06 Annexe1 Fiche Toxicologique NH3 FT 16 INRS
06 Annexe1 Fiche Toxicologique NH3 FT 16 INRS
06 Annexe1 Fiche Toxicologique NH3 FT 16 INRS
Formule :
NH 3 ( Ammoniac ), NH 4 OH ( Ammoniaque )
Substance(s)
Nom Détails
Numéro CE 231-635-3
Numéro CE 215-647-6
AMMONIAC ANHYDRE
Danger
H221 - Gaz inflammable
Les conseils de prudence P sont sélectionnés selon les critères de l'annexe 1 du réglement CE n° 1272/2008.
231-635-3
007-001-01-2 – Ammoniaque... (≥
25 %)
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Caractéristiques
Industrie du froid.
Fabrication des engrais.
Pétrole et carburants.
Traitement des métaux.
Synthèse organique.
Industrie des fibres textiles.
Produits d’entretien.
Industrie du papier.
Propriétés physiques
[1 à 4, 9]
L’ammoniac est un gaz incolore à odeur piquante, plus léger que l’air. Il se liquéfie facilement.
L’ammoniac est très soluble dans l’eau (33,1 % en poids à 20 °C). La dissolution s’accompagne d’un dégagement de chaleur. Les solutions obtenues sont connues sous
le nom d’ammoniaque.
La limites d’explosivité de l'ammoniac dans l’oxygène (% en volume) est de 15,5 % pour la limite inférieure et de 79 % pour la limite supérieure.
Propriétés chimiques
[1 à 8]
À température ordinaire, l’ammoniac est un composé stab le. Sa dissociation en hydrogène et azote ne commence que vers 450 - 550 °C. En présence de certains
métaux comme le fer, le nickel, l’osmium, le zinc et l’uranium, cette décomposition commence dès 300 °C et est presque comp lète vers 500 - 600 °C.
L’ammoniac brûle à l’air au contact d’une flamme en donn ant principalement de l’azote et de l’eau.
L’ammoniac réagit, généralement violemment, sur de nombreux oxydes et peroxydes.
Les halogènes (fluor, chlore, brome, iode) réagissent vivement sur l’ammoniac et ses solutions aqueuses.
Des réactions explosives peuvent également se former avec l’aldéhyde acétique, l’acide hypochloreux, l’hexacyanoferrate (3 - ) de potassium.
La plupart des métaux ne sont pas attaqués par l’ammon iac rigoureusement anhydre. Toutefois, en présence d’humidité, l’ammoniac, gazeux ou liquide, attaque
rapidement le cuivre, le zinc et de nombreux alliages, particulièrement ceux qui contiennent du cuivre. Il agit également sur l’or, l’argent et le mercure en donnant
des composés explosifs.
Certaines catégories de plastiques, de caoutchoucs et de revêtements peuvent être attaquées par l’ammoniac liquide.
Récipients de stockage
Le stockage de l’ammoniac s’effectue généralement dans des récipients en acier.
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Substance Pays VME (ppm) VME (mg/m³) VLCT (ppm) VLCT (mg/m³)
Incendie - Explosion
L’ammoniac, gaz relativement peu inflammable, peut former des mélanges explosifs avec l’air dans les limites de 15 à 28 % en volume.
Le contact de l’ammoniac avec certains produits tels que le mercure, les halogènes, le calcium, l’oxyde d’argent... est une source d’incendies et d’explosions.
Les feux provoqués par l’ammoniac sont difficiles à éteind re ; les agents d’extinction préconisés sont le dioxyde de carbone et les poudres.
Il faut refroidir les récipients voisins exposés au feu en les arrosant avec de l’eau pour éviter les risques d’explosion.
Pathologie - Toxicologie
Toxicocinétique - Métabolisme
[4, 12]
L'ammoniac agit localement et son absorption semble peu importante. Son métabolisme a été peu étudié.
Chez l'animal
Au contact avec l’humidité, l’ammoniac est rapidement transformé en ammoniaque responsable de l’attaque caustique de la peau et des muqueuses. La pénétration
du gaz dans l’arbre respiratoire a été étudiée chez l’animal et chez l’homme. La plus grande partie de l’ammoniac inhalé est retenue (transformée en ammoniaque)
au niveau des voies aériennes supérieures. Chez le lapin, lorsque la concentration atmosphérique est de 2000 ppm, celle mesurée au niveau de la trachée n’est plus
que de 100 ppm.
