Rapport Final Final
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Rapport Final Final
et de la Recherche Scientifique
Direction Générale des Études Technologiques
Thème :
nous guidé et orienté avoir avec ses conseils afin de pouvoir achever
V.............................................................................................................................Conclusion 14
VI...........................................................................................................................Conclusion 21
Chapitre 4 : Dimensionnementducorpsdelachaussée.......................................................22
I. Introduction.........................................................................................................23
II. Dimensionnement de la structure de chaussée.................................................24
III. Conclusion............................................................................................................25
3...............................................................................................................Intensité de la pluie 28
IV. Etudes des bassins versants................................................................................29
1. Définition d’un bassin versant...............................................................................29
2. Délimitation de bassin versant...............................................................................30
3. Global Mapper........................................................................................................30
V. Caractéristiques des bassins versants................................................................32
1. Paramètres géométriques des bassins versants....................................................32
a. Les surfaces des bassins versants.......................................................................32
b. Le périmètre.........................................................................................................32
c. Longueur d é́ coulement.......................................................................................32
2. Paramètres physiques des bassins versants..........................................................32
a. Pente moyenne.....................................................................................................32
b. Coefficient de compacité.....................................................................................33
c. Choix de période de retour.................................................................................33
d. Résultats...............................................................................................................33
VI. Estimation des débits de crues...........................................................................34
1. Méthode rationnelle................................................................................................34
a. Le coefficient de ruissellement...........................................................................35
b. Le Coefficient d'abattement de la pluie.............................................................35
c. Temps de concentration......................................................................................36
d. L’intensité de pluie..............................................................................................37
2. Méthode de Ghorbel................................................................................................39
a. Valeur de Rt.........................................................................................................39
b. Valeur de Qmoy...................................................................................................40
3. Méthode de Franco-Rodier....................................................................................41
VII. Conclusion........................................................................................................43
Conclusion Générale...........................................................................................................61
BIBLIOGRAPHIE..................................................................................................................63
Annexe..................................................................................................................................64
Liste de Figures
PK : point kilométrique
RL : route locale
PL : Poids Lourds
T : Tonnes
J : jours
BV : bassin versant
IDF : intensité/durée/fréquence
Vr : vitesse de référence
Rm : rayon minimal
Introduction générale
En fait, après une formation académique de cinq semestres à l’Institut Supérieur des
Etudes Technologiques de Médenine, la réalisation d’un projet de fin d’études est une bonne
occasion pour que la formation d’un diplômé de licence appliquée en Génie Civil soit
complète, parfaite et enrichie pour un objectif de nous immerger dans le monde professionnel
pour une durée plus importante que les stages précédents. Dans ce cadre, nous sommes
intéressés dans notre projet de fin d’études qui a été réaliser,par convention approuvée le
07/03/2018 la « Direction Générale des ponts et chaussées » du « Ministère de l'équipement,
de l'habitat et de l'aménagement du territoire » a chargé le Bureau d’études « INGECOTEC»
de la mission d’étude de 38,8 Km de routes classées dans le gouvernorat de Mahdia .
Dans ce projet on va commencer par une présentation générale du cadre de stage puis on
attaque l’étude géotechnique ainsi que le trafic de la route afin de dimensionner les corps de
chaussée. Puis une étude hydrologique et hydraulique s’impose pour enfin passer à la
conception géométrique.
