorial: pluie constante tout l'année, qui sont lié a la convergence des alizés et qui vont permettre chaleur et humidité. 2. Domaine tropical humide: marqué par une alternance saison pluie et sèche, avec saison de pluie longue pour permettre au arbre de pousser. (savane
arboré) B) domaine tropical aride et semi-aride: climat tropical sec, air sable peu humide situation de aréisme. 1. Domaine aride (<250 mm/an) et hyper aride (<50 mm/an) 2. Domaine semi-aride (<500 mm/an): milieu steppique C) Domaine tempéré 1. Climat océanique tempéré: vent d'ouest pluies du front polaire (ascendant frontal toute l'année,
moins en été car la mer est plus fraîche qu'à l'air. 2. Climat tempéré continental: subsidence hivernal sec et froid, ete précipitation de convection 3. Climat méditerranéen:Tempéré caractérisé par des pluie qui tombe en automne et au printemps, mais une sécheresse d'été. Végétation:maquis/garrigue 1. Domaine subarctique et polaire Haute latitude,
anticyclone sibérien, masse d'air froide, hivers long et froid, précipitation faible hygrométrie faible, nivosité faible, pergélisol(sol gelée en permanence) Forêt boréal ou taïga (s'adapte au froid: conifère) ToundraNB: il y a des climat qui ne rentre pas dans cette hiérarchisation: climat azonaux: climat qui ne corresponde pas à la zone climatique où il se
situe *montagne(altitude) , face oriental( ( façade est du continent reçoive des précipitation tropical alors qu'ils sont en zone tempéré), mousson(climat de mousson dû au déplacement vers les latitudes moyenne de la zone de convergence intertropical).