L’absorption digestive, respiratoire ou percutanée de l’ion ammonium formé par la combinaison d’ammoniac et d’eau n’a pas fait l’objet d’étude. L’absorption d’ions
ammonium est certainement faible. Elle n’est jamais responsable d’hyperammoniémie. Les ions ammonium absorbés sont transformés en urée et servent à la syn‐
thèse des acides aminés. L’excrétion est surtout rénale (il existe également une faible élimination sudorale).
Toxicité expérimentale
Toxicité aigüe
[4, 12 à 15]
Elle se traduit par un effet caustique au niveau de la peau et des muqueuses oculaires, digestives et respiratoires. L'importance des lésions dépend de la
concentration et du temps de contact.
La DL50 par voie orale chez le rat est de 350 mg/kg et chez le chat de 750 mg/kg.
La CL50, par inhalation, chez le rat est de 7600 mg/m 3 , pour une exposition de 2 heures.
Chez la souris, la CL50 varie de 10 150 ppm pour une exposition de 10 minutes à 4837 ppm pour 1 exposition de heure ; elle est de 3310 mg/m 3 pour 2 heures.
L’exposition à de fortes concentrations d’ammoniac prod uit une irritation intense, puis des lésions caustiques des muqueuses oculaires, des voies respiratoires et de
la peau. À l’autopsie des animaux, on constate des ulcérations des épithéliums oculaires et respiratoires, un œdème aigu pulmonaire hémorragique et, parfois, des
atélectasies. La rétention de l’ammoniac dans les voies aériennes supér ieures est importante : les lésions hautes sont toujours plus importantes que les atteintes
bronchiolaires et alvéolaires. Chez les survivants, les séquelles oculaires définitives (opacité cornéenne, cécité) sont fréquentes.
L’administration orale de solutions aqueuses d’ammoniac est responsable de lésions caustiques du tube digestif (ulcérations, hémorragies, perforations).
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L’administration orale de solutions aqueuses d’ammoniac est responsable de lésions caustiques du tube digestif (ulcérations, hémorragies, perforations).
L’ammoniac et ses solutions aqueuses sont caustiques pour la peau et les muqueuses ; la gravité des lésions prod uites dépend de la quantité de la solution
appliquée, de la concentration et du temps de contact. Les lésions oculaires sont particulièrement sévères, les ulcérations conjonctivales et cornéennes
s’accompagnent presque toujours d’une iritis et, parfois, d’un glaucome. À terme, les séquelles invalidantes (opacités cornéennes, cataracte, glaucome) sont
fréquentes. Les solutions hautement alcalines (pH > 11,5) sont très irritantes.
Quelle que soit la voie d’administration, l’intoxication systémique par l’ion ammonium ne semble pas participer au tableau observé.
L'exposition répétée provoque une irritation oculaire mais surtout respiratoire chronique (bronchite chronique).
L’exposition répétée ou prolongée à l’ammoniac est responsable d’une irritation oculaire et respiratoire dans toutes les espèces testées. Elle apparaît dès 100 ppm. À
concentration constante, lorsque l’exposition est poursuiv ie, une tolérance apparaît : les signes d’irritation s’amend ent ou disparaissent. En raison de la forte
rétention de l’ammoniac par les voies aériennes supérieures, les lésions sont toujours plus marquées à ce niveau. L’irritation chron ique de l’arbre respiratoire
favorise le développement d’infections broncho-pulmonaires.
Les signes d’intoxication systémique sont toujours discrets ou absents : élévation modérée de l’urée sanguine, vraisemblablement secondaire à l’absorption de l’ion
ammonium.
Effets génotoxiques
Pas de donnée disponible.
Effets cancérogènes
Pas de donnée disponible.