Les études de la présente phase ont été réalisées sur la base des documents disponibles
recueillis auprès du Ministère de l'Equipement, de l’Habitat et de l’Aménagement du
Territoire, la Direction Générale des Ponts et Chaussées « DGPC », la Direction Régionale de
l’Equipement de Mahdia et la Direction de l'Exploitation et de l'Entretien Routier « DEER » ;
des résultats de la campagne géotechnique ; des levés topographiques aux échelles 1/1000 ème ,
des levés des profils en travers du terrain naturel après implantation de l'axe du projet, des
levés de détail au 1/200ème au droit des ouvrages et au 1/500ème au niveau des carrefours, des
reconnaissances détaillées de l’itinéraire ainsi que l’étude d’assistance techniques pour
l’amélioration de la sécurité sur le réseau routier tunisien
Chapitre 1 :
Présentation
du cadre de
stage
I. Présentation de projet :
1. Introduction :
Le développement d’un pays et de son économie, se base pour la grande partie, sur le
développement d’une infrastructure performante dont le réseau routier représente une
intéressante partie. La politique de réhabilitation du réseau routier en Tunisie consiste à
construire des routes économiques et de les adapter au trafic supporté. Dans le cadre de
l’étude de la route Local RL835 situe dans le gouvernorat du Mahdia, nous avons été chargés
des études suivantes :
✓ Étude géotechnique
✓ Étude de trafic
✓ Étude hydrologique
✓ Étude hydraulique.
✓ Conception.
assainissement, irrigation,..).
DATE DE CRÉATION
: Août 2005
1. Equipe de INGECOTEC :
INGECOTEC emploie en permanence une équipe d’ingénieurs et de techniciens qualifiés.
12 Ingénieurs
01 Cadre Administratif
Cette équipe est appuyée d’Experts disposant chacun, dans sa spécialité, d’une large
expérience professionnelle aussi bien en Tunisie qu’à l'étranger
La localisation de la société ingecotec est dans le grand gouvernant de la Tunis à 54 rue Ibn
Charaf – Tunis Belvédère – 1002 – Tunis - Tunisie
Chapitre 2 :
Etude géotechnique
I. Introduction
La connaissance du sol et de ses caractéristiques géotechniques et morphologiques, est
une étape primordiale dans le choix d’une structure de la chaussée. En effet, la connaissance
du sol, associée à une bonne approche du trafic supporté et des matériaux de chaussée utilisés,
permet d’optimiser les épaisseurs des couches de la chaussée.
Pour le cas d’un projet routier, la classification des sols aura deux principaux objectifs :
II. Généralités
1. Conditions géologiques
La campagne géotechnique de reconnaissance qui a été lancée au cours de cette étude
a comporté vingt coupes de chaussée pour chaque tronçon de route objet de l’étude qui sont
réalisées à une distance d’environ 2km l’une de l’autre. L’espacement retenu nous permet
d’obtenir, avec une bonne précision, les renseignements sur la constitution et la nature des
sols supports de l’ensemble de l’itinéraire.
a. Normes utilisées
c. Les essais
Essai granulométrique :
L’essai consiste à classer les différents grains constituants l’échantillon en utilisant une
série detamis emboités les unes sur les autres.
Analyse granulométrique :
Limite d’Atterberg :
Selon la teneur en eau ω les propriétés mécaniques d’un sol fin évoluent depuis celle d’un
solide(teneur en eau faible) jusqu'à celle d’un liquide (teneur en eau élevée) entre ces deux
états le sol présente des propriétés plastiques.
L’essai Proctor a pour but de déterminer la teneur en eau optimale pour un échantillon
de sol étudié avec des conditions de compactage fixées, qui conduit au meilleur compactage
possible ou encore capacité portante maximale. On répète l’essai plusieurs fois sur le même
échantillonavec teneur en eau différent.
Equivalent de sable :
L’objectif de cet essai est d’évaluer le degré de pollution argileuse des fines contenues
dans le sable. Cette méthode donne une idée du degré de propreté du sable.
Le principe est le suivant : un échantillon de sable est lavé au moyen d’une solution floculant
qui agglomère les particules les plus fines. La solution est ensuite déversée dans une
éprouvette où le sable proprement dit sédimente en premier suivi du floculat qui vient de
déposer à la surface. Le rapport entre la hauteur du sable sédimenté et la hauteur totale du
dépôt (sable sédimenté + floculat) multiplié par 100 est appelé équivalent sable.
