Compte Rendu
Compte Rendu
Compte Rendu
Thermodynamique
appliquée
Compte Rendu
E1+E2
E2-E1
E1-(E1-E2)
(E1+E2)-(E1-(E1-E2))
(E1+E2)-(E1-E2)
T(r=0)
120,005
120
119,995
119,99
119,985
T(r=0)
119,98
119,975
119,97
119,965
119,96
119,955
0 20000 40000 60000 80000 100000 120000 140000
Nombbre de nœuds
Conclusion :
Le raffinement sur l’opération de l’augmentation de nombre de nœuds est élément pour obtenir des
données plus précis.
Cas n°2 21 36
Cas n°3 21 20
Déterminer les valeurs des densités de flux sur les différents axes de symétrie.
a. La densité de flux pour le Cas n°1 est « 1 » ; le Cas n°2 est « 0.5 » ; le Cas n°3 est
« 1.5 ».
2. Toutes les surfaces "les axes dans l'espace 2D" de symétrie sont-elles forcément des surfaces
adiabatiques ? Justifier votre réponse.
i. Les axes de symétries géométriques ne sont pas forcément des axes de symétries
thermiques à cause de la variation des températures entre les surfaces départ et de la
fin
3. Peut-on profiter des axes de symétrie afin de réduire le temps de calcul ? Si oui comment ?
Conclusion :
Toutes les surfaces de symétrie ne sont pas forcément adiabatiques ca les températures des
surfaces départ et d’autre des axes de symétries ne sont pas toutes égaux. C’est –à dire que les axes de
symétries géométriques ne sont pas forcément des axes de symétries thermiques.
On peut profiter des axes de symétrie afin de réduire le temps de calcul en étudiant la moitié ou le quart
de chaque système tout comme dans le premier et deuxième cas.
TP N° 2 : Les ailettes
Considérons deux ailettes de formes distinctes, une triangulaire et l’autre rectangulaire. Les deux sont
faites du même matériau de conductivité thermique k=80,2 W/m.K et ayant chacune 20 mm d'épaisseur
et 80 mm de longueur.
L’installation des deux ailettes sur un mur refroidi à l’air a pour but d’augmenter la chaleur évacuée
par ce mur. La température du mur est Tb = 115°C et le coefficient de convection entre la surface du
solide et l’air (T=15°C) est h = 100 W/m2.K.
Figure 1.
En supposant que le transfert de chaleur se fait en deux dimensions, les températures à différents
positions (y=0) déterminées par simulation numérique sont indiquées dans les tableaux suivants.
Mode trapézoïdale
X T(x , y=0)
0 115
0,01 25,51
0,02 3,65
0,03 0,34
0,04 0,021
0,05 0,0007
0,06 0,000065
0,07 0,000014
0,08 7,00E-08
150
Graphe de la répartition des températures le long d'ailette
T(x;y=0)
100 trapézoidale
50
0
0 0,01 0,02 0,03 0,04 0,05 0,06 0,07 0,08
29,14
6,4
0 0,01 0,02 1,3
0,03 0,26
0,04 0,06
0,05 0,06
0,012 0,07
0,003 0,08
1,70E-06
0 0,01 0,02 0,03 0,04 0,05 0,06 0,07 0,08
X
120
100
80
T(x;y=0)
60
40
20
0 X
0 0,01 0,02 0,03 0,04 0,05 0,06 0,07 0,08
A partir de cette solution analytique, calculons les températures T(x) pour et traçons les graphes de
la répartition de température en fonction de x pour les résultats numériques et analytiques des ailettes
trapézoïdale et rectangulaire.
Ailette trapézoïdale :
120
100
80
T (°C)
60
40
20
0
0 0,01 0,02 0,03 0,04 0,05 0,06 0,07 0,08 0,09
-20
X
0 115 122,4653
0,01 29,14 105,892
0,02 6,4 91,8746
0,03 1,3 80,019
0,04 0,26 69,9918
0,05 0,06 61,511
0,06 0,012 54,338
0,07 0,003 48,2713
0,08 1,70E-06 43,1402
Repartition de la temperature en
fonction de x
150
100
T (°C)
50
0
0 0,01 0,02 0,03 0,04 0,05 0,06 0,07 0,08 0,09
X
Mode rectangulaire
y Ф(x, y=0)
0 922937
0,001 939260
0,002 980311
0,003 1,05E+06
0,004 1,16E+06
0,005 1,30E+06
0,006 1,50E+06
0,007 1,90E+06
0,008 2,74E+06
0,009 5,45E+06
1 8,83E+06
GRAPHE DE LA RÉPARTITION DE LA DENSITÉ DES
FLUX LE LONG D'AILETTE RÉCTANGULAIRE
Ф(x;y=0)
10000000
8000000
6000000
4000000
2000000
0
0 0,001 0,002 0,003 0,004 0,005 0,006 0,007 0,008 0,009 1
Conclusion
Dans cette étude, deux approches ont été mises en travail pour modéliser et calculer la
température. La première est numérique et l’autre est analytique. L’approche analytique nous servie
rapidement pour avoir les résultats en remplaçant x par ces valeurs dans la formule de T(x) et les valeurs
obtenues sont proches des résultats expérimentaux. L’approche numérique fournit une analyse complète
et des informations intéressantes sur les champs de températures or que la méthode numérique ne fournit
que des solutions approximatives.
