Diima IsaacEtudiant en mathématiques, mais égalemant grand amoureux des lettres, de la musique, de tout, bref!
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a la lecture...j'ai frissonnée... http://motsble us.centerblog. net
Par motsbleus, le 01.12.2014
très joli, j'aime beaucoup!
ami tiés,
"aubry lia"
http://a ubrylia.center blog.net
Par aubrylia, le 24.10.2014
je passe aujourd'hui sur les blogs de mes ami(e)s pour leur dire que je ne les oublies pas... bonne journée, b
Par monoasis, le 07.10.2014
heureux de revenir! bonne lecturehttp:// isaacnaira.cen terblog.net
Par isaacnaira, le 23.06.2014
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Par isaacnaira, le 23.06.2014
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Date de création : 21.02.2014
Dernière mise à jour :
23.06.2014
11 articles
Te souviens-tu de cette vesprée féerique où a succombé ta soif suspendue sans fil au zénith du ciel sans nuée qui souffle?
Dans ce temps mythique, dans ce temps mystique, dans ce temps mal du pays où pleurait la mer où hilare était l'amour et où vivait sans souffle l'amer, ton coeur s'oya de chrème providence du ciel mais ta membrane taciturne est envoûté par l'Ange châtié.
Dans une vit à bâtir un empire tu naquit dans l'agonie, tu vécut dans l'agonie mais un soir est venue et la somme de tes veines de façon véloce fut trempé les lèvres d'une vie liquide sans couleur et Salâm se mit au cime de la souffrance assomée par la soif qui, ne trouvant plus sa place dans cette surface se suicida ensuite.
Seule dans son silence se mourut ton silence.
Qu'as-tu fais de ta soif pour l'assouvir sans jamais toucher ton front?
Es-tu de la côte d'Adam ou de sa sémence au bout de sa côte?
Ou es-tu un petit être issu de la capricieuse de ceux de son caste?
Réponds-moi, tête d'un condamné à mourir sans guillotine, tête d'un pied d'une tête d'un poux d'une bête, corps d'une tête pique-assiette,
corps affamé d'une vultueuse tête!
Réponds-moi, face cachée d'une Lune en pleine lune en pleine nuit, Ô toi qui vit sous la lumière du soleil sous la lueur de la lune mais qui ne connaît que la chaleur que l'éclipse!
Pour l'assouvir as-tu bu la liqueur de la mort ou te l'a fait-on boire à travers un chantepleure, pour te faire une machine à tout casser, pour te faire avoir dedans ta poitrine un palpitant dépravé épaté par tout ce qui vit ou démeure réalisant les souhaits de la muette.
Me répondras-tu, vieux nègre tête d'un corbeau?
Ou es-tu sans yeux, ou es-tu sans oreilles?
Quelle drôle de tête fais-tu?
Où es-tu sans yeux, où es-tu sans oreilles?
Quel élixir t'as fait-on boire?
Par une vesprée féerique elle succomba ta soif
mais la nuit tous les chats sont gris puis l'aube sadiq se mettant au monde et se vendant à la mer et le géant de l'olympe faisant apparaître sa lumière éclatante,
des humanoïdes, ces loups-garou pleins de mystère qui ne travaillent qu'à la lune couchante, qu'au soleil levant apportèrent le châtiment ne sait-on pas pourquoi
et la déversa sur ton corps colloïdal pour ne plus qu'être ton fidèle acolyte te faisant la somme de tous les malheurs.
Tu es une prairie,
tu es le bétail,
tu es le berger,
c'est toi le tigre!
*Adhan: de l'arabe, appel à la prière.
Parle-moi, île en ylang,
Violente frivole,
Île volée de mes rêves,
Indolence puérile colmatée à la lune, le ciel en colère,
Saveur suave de la vie,
Des valeurs qui te couvrent,
De l’envie qui vide la soupe de la colère à la pleine lune qui embellit les voiles s’évadant de la grève, suivant le vent cueillir la vie.
Dis-moi qui il est cet hiver qui vient,
Ivre comme un militaire, mitrailler ce qu’a bâti l’idylle épique liant les nuits aveulies de nos pères à la vie.
Fais-moi ce sourire d’enfant,
Faible et innocent,
Beau et frêle,
Ô souffle de ma vie!
Dans la nuée tendre de tes mots ton coeur j'ai découvert,
Dans le reflet flamboyant de tes yeux, ta flamme d'amour ruisselante j'ai découvert.
Mais voilà qu'enfin sans avoir trop ri, sur la grève assis, contemplant la mer j'y complète son ouvrage.
Finis ces temps de gloire,
Finis ces moments d'histoires tendres,
Finis ces jolis mots que faisaient ma bouche,
Finie cette mélodie qui faisait frissonner mon coeur.
Finie ta vie et finie ta mienne!
T'ai-je aimé et t'ai-je fait perdre; sans le vouloir que t'ai-je fait pour moi?