CBR :
Routes RL835
PK0+200
PK2+00
PK4+00
PK6+00
PK8+00
PK10+00
PK12+00
PK14+00
PK16+00
PK18+00
PK20+00
PK22+00
PK24+00
PK26+00
Fouilles PK28+00
PK30+00
PK32+00
PK34+00
PK36+00
PK38+00
Les résultats des essais réalisés sur les échantillons prélevés des sols supports de l’ensemble
de l’itinéraire sont présentés dans les tableaux récapitulatifs suivants :
Tableau 2:Les résultats des essais réalisés sur les échantillons prélevés des sols
Les reconnaissances géotechniques réalisées le long du tracé ont mis en évidence une structure
de chaussée constituée respectivement de :
Tableau 3: Les classes des sols en fonction de leurs portances à long terme
pendant toute l’année peut être calculé par la pondération sur le logarithme des valeurs de
l’indice CBR déterminées en laboratoire, avant et après imbibition suivant la formule :
Avec
CBRi : Indice de portance immédiat ;
CBRs : Indice de portance du sol saturé ;
α et β : sont des coefficients de pondération qui dépendent de
la région climatique du sol à étudier (A,B et C), ces
coefficients découlent du nombre des mois pluvieux par an.
𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑖𝑠 𝑠𝑒𝑐
α= 12
A 6 6 0.5 0,50
B 8 4 0.67 0,33
C 10 2 0,83 0,17
Coefficient de Valeur
pondération
α 0.67
β 0,33
V. Conclusion
Ce chapitre nous a permis d’étudier la nature et la classe du sol support selon plusieurs
méthodes (Catalogue tunisien, LCPC), ces classifications ont pour but de déterminer la classe
du sol ainsi que les caractéristiques des matériaux afin de prévoir s’ils seront utilisables en
tant que matériaux de remblai ou non.
Donc, d’après la classification selon catalogue tunisien (CBR), le sol est de classe S3.
Chapitre 3 :
Etude du trafic de la
route
I. Introduction
L’étude du trafic présente une phase primordiale dans la conception d’un projet
routier, elle constitue une approche essentielle, tant pour l’entretien que pour l’exploitation
des réseaux routiers.
Elle est une donnée nécessaire aux réflexions sur le développement des infrastructures
de transport. Elle impactera directement sur les caractéristiques des voies à créer ainsi que les
caractéristiques des chaussées.
En effet, le trafic routier est l’ensemble des véhicules (légers, lourds) qui passent par
unité de temps à travers une section de route et qui influent notamment sur la structure d’une
chaussée (Les déformations, les fissurations, les nids de poules, etc.).
D’ailleurs, pour l’étude d’un tel projet routier, il est indispensable de déterminer la
classe de trafic en se basant sur des recensements qui sont déterminés à partir des différents
types de comptage ou à partir des enquêtes.
Cependant, l’étude du trafic pour un projet ne peut être déduite qu’à partir d’une
analyse complète du trafic sur la totalité de la zone d’influence du projet.
L’objet du présent chapitre est l’étude de trafic relative de la route RL835 qui assure
la liaison entre les deux délégations d’El Jem et Chorbane Sa longueur est d’environ 38 km.
on va déterminer la classe de trafic qui est basé sur la base :
II. Définitions :
1. La durée de vie :
C’est le nombre d’années pendant lequel la route est exploitable sans avoir recours à
une réhabilitation. La durée de vie de notre projet et de 15ans.
3. Taux de croissance :
VL PL Total
Route PK Date
Valeur Part Valeur Part Valeur Part
Il ressort de ces statistiques que le niveau du trafic journalier moyen des véhicules légers est
très élevé sur le tronçon étudié. Ils représentent, en effet, 95,84% de l’ensemble des véhicules
(hors 2 roues), alors les poids lourds sont très faiblement présents sur cette route, leur part
étant de 4.16% seulement.
