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La seconde phase (1930 à 1960): motiver l’individu : l’école des relations humaines
Sciences humaines, la dimension humaine. Cette école s’inscrit dans une approche sociale et
fonctionne dans un système « fermé » : systémique, centré sur la gestion des paramètres « internes
»à l’entreprise.
La quatrième et dernière phase (1980à nos jours): mobiliser et faire participer : l’école sociologique
C’est une approche sociologique de l’organisation qui doit proposer de nouveaux principes
(management participatif, projet d’entreprise...) donnant, de nouveau, à l’homme considéré comme
un acteur social avec ses forces et ses faiblesses, une place déterminante dans un système «ouvert»
qui s’inscrit dans un environnement technique et économique complexe.
L’école des relations humaines :
Elton Mayo : s’est intéressé à la relation qui existe entre trois groupes d’éléments :
3. la productivité.
Ses travaux démontrent l’importance de l’aspect social dans la motivation des salaries et
l’augmentation de la productivité.
La supériorité du style démocratique sur le style autocratique ou laisser-faire a été démontrée par la
qualité des travaux réalisés, de l’ambiance et de la satisfaction des enfants.
Maslow : la motivation
Locke : la théorie des buts/ behavioriste : s’appuie sur le mécanisme du renforcement positif
Les individus seraient plus motivés par des buts difficiles, que par des buts faciles peu stimulants.
Les buts fixés doivent être : atteignables, assorti d’un délai et d’une échelle de mesure,
communication de la performance et la motivation par une recompense.
La direction participative par objectifs (DPPO), processus de concertation établi entre la hiérarchie
et les subordonnés dans le but de fixer des objectifs négociés, quantifiés et notés : implication des
salariés à la définition de leurs objectifs. (Benlamlih)
– une délégation de l’autorité ; – une définition des responsabilités ; – une supervision hiérarchique ;
– une motivation des individus
La théorie socio-technique : L’organisation est envisagée comme un système ouvert, composée d’un
système technique et d’un système social. Son efficacité dépend de leur optimisation conjointe.
L’école de contingence :
École de la contingence montre qu’il peut exister, pour des situations différentes, des modes
d’organisation différents.
La technologie joue un rôle déterminant sur les choix organisationnels. La technologie influence
fortement la structure d’organisation.
Chandler :
Chandler montre comment le capitalisme moderne a donné naissance à des entreprises structurées
autour d'unités autonomes et de managers professionnels, rompant avec le modèle de
l'entrepreneur unique. Il souligne que la stratégie guide la structure des entreprises, les changements
stratégiques précédant les changements organisationnels.
La "forme en U" traditionnelle dite fonctionnelle, centralisée : se caractérise par une monoculture,
peu de niveaux hiérarchiques, une résistance au changement et une confusion entre décisions
opérationnelles et stratégiques.
La "forme en M" multi-divisionnelle, décentralisée : gère différents produits avec chaque division
responsable de son produit, nécessite une coordination importante entre divisions, est flexible et
clarifie les décisions opérationnelles et stratégiques.
Burnset Stackler : l’impact de l’environnement sur l’organisation.
L’entreprise choisit un type de structure selon le degré de stabilité de son environnement. Ils
distinguent deux types d’organisation et de structure d’entreprise :
Les organisations mécanistes (structure rigide pour un environnement dit stable) : caractérisées
par :
Les organisations organiques (structure souple pour un environnement dit instable) : caractérisées
par :
Pour Burns et Stackler, il n’y a pas un type d’organisation supérieur et les organisations ne sont ni
totalement mécanistes, ni totalement organiques.
Ces travaux montrent qu’une organisation est bien contingente à des variables externes et internes
L’analyse du rôle des managers, ▪ l’élaboration de la stratégie des entreprises ▪ et la structuration des
organisations.
Le centre opérationnel : Il regroupe les opérateurs directement en charge de la production des B/S.
Le sommet stratégique : Il regroupe ceux qui ont les responsabilités les plus larges.
Les fonctions de support : Ces unités spécialisées sont en dehors du flux de travail, mais ont dans
l’organisation un rôle de soutien.
L’idéologie : Elle se caractérise par les traditions et croyances d’une organisation, n’est pas de
nature administrative, elle insuffle la vie à une organisation.
Les mécanismes de coordination : les organisations peuvent coordonner leur travail par :
L’ajustement mutuel: processus de communication informelle / La supervision directe / La
standardisation des procédés de travail, des résultats, des qualifications et du savoir, des normes.
Les paramètres de conception de l'organisation : sont la spécialisation du travail / la formalisation
du comportement / la formation / l'endoctrinement / le regroupement en unités / la taille des unités
de travail / le système de planification et de contrôle / la décentralisation
▪L’âge (ancienne, son comportement risque d’être formalisé) et la taille de la structure (de grande
taille, plus sa structure est élaborée et son comportement formalisé)
Le pouvoir : plus un contrôle extérieur s’exerce sur une organisation de manière importante, plus la
structure de l’organisation est centralisée et formalisée.
La bureaucratie professionnelle : Elle se fonde moins sur la hiérarchie. Son administration est régie
par un système de normes édictées. Son fonctionnement est plus démocratique.
▪l’adhocratie opérationnelle est une unité de création opérant dans un marché concurrentiel
l’adhocratie administrative, l’activité peut être tournée vers la recherche, comme par exemple la
NASA.
L’organisation missionnaire ou idéologique : repose sur une idéologie dominante, se substitue aux
standards et procédures, prend son origine dans le sens d’une mission associée à un leadership
charismatique, concentrée et porteuse d’inspirations.
Types de rôle :
Interpersonnel :
Symbole : donne aux employés un aperçu des objectifs organisationnels pour l'avenir lors des
réunions
Leader :
Observateur actif : évalue le rendement des gestionnaires dans différents fonctions et adopte des
mesures correctives
Diffuseur d'informations : renseigner les employés sur les changements dans l'environnement
interne ou externe
Porte-parole : lance une campagne publicitaire nationale pour faire connaitre les B/S.
Décisionnel :
Entrepreneur
Répartiteur des ressources : répartit les ressources entre les diverses fonctions et les différents
services l'organisation
Négociateur :
La théorie de la décision : traite de la nature des décisions et du comportement des décideurs (les 3
modèles)