Toxicité aiguë
[4, 12, 15, 17 à 21]
L’ingestion d’une solution concentrée d’ammoniaque (pH > 11,5) est immédiatement suivie de douleurs buccales, rétrosternales et épigastriques. Les vomissements
sont fréquents ; ils sont habituellement sanglants. L’examen de la cavité buccopharyngée révèle, presque toujours, des brûlures sévères. La fibroscopie
œsogastroduodénale permet de faire le bilan des lésions caustiques du tractus digestif supérieur. Le bilan biologique révèle une acidose métabolique et une
élévation des enzymes tissulaires témoignant de la nécrose. L’hyperleucocytose est constante. Les complications pouvant survenir dans les jours suivant l’ingestion
sont :
des hémorragies digestives,
des perforations œsophagiennes ou gastriques,
un choc secondaire à une hémorragie abondante ou à une perforation,
une acidose métabolique intense et/ou une coagulation intravasculaire disséminée (évoquant une nécrose étendue ou une perforation),
une détresse respiratoire révélant un œdème laryngé, une destruction du carrefour aérodigestif, une pneumop athie d’inhalation ou une fistule œsotrachéale.
L’évolution ultérieure est dominée par le risque de constitution de sténoses digestives.
L’exposition à l’ammoniac provoque, immédiatement, une irritation des muqueuses oculaires et respiratoires. À concentrations élevées, on observe :
une irritation trachéobronchique : toux, dyspnée asthmatiforme ; le bronchospasme est parfois intense, responsable d’emblée d’une détresse respiratoire,
une atteinte oculaire : larmoiement, hyperhémie conjonctivale, ulcérations conjonctivales et cornéennes, iritis, cataracte, glaucome,
des brûlures chimiques cutanées au niveau des parties découvertes,
des ulcérations et un œdème des muqueuses nasale, oropharyngée et laryngée.
À court terme, le pronostic dépend de l’évolution des troub les respiratoires : bronchospasme et œdème laryngé, puis œdème aigu pulmonaire lésionnel (survenant
habituellement entre la 6 ième et la 24 ième heure, après une phase de rémission apparente). Secondairement, l’hypersécrétion bronchique et la desquamation de la
muqueuse sont resp onsables d’obstructions tronculaires et d’atélectasies ; la surinfection bactérienne est habituelle.
Les séquelles respiratoires (sténoses bronchiques, bronchiolite oblitérante, bronchectasies, fibrose pulmonaire) et oculaires (opacités cornéennes, cataracte,
glaucome) sont fréquentes.
Les projections cutanées et oculaires d’ammoniaque sont responsables de lésions caustiques locales sévères, si une décontamination n’est pas rapidement réalisée.
En cas de projection oculaire, les séquelles (opacités cornéennes, iritis, glaucome, cataracte) sont fréquentes.
Toxicité chronique
[4, 22, 23]
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L’exposition prolongée et répétée à l’ammoniac entraîne une tolérance : l’odeur et les effets irritants du gaz sont perçus à des concentrations plus élevées
qu’initialement (le seuil de perception olfactif de l’ammoniac est très variable : quelques dixièmes de ppm à plus de 100 ppm).
Les effets de l’ammoniac sur la fonction respiratoire des travailleurs exposés au long cours ne semblent avoir fait l’objet que d’une étude ; la population était de petite
taille (41 personnes), exposée depuis en moyenne 16 ans à l’ammoniac et à de brutales variations de température. Les concentrations atmosphériques du gaz ne
sont pas précisées. Les seules anomalies constatées sont des dimin utions (non significatives) de la capacité vitale et du VEMS.
Deux cas d’éruptions urticariennes chez des personnes exposées à des concentrations d’ammoniac élevées ont été décrites. Il n’est pas possible d’être certain du
mécan isme allergique de ces manifestations.
Effets cancérogènes
[4, 24]
Un cancer de la cloison nasale est survenu après une brûlure par un mélange d’ammoniaque et d’huile. Il est impossible de faire la part de la responsabilité de
l’ammon iaque dans la génèse de la tumeur.
Selon une équipe de la République démocratique allemande, la mortalité et l’incidence des tumeurs cancéreuses pulmonaires, laryngées, urinaires, gastriques et
lymphoïdes étaient élevées dans une usine où l’ammoniac et des amines étaient manipulés. La publication est trop imprécise pour que la responsabilité de
l’ammoniac puisse être déterminée.
Réglementation
Rappel : La réglementation citée est celle en vigueur à la date d'édition de cette fiche : 2007
Les textes cités se rapportent essentiellement à le prévention du risque en milieu professionnel et sont issus du Code du travail et du Code de la sécurité sociale. Les
rubriques "Protection de la population" , "Protection de l'environnement" et "Transport" ne sont que très partiellement renseignées.
Cuves et réservoirs
Article R. 4224-7 du Code du travail.