Les deux roues ont une très forte présence au niveau du tronçon considéré, puisqu’ils
représentent 16,8% du trafic total y compris 2R
Les taux d’accroissement annuels moyens du trafic global (normal et induit) se présentent,
alors, comme suit :
V. Calcul de trafic :
Pour le calcul, il est nécessaire d’avoir un comptage pour l’année d’origine (2017) qui est
montré dans le tableau suivant.
1. Trafic équivalent :
L’estimation du trafic prévisionnel, aux divers horizons futurs, au niveau du tronçon routier
étudié, est basée sur L’application des taux d’accroissement du trafic retenus, en admettant
que l’année de mise en service du présent projet est 2022, donne lieu à l’estimation calculée
comme suit :
Tm = Tn (1+i)m-n
Avec :
m et n : deux années différentes
Tm : trafic journalier à l’année m
Tn : trafic journalier à l’année n
i : taux de croissance du trafic
Calcul :
T2023=T2017(1+i)2023-2017
AN : T2023= 100 ×
(1+0.071)6
= 150.9PL
Avec :
Tc : trafic cumulé
Tm : trafic journalier à l’année m
P : Tm -Tn
i : Taux de
croissance Calcul :
TC1 =0.7.106 PL
En 2033/2038:
T2033=T2023(1+i)2033-2023
AN : T2033= 150.9×
(1+0.052)10
= 250.5 PL
Tc2=T2033×365× 5
Tc =250.5×365×(1+0.06) - 1
2
0.06
6
Tc2=0.51×10 PL
La classe de trafic est déterminé tout dépend du résultat de trafic équivalent par sens l’aide de
ce tableau ci-dessous, ainsi on peut déterminer la classe du trafic.
Tableau 11:classe de trafic
Nombre de passages cumulés de l’essieu de référence (à multiplier par 106)
(sens le plus chargé)
Classe du
Essieu 8.15t Essieu 13t
trafic
T0 > 28.5 >4
T1 14 - 28.5 2–4
T2 7 - 14 1–2
T3 3.5 - 7 0.5 – 1
T4 1 - 3.5 0.18 - 0.5
T5 0.6 - 1 0.09 – 0.18
On a : Tc = 0, 42×106 essieux de 13t/sens
VI. Conclusion :
Pour notre route le trafic total est égal à 2.216 × 10 6 Essieu 13T/sens, cette valeur, selon le
tableau ci-dessus, est comprise entre 1 ×106 Essieu 13T/sens et 3.5 × 106 Essieu 13T/sens.
Donc, la classe pour le trafic de notre projet est de classe du trafic.
Chapitre 4 :
Dimensionnement
du corps de la
chaussée
I. Introduction
Le dimensionnement d’une structure de chaussée routière consiste à fixer et déterminer la
nature et l’épaisseur des différentes couches qui la constituent afin qu’elle puisse résister aux
diverses agressions d’ordre mécanique appliquées par le trafic auxquelles elle sera soumise
tout au long de sa vie.
La caractéristique qui distingue le plus nettement les chaussées des autres ouvrages de Génie
Civil, est sans doute leur étendue, ce fait pose des problèmes de disparité du climat, de la
nature du sol et de la densité du trafic pour une même chaussée, et dont il faudra tenir compte.
Le coût des matériaux, de leur transport et de leur mis en œuvre font que les routes sont les
ouvrages les plus coûteux à réaliser.
Remarque :
On utilise pour :
Cas de chaussée Neuve :
Classe de Trafic
Classe de Sol
D’après catalogue on a :
BC
45cm
BC : Bicouche
45 : Couche de base + couche fondation .
III. Conclusion :
Après avoir faire le dimensionnement à l’aide de catalogue tunisien, on a abouti à la structure
de chaussée à utiliser dans le cadre de notre projet.