J'ai planté une épine sur mon coeur et toi seule pourrait la retirer,
Mais tu es partis.
Je t'ai fait partir si promptement si tristement que mes yeux ne voient que ton départ qui, subitement a volé mes rêves, a tué ma vie.
Je ne suis plus, je ne puis plus être!
Que mon oeuvre réussisse et qu'une vague m'immerge, pour retrouver mon coeur perdu, pour te retrouver, toi qui m'a tant aimée, toi que j'ai tant aimé.
Qu'ai-je fait pour mériter une si terrible damnation?
Qu'ai-je fait pour me faire souffrir tant?
Qu'a-tu fait pour me faire vivre comme tout le monde?
Dans ces moments de gloire le ciel se mit à benir l'union de nos deux coeurs.
Mais une force maléfique m'a fait maudire.
Elle m'a fait pleurer à jamais.
Assis sur la grève, contemplant la mer, j'y complète son ouvrage.
À mirer ces cordes du ciel qui, descendantes,
Offusquent le ciel, le henné au nadir.
Putride et, est-il sur la terre flamme ardente,
Un poète au silence s'y passe à médire.
Affolées, les Muses s'envolent effarées
Et du ciel pleuvent des discordes égarées.
Le Calmar étendant les ailes et elles rampent,
Cain et Abel se querellent et elles campent.
Prophétisant un forfait et mille remords,
Deux Gracieuses lisent aux yeux d'Abel la mort.
Voué à l'une, ninga* envouté des étoiles
Dont un regard seul suffit pour tisser des toiles.
Promis à l'autre, Cain ne l'en voulant plus,
Eut les yeux traduisant un crime et une pluie.
Et tel un cheval du ciel Abel vit le jour
Et l'extase pour la vie fut mise à rebours
Et ainsi dans l'amour a commencé le monde
Mais il n'y a point d'amour qui dure qu'une fronde
Invoquée par un opprimé par son tréfonds,
Tel un asthme étouffant la vie par son talon.
*Terme comorien. C'est un oiseau remarqué par sa beauté.
Console-moi Ô kora sans corde qui vibre!
Emmène-moi dans l'Étendue, inerte, libre;
Comme un lièvre de son terroir si éloigné.
Et laisse-moi partir, courir, mourir en paix
Dans cette hostile terre aux mille et un ennuis.
Dit moi, dit moi combien de nuits as-tu veillé;
Combien de temps es-tu mis debout, les yeux nus;
Impatiemment, le réveil des ensommeillés;
Dormant, attendant perdu au fond de la nue?
L'as-tu croisée pendant ces macabres veillées;
Cette lyre aux cordes en or qui l'ennui atténue
Un moment, et qui plus tard le fait réveiller?
Les yeux bandés, si seul au milieu de la nuit;
As-tu pleuré ou restais-tu émerveillé?
Je suis d'eau je suis d'argile je suis un homme
Je suis d'amour je suis de pleurs je suis l'Enfant
Je suis d'ici je suis d'ailleurs je suis le vent
Je suis tout je suis l'éclaircie je suis la brume
Je suis du ciel je suis des terres je suis d'eau
Je suis d'argile je suis l'Homme je suis toi
Je suis d'or je suis de mythril je suis moi
Je suis l'un je suis l'autre je suis un fardeau
Je suis nègre je suis blanc je ne suis personne
Je suis Arabe je suis Bantou je suis limpide
Je suis Aryen je suis Juif je suis un hybride
Je suis nègre je suis blanc je ne suis personne
Je suis nègre je suis blanc je ne suis personne
Je suis Aryen je suis Juif je suis un hybride
Je suis nègre je suis blanc je ne suis personne
Je suis Arabe je suis Bantou je suis limpide
Notre amour se perd et le noir méclaire.
Coupé du monde dans un coin sinistre,
Le soleil est là la vesprée m'est claire.
Et à la brume une lune m'est bistre.
Curieux tout etre est silencieux!
Tout sauf ta voix résonnant dans ma tete,
Brisant tout sauf un miroir casse-tete,
Jadis amour faisant un ciel en cieux.
Amour tabou dont je me remémore!
Tu étais la je t'aimais comme un mort!
Un oiseau t'emporte et l'amour me mord.
Si loin de toi et les yeux au ciel,
Je ne puis savourer le gout du miel.
Et c'est un silence amer qui m obsède
Incarnant ton amour qui me possède.
Si des fleurs eut ma bouche comme à une fille
S'adresse un Rimbaud de rien que quelques saisons,
Soupirant Ophélie et pleine de raison,
Pleine de charme telle une rose qui brille
Ne peut offrir que nostalgie à ceux qui passent.
Assis auprès d'elle une flamme les sépare:
Elle sait mille quartiers et lui sans rempart
Elle et amoureuse mais aimer n'est plus grâce.