Entreprises extérieures
Article R. 4512-7 du Code du travail et arrêté du 19 mars 1993 ( JO du 27 mars 1993) fixant la liste des travaux dangereux pour lesquels il est établi par écrit un plan de
prévention.
Classification et étiquetage
a) substance ammoniac anhydre :
Le règlement CLP (règlement (CE) n° 1272/2008 du Parlement européen et du Conseil du 16 décembre 2008 ( JOU E L 353 du 31 décembre 2008)) introduit dans
l’Union européenne le système général harmonisé de classification et d’étiquetage ou SGH. La classification et l’étiquetage de l'ammoniac et solutions aqueuses,
harmonisés selon les deux systèmes (règlement CLP et directive 67/548/CEE), figurent dans l’annexe VI du règlement CLP. La classification est :
selon le règlement (CE) n° 1272/2008 modifié
Gaz inflammables, catégorie 2 ; H221
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Protection de la population
Article L. 1342.2 et articles R. 5132-43 à R. 5132-73 du Code de la santé publique :
détention dans des conditions déterminées (art. R. 5132-66) ;
étiquetage (cf. § réglementation) ;
cession réglementée (art. R. 5132-58 et R. 5132-59) : ammoniac anhydre.
Protection de l'environnement
Les installations ayant des activités, ou utilisant des substances, présentant un risque pour l'environnement peuvent être soumises au régime ICPE. Pour savoir si
une installation est concernée, se référer à la nomenclature ICPE en vigueur ; le ministère chargé de l’environnement édite une brochure téléchargeable et mise
à jour à chaque modification ( www.installationsclassees.developpement-durable.gouv.fr/La-nomenclature-des-installations.html ). Pour plus
d’information, consulter le ministère ou ses services (DREAL (Directions Régionales de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement) ou les CCI
(Chambres de Commerce et d’Industrie)).
Transport
Se reporter entre autre à l’Accord européen relatif au transport international des marchandises dangereuses par route (dit " Accord ADR ") en vigueur au 1er
janvier 2011 ( www.developpement-durable.gouv.fr/-Transport-des-marchandises-.html ). Pour plus d’information, consulter les services du ministère chargé
du transport.
Recommandations
Manipulation
Les prescriptions relatives aux locaux de stockage sont applicables aux locaux où sont manipulés l’ammoniac ou ses solutions aqueuses. En outre :
Instruire le personnel des risques présentés par le prod uit, des précautions à observer et des mesures à prendre en cas d’accident.
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Instruire le personnel des risques présentés par le prod uit, des précautions à observer et des mesures à prendre en cas d’accident.
Effectuer en appareil clos toute opération industrielle. Ventiler convenablement les locaux de travail. Dans tous les cas, capter les émissions à leur source. Prévoir, à
proximité, des appareils de protection respiratoire et des équip ements de protection appropriés.
Éviter le contact avec la peau et les yeux. Mettre, à la disposition du personnel, vêtements de protection, gants et lunettes de sécurité. Les effets seront maintenus
en bon état et nettoyés après usage.
Lorsqu’on utilise un appareil faisant intervenir de l’ammoniac, il faut s’assurer que les raccords sont étanches et les conduites en état de fonctionnement et qu’ils
sont compatibles avec l’ammoniac.
Pour la manutention et l’utilisation des bouteilles de gaz comprimé, il faut se conformer aux indications donn ées par le fabricant. Ces bouteilles ne doivent pas être
soumises à une manipulation brutale ou à des chocs. Elles ne seront jamais chauffées.
Les fuites d’ammoniac peuvent être détectées, soit au moyen d’une solution de chlorure d’hydrogène, soit au moyen de chlore ou de dioxyde de soufre
comprimés. En présence d’ammoniac, il se forme des fumées blanches. L’utilisation de bougies au soufre est à proscrire en raison du risque d’incendie.
En cas de fuites d’ammoniac, seul le personnel muni d’appareils respiratoires isolants restera dans la zone polluée. Toutes les sources possibles d’ignition seront
élimin ées. S’il n’est pas possible de colmater immédiatement la fuite, on dirigera sur elle de grandes quantités d’eau.
Prévoir des douches de sécurité et des fontaines oculaires dans les ateliers.
Ne jamais procéder à des travaux sur et dans des cuves et réservoirs contenant ou ayant contenu de l’ammoniac ou ses solutions aqueuses sans prendre les
précautions d’usage [25] .