Remarque :
Chapitre 5 :
Etude hydrologique
I. Introduction
Le but de ce chapitre est d’identifier le réseau hydrographique en rapport avec les tracés des
routes étudiées en vue de déterminer les débits de crues des différents écoulements et de
définir la conception et le dimensionnement des ouvrages de franchissement nécessaires pour
évacuer ces débits.
II. Organigramme :
L’organigramme de l’étude hydrologique présenté dans la figure ci-dessous permet de
présenter les approches utilisées, pour finalement aboutir au calcul des débits d’écoulement
nécessaires pour le dimensionnement des ouvrages de franchissement de notre projet.
La determination
La délimitation des des caractéristiques Calcul des débits
- Méthode bassins Versants des bassins versants
rationnelle
- Methode de
Ghorbel
- METHODE DE
FRANCOU-RODIER
Analyse et Justification et choix
comparaison des des résultats
résultats
voisinage de 360 mm pour les zones côtières et s’étale jusqu’à 310 mm vers le
centre.
2. Précipitations
La station pluviométrique pour la route étudiée RL835 est la station de Monastir pour RL835.
La pluviométrie moyenne annuel enregistrée pour la station
est 360 mm .
Station / S O N D J F M A M J J A Total
Mois
Monastir 33,5 72,2 36 60,90 34,9 31,3 32,8 27,8 13,9 5,7 1,2 9,2 359,4
3. Intensité de la pluie
L'intensité de l'averse correspondante au temps de concentration du bassin versant.
I = a tc-b
RL835 :
Les valeurs des coefficients a et b de la formule de Montana pour la station de Mahdia durant
la période d’observations 1968-1990 sont données dans le tableau suivant :
T (ans) 10 20 50 100
T(an) a b Equation
10 36.70 0.6 I = 36.70 t - 0,600
Aussi dans un bassin versant, il y a continuité - longitudinale, de l'amont vers l’aval (dans
l'ordre ruisseaux, rivières, fleuves) - latérale, des crêtes vers le fond de la vallée - verticale,
des eaux superficielles vers des eaux souterraines et vice versa. Les limites sont la ligne de
partage des eaux superficielles. L'étude des bassins versants, ou bassin de drainage, s'appelle
l'hydrographie ou hydrologie.
3. Global Mapper :
Délimitation des bassins versants par « GLOBAL MAPPER » Pour la délimitation des
bassins versants, et pour des raisons de comparaison des résultats manuelles on a recours au
logiciel Global Mapper.
Global Mapper est un logiciel professionnel de cartographie. Il est plus qu'un simple outil de
visualisation capable d'afficher les images raster, les données d'altitude et les données
vectorielles les plus répandues. Il convertit, édite, imprime, acquière des données GPS, et
permet d'utiliser des fonctionnalités SIG sur jeux de données de manière peu onéreuse et
simple. Les possibilités de Global Mapper sont énormes : Calculs de distances et surfaces,
analyse spectrale, calcul de volume de coupage et remplissage.
La délimitation se fait au moyen des côtés du terrain naturel. Le bassin versant est entièrement
caractérisé par son exutoire à partir duquel. Nous aurons la possibilité de tracer les points de
départ et d'arrivée de la ligne de partage des eaux qui la délimite.
La figure suivante présente la délimitation des bassins versants à l’aide de ce logiciel qui nous
montre les limites de ces bassins
b. Le périmètre :
Le périmètre est la longueur, de la ligne de contour du bassin sa mesure est faite à l'aide de
GLOBAL MAPPER.
c. Longueur d ́écoulement :
2
LK
I IK
L/
Avec,
b. Coefficient de compacité :
Kc 0,282 P/ A avec
Pour les autoroutes, les rocades et les routes express : la période de retour adopter est
la centennale (T=100ans).
