Ùn parlu corsu (ancora). A capiscu un pocu, soprattuttu grazia à u missiavu è à uni pochi di zii, ma ùn l’aghju mai amparatu. Hè stranu di sentesi vicinu à un filmu per via di u tarritoriu filmatu, per via di a lingua di i so parsunaghji, per via di ritruvà è di prughjettà odori ch’è cunnosce. In u mumentu u Cinema Corsu hè particularmente animatu, chì mi scalda u core. Eiu, l’eternu turistu di stu paese chì u sangue…
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The Gleaners and I 2000
Il irradie du film tout du long une sensation de liberté extrêmement communicative. Mais alors dès qu'Agnès s'est mise à rapper, j'ai compris qu'on était jusqu'alors encore loin du maximum possible. C'est sublime !
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All We Imagine as Light 2024
J'y suis allé complètement explosé par la fatigue, j'en suis ressorti avec des étoiles plein les yeux. Une ballade nocturne somptueuse, un spleen unique, un travail d'ambiance sonore sidérant... J'y ai retrouvé du Yang et du Weerasethakul, mais j'ai surtout découvert une réal de grand talent : Payal Kapadia. Au palmarès svp !!
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Le Bonheur 1965
Je ne sais pas si Varda voulait déconstruire une certaine idée du conformisme et de la famille nucléaire ou montrer une forme de lâcheté masculine (sans doute les deux ?), en tout cas Le Bonheur est incroyablement puissant, d'une façon très insidieuse. Aussi beau que cruel, d'ailleurs dès l'ouverture il y a des éléments qui mettent mal à l'aise (Glazer a vu ce film !!). Et c'est tellement précis dans sa mise en scène ! Le MONTAGE wow.
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