L’évacuation des eaux résiduaires dans un égout ou une rivière ne pourra s’effectuer que lorsque leur pH aura été ramené entre 5,5 et 8,5.
Conserver les déchets ou les produits souillés dans des récipients prévus à cet effet. Les éliminer dans les conditions prévues par la réglementation (traitement
dans l’entreprise ou dans un centre spécialisé).
Bibliographie
1 | KIRK-OTHMER - Encyclopedia of Chemical Technology, 4 e éd., New York, John Wiley and sons, vol. 2, 1992, pp. 638-688.
3 | Matheson gas data book. Secaucus, Matheson gas products, 1980, pp. 2333.
5 | PASCAL P. - Nouveau traité de chimie minérale. Paris, Masson, 1956, tomeX, pp. 76-155.
6 | LELEU J. - Réactions chimiques dangereuses. Paris, INRS ED 697, 1987, pp. 36-37 et 39-40.
7 | SAX N.I. - Dangerous properties of industrial materials. New York, Londres, Van Nostrand Reinhold Company, 1984, p. 257.
8 | BRETHERICK’S handbook of reactive chemicals hazards, 6 e éd., vol. 1. Oxford, Butterworth-Heineman, 1999, pp. 1657-1661.
9 | Fire protection guide to hazardous materials, 13 e éd., Amy Beasley Spencer and Guy R. Colonna, PE, editors. NFPA International, 1997.
11 | Base de données Métropol. Métrologie des polluants. Fiche 013 (Ammoniac et sels d’ammonium). INRS. Consultable sur le site www.inrs.fr .
12 | CLAYTON G.D., CLAYTON F.E. - Patty’s industrial hygiene and toxicology, 3 e éd., vol. II B. New York, John Wiley and sons, 1981, pp. 3 045-3 070.
13 | RICHARD D., JOUANYJ.-M., BOUDENE C. - Toxicité aiguë par voie aérienne du gaz ammoniac chez le lapin. C.R. Acad. Sci., 1978, 287, pp. 375-378.
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15 | GRANT W.M. - Toxicology of the eye, 2 e éd. Springfield, C.C. Thomas Publishers, 1974, pp. 121-128.
16 | RICHARD D., BOULEY G., BOUDENE C. - Effets de l'inhalation continue d'ammoniac chez le rat et la souris. Bull. Eur. Physiopath. Resp ., 1978, 14, pp. 573-582.
17 | PONTAL P.G., BRUN J.-G., LORIMIER G. - Brûlures caustiques du tractus digestif supérieur. Rev. Méd. , 1983, 4-5, pp. 191-195.
18 | GAULTIER M. et coll. - À propos de 3 cas d'intoxication aiguë par l'ammon iac. Évolution clinique et biologique. Ann. Méd. Lég ., 1964, 4, pp. 357-361.
19 | WALTON M. - Industrial ammonia gassing. Brit. J. Ind. Med., 1973, 30, pp. 78-86.
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21 | FLUR K.E. et coll. - Airway obstruction due to inhalation of ammonia. Mayo Clin. Proc., 1983, 58, pp. 389-393.
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21 | FLUR K.E. et coll. - Airway obstruction due to inhalation of ammonia. Mayo Clin. Proc., 1983, 58, pp. 389-393.
22 | EL SEWEFY A.Z., AWAD S. - Chronic bronchitis in an Egyptian ice factory. J. Egypt. Med. Assoc ., 1971, 54, pp. 304-310.
23 | MORRIS G.E. - Urticaria following exposure to ammonia fumes. Arch. Ind. Health , 1958, 13, p.480.
24 | SHIMKIN M.B. et coll. - Appearance of carcinoma following single exposure to a refrigeration ammonia oil mixture. Report of a case and discussion of the role of
carcinogenesis. Arch. Ind. Hyg. Occur. Med ., 1954, 9, pp. 186-193.
26 | The handling and storage of liquid propellants. Washington, Office of the director of defense research and engineering, 1963, pp. 39-56.
27 | American national standard safety requirements for the storage and handling of anhydrous ammonia. New York, American National Standards Institute, 1972.
28 | CICOLELLA A. - Étude de l'action de l'eau sur une fuite d'ammoniac liquide non réfrigéré. Travail et sécurité, nov. 1973, pp. 528-533.
Auteurs
Fiche établie par les services techniques et médicaux de l’INRS
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