Pour les routes classées (RN, RR, RL):
Ouvrages d’art : T=100ans
Ouvrages hydrauliques : le choix se fait selon :
L’importance du trafic routier prévisible à l’horizon du projet
Superficie du bassin versant
Pour les ouvrages submersibles et semi-submersibles et quel que soit le type de la
route, la superficie du bassin versant et l’importance du trafic routier, la période de
retour à adopter est la centennale (T=100ans).
d. Résultats
Les caractéristiques physiques des bassins versants relatifs aux routes étudiées sont
récapitulées dans les tableaux ci-dessous :
Périmètre
N° Surface(km²) (km²) Altitude max Altitude min Pente (%) ECOULEMENT
bv1 3,985 11,451 122 94 0,88 1,932
bv2 7,266 14,39 124 93 0,94 2,941
bv3 10,506 16,332 164 99 1,16 3,33
bv4 2,018 7,712 150 108 0,97 809,65
bv5 5,774 12,919 167 106 1,19 2,289
bv6 3,319 10,684 157 105 1,12 1,414
bv7 21,286 23,167 201 106 1,46 4,86
bv8 5,76 14,001 201 127 1,29 2,563
bv9 0,934 10,549 191 121 1,14 1,269
bv10 8,13 16,483 207 119 1,39 4,326
bv11 2,236 8,543 178 137 0,95 592,59
bv12 4,172 12,821 186 113 1,14 2,819
bv13 8,58 16,809 206 110 1,45 4,173
bv14 0,4723 4,638 141 104 1,3 527,11
bv15 2,182 8,082 173 106 1,38 1,069
bv11-1 3,657 9,824 161 121 1,02 1,744
bv16 1,651 7,599 151 105 1,5 1,124
1. Méthode rationnelle :
La méthode rationnelle permet de déterminer le débit maximum pour une période de
retour donnée, à partir de l’intensité de pluie correspondant au temps de concentration du
bassin versant et à la période de retour donnée. Elle est généralement applicable pour des
bassins versants de faibles superficies.
Pour une averse donnée, homogène dans le temps et dans l’espace, d’intensité I (mm/h), le
débit à l’exutoire du bassin versant atteint sa valeur maximale lorsque la durée de l’averse est
au moins égale au temps de concentration « tc » du bassin.
Avec
Kr : Coefficient de ruissellement ;
Ka : Coefficient d'abattement de la pluie ;
m : Coefficient de correction de débit ;
I : intensité de pluie, en mm/h.
a. Le coefficient de ruissellement :
Les valeurs de Ka sont données dans le tableau ci-dessous selon la superficie du bassin
versant :
Tableau 18:valeurs de Ka
c. Temps de concentration :
Le temps de concentration tc des eaux sur un bassin versant se définit comme la durée
nécessaire à une goutte d'eau pour parcourir le plus long chemin hydrologique entre le point le
plus éloigné du bassin et l'exutoire de ce dernier, ce temps calculé par les formules suivantes :
S
t c 76 , en min
i
Avec :
1 L1.15 , en min
tc
52 H 0.38
Avec
Formule de Passini:
Pour les bassins versants des superficies importantes ; supérieures à 25 km2, le calcul
de temps de concentration est déterminé par la formule de Passini :
3
L*S
tc =1.08*
i
Avec
d. L’intensité de pluie :
I (tc): est l'intensité de l'averse correspondante au temps de concentration du B.V. elle est
donnée par la relation suivante :
I = a tc -b
Avec :
L’intensité de pluie
Temps de concentration I 10 I20 I50 I100
2,695474134 20,2434702 28,13125289 38,2254083 45,9477131
3,521649356 17,2432211 23,96196939 32,5600878 39,1378833
3,81199257 16,4427645 22,84961826 31,0485989 37,3210432
1,826993725 25,563707 35,52449743 48,271523 58,0233458
2,790148067 19,8284932 27,55458189 37,4418142 45,0058171
2,180504347 22,9896252 31,9474355 43,4109271 52,1808113
4,836519498 14,2543132 19,8084462 26,9161828 32,3537955
2,676570755 20,3291316 28,25029186 38,3871613 46,1421434
Méthode rationnelle
BV 10ans 20ans 50ans 100ans
bv1 8,96335876 12,4558936 21,1567017 30,51693942
bv2 13,9210272 19,3452966 32,85855529 47,39597671