TP3 : Conduction bidimensionnelle en régime stationnaire avec terme de
production.
Tracer (x)
Entrée du compresseur S1 (substance : air, T1=27°C, P1=1 bar) ; on choisit une masse de 1kg.
Sortie du compresseur S2 (P2=10 bar) Les
propriétés du cycle:
- Compression isentropique
- Combustion isochore Q= 1000 kJ
- Détente isentropique
- Refroidissement isobare
2. Variation de P2 pour les valeurs entières comprises entre 2 et 25 bar et relever dans un tableau P2,
T2, T3, Q-out, net-Q, net-Work :
P2 Ecarnot Ethermal
(bar)
2 83 36
4 84 47
6 84 52
8 85 55
10 85 58
12 85 60
14 85 61
16 85 62
18 86 64
20 86 64
22 86 65
24 86 66
Courbe de rendement thermal et carnot en fonction de P2
100
90
80
70
60
50 Carnot
40 thermal
30
20
10
0
2 4 6 8 10 12 14 16 18 20 22 24
P2 (bar) T3 (°C)
2 1488
4 1568
6 1623
8 1666
10 1702
12 1733
14 1760
16 1785
18 1808
20 1829
22 1848
24 1866
D’après le graphe, on remarque que la pression et la température sont proportionnelles , ce qui
explique la restriction de la pression afin de d’obtenir le rendement adéquat.
7. On limite la pression à 10 bar, on trace avec le menu CYCLE le diagramme T(s) du dispositif :
Conclusion :
Ce TP nous a permis de :
Déterminer l’état d’un système ayant subi une ou plusieurs transformations thermodynamiques
ou encore un cycle de transformations ;
Calculer le travail, la chaleur, la variation d’énergie interne, le rendement thermique et le
rendement de Carnot ;
Acquérir une compétence dans l’exploitation du logiciel CyclePad.
TP 5 : Le cycle de Rankine à régénération idéal
Soit une centrale thermique fonctionnant selon le cycle à régénération idéal avec un seul réchauffeur à
mélange (voir la figure). La vapeur d'eau est admise dans la turbine à 15 MPa et à 600°C, et elle est
condensée dans le condenseur à 10 kPa. Une partie de la vapeur est soutirée à 1,2 MPa pour être
détournée vers le réchauffeur à mélange. L'état du fluide à l'entrée des pompes est un état saturé avec
x=0 (liquide saturé). La compression et la détente sont isentropiques. Les phases de condensation, de
chauffage et de mixage ont lieu à pression constante.
Déterminer:
- La fraction de vapeur soutirée de la turbine :
La fraction de la turbine est f = 0.7719 d’après le résultat obtenu sur le logiciel CyclePad.
- Le travail net.
Le travail net est : net-Work =1.263kW indiquée sur l’image ci-dessus.
- La puissance thermique consommée.
Puissance thermique est : 1.263 kW illustrée sur l’image ci-dessus.
- La fraction de vapeur soutirée de la turbine.
La nouvelle fraction est : f = 0.7586 montrée sur l’image.
- La température d'entrée de l'eau dans la chaudière.
Tentrée = 200.5 ° C
Conclusion :
Le cycle de Rankine à régénération idéal a le pouvoir d’optimiser la pression optimale de soutirage.
TP 3 : Le cycle à resurchauffe et à régénération idéal
Soit une centrale thermique fonctionnant selon le cycle à resurchauffe et à régénération idéal avec un
réchauffeur à mélange, un réchauffeur à surface et une étape de resurchauffe (voir la figure ci-dessous).
La vapeur d'eau est admise dans la turbine à 15 MPa et à 600°C, et elle est condensée dans le
condenseur à 10 kPa.
Une partie de la vapeur est soutirée (y=0,1728) de la turbine à 4,0 MPa pour être détournée vers le
réchauffeur à surface, et le reste de la vapeur subit une resurchauffe à 600°C. La vapeur soutirée est
condensée dans le réchauffeur à surface, puis elle est pompée à 15 MPa avant d'être mélangée à l'eau
d'alimentation.
La vapeur alimentant le réchauffeur à mélange est soutirée de la turbine à 0,5 MPa.
Le diagramme T-s du cycle est illustré à la figure ci-dessous. La centrale fonctionne selon le cycle à
resurchauffe et à régénération idéal. Par conséquent :
• Les évolutions dans la turbine et les pompes sont isentropiques ;
• Il n'y a aucune chute de pression dans la chaudière, le condenseur, les réchauffeurs et dans les
conduits ;
• La vapeur sort du condenseur et des réchauffeurs sous forme de liquide saturé
Déterminez
Conclusion :
En conclusion et pour corroborer, nous pouvons affirmer que le cycle à resurchauffe et à régénération
idéal permet d’optimiser le thermique en jouent sur les différentes paramètres requis.