bv3 19,1941871 26,673121 45,3050806 65,34914656
bv4 5,73195119 7,96538176 13,52943519 19,51518531
bv5 12,72108 17,6777951 30,0262549 43,31059798
bv6 8,47806288 11,7815043 20,01123152 28,86468546
bv7 33,7130346 46,8491762 79,57470371 114,7804817
bv8 13,0106442 18,0801868 30,70972904 44,29645764
bv9 3,50865299 4,87578481 8,28166391 11,94567279
bv10 16,935342 23,5341265 39,97340604 57,65860992
bv11 6,12031099 8,50506432 14,4461019 20,83740759
bv12 10,0031922 13,9008938 23,61107704 34,05718991
bv13 17,8105632 24,7503739 42,03923798 60,63841599
bv14 2,26444469 3,146776 5,344891587 7,709601198
bv15 6,72958368 9,35173754 15,88420127 22,91175698
bv11-1 8,82254076 12,2602065 20,82432134 30,03750594
bv16 5,67644558 7,88824863 13,3984223 19,32620914
2. Méthode de Ghorbel :
Méthode de calcul de Ghorbel est le résultat d’un mélange de formules utilisées en Tunisie et
ailleurs, elle présente l’avantage d’être conçue à partir de données hydrologiques, climatiques
tunisiennes. Cette méthode est utilisée pour les bassins de grandes surfaces.
A partir des études statistiques des débits maximum observés sur les stations hygrométriques
du réseau, Ghorbel a constaté que le débit maximum d’une période de retour T est égal à :
Q = RT.Qmoy
Avec
a. Valeur de Rt :
T enans 2 5 10 20 50 100
Remarque :
On va a choisir la période de retour T = 100 ans puisque la méthode de Ghorbel est utilisée
généralement pour le calcul les grands bassins.
donc : Rt = 6.2
b. Valeur de Qmoy:
Qmax (moy)=S^0.8*((1.075/Kc)*(DH*P/Ltw)^0.5-0.232)
Avec :
Méthode de Ghorbel
3. Méthode de Franco-Rodier :
C’est un moyen assez commode pour l’évaluation des crues exceptionnelles pour les grands
bassins versants. Franco et Rodier ont étudié les crues exceptionnelles dans le monde et se
sont aperçu que, pour une même région (caractérisée par un coefficient K). Les points
représentant le débit, Q, en fonction de la surface d’un bassin versant, S, reportés sur un
graphique bi-logarithmique s’alignent et les différentes droites convergent vers le point (So,
Qo).
k
S 1
Q Q0 ( ) 10
S0
Avec
Cette méthode a été extrapolée pour le calcul des crues de différentes périodes de retour, en
donnant une signification fréquentielle au coefficient K. Ce coefficient est déterminé à partir
des résultats des observations hydrométriques.
Tableau 23:valeurs de K
Période de
retour 10 ans 20 ans 50 ans 100 ans
METHODE DE FRANCO-RODIER
BV Q 10 Q20 Q50 Q100
bv1 18,3769794 28,136069 35,11218468 55,62195986
bv2 26,9916263 40,70958424 50,40804182 78,56784681
bv3 34,1758979 51,0721333 62,93689493 97,12398718
bv4 11,8891154 18,51511929 23,31108776 37,61228066
bv5 23,2994215 35,34339134 43,89439033 68,84131352
bv6 16,3472476 25,14313691 31,45186232 50,07018201
bv7 53,7007309 78,84566956 96,27479949 145,7652773
bv8 23,2632501 35,2906638 43,83028908 68,74528677
bv9 7,26142742 11,52824848 14,66050126 24,15179723
bv10 29,0040035 43,62201126 53,93547508 83,81120093
bv11 12,6958549 19,72082851 24,79602258 39,89755523
bv12 18,924323 28,94088079 36,09501848 57,10813432
bv13 30,0214638 45,09149993 55,71335953 86,44804784
bv14 4,69352878 7,579560721 9,724766968 16,31831524
bv15 12,4987631 19,4265495 24,43377426 39,34064528
bv11-1 17,3940204 26,68835775 33,34273541 52,94157438
bv16 10,4558207 16,36494123 20,65778429 33,51232562
VII. Conclusion :
Après la réalisation de l’étude hydrologique et des différents paramètres des bassins versants
nous avons abouti aux valeurs des débits d’écoulement, cela est à travers les différentes
méthodes utilisables pour notre projet (Méthode rationnelle, méthode de Ghorbel, méthode
deFranco-Rodier ) .
Finalement, on retient les débits obtenus par la méthode rationnelle puisqu’ils présentent des
superficies inferieurs à 25 km.
Les résultats obtenus nous permettront alors de réaliser l’étude hydraulique et ainsi déterminer
les différents ouvrages hydrauliques à implanter qui sont présenté dans le tableau ci-dessous :
Chapitre 6 :
Etude
hydraulique
I. Introduction :
Après la détermination des caractéristiques des bassins versants et avoir calculer les
débits des bassins versants qui traversent la route, lors de l'étude hydrologique, nous passons
à l'étude hydraulique qui nous permet le dimensionnement des ouvrages hydrauliques.
Débit de crue ;
Morphologie du lit et fonctionnement hydraulique ;
Profil en long de la route au droit du franchissement.
Ainsi, pour un même débit de crue, l’ouverture et le type de structure pourront être très
différents selon que le lit est marqué ou non, qu’il y a possibilité ou non de stockage des
pointes de crue, que la plateforme routière est proche du terrain naturel ou en grand remblai.
Concerne les ouvrages en cadre fermé (dalot) pour des débits relativement faibles et dans le
cas où l’écoulement, en absence de la route, se fait sur une grande largeur et avec une faible
lame d’eau.
Un radier est un ouvrage qui permet de franchir les rivieres en basses eaux et qui submerge en
cas de crues. Le radier est etabli sur le fond de la riviere et l’eau passe exclusivement par-
dessus.
Concerne les ouvrages en cadres ou à travées multiples, pour les débits moyens ou importants
lorsque le lit est marqué.
assimilé à un déversoir à seuil épais placé à l’aval d’un réservoir (vitesse d’approche quasi-
nulle).
Q²L/gS3 = 1 (1)
En prenant
Et en écrivant Bernoulli :
H + (V0)²/2g = hc + (Vc)² / 2g
Et par suite
Ce calcul montre que l’écoulement à l’intérieur du dalot peut être torrentiel (à la limite du
critique), à l’aval le régime d’écoulement redevient fluvial. Ce passage d’un régime à un autre
s’accompagne d’une dissipation d’énergie s’effectuant sous forme de création d’un ressaut qui
peut mettre en péril l’ouvrage si une protection suffisante n’est pas prévue.
Pour tenir compte des pertes de charges dues à l’entonnement dans l’ouvrage on adoptera
la formule :
Q = 1,68 L H3/2
V =2,4 H1/2
BahaEddine & Mohamed 2022/2023 46
ISET MEDNINE
2. Radier submersible
Il est realiser pour le franchissement des cours d’eau de grands largeurs avec des lames d’eau
faibles.
L’ecoulement sur le radier est semble à un ecoulement sur un deversoir à seuil épais et le
debit est determinéé par la formule de Bazin :
H 3
Qradier 1,9 *(0,7 0,185* am ) *.L *.Ham
2
1,136* ( R
1
R2 ) *(0,7 0,185*H am ).* H am
2
B B
Avec :
Q = K (Rh)2/3 Sm I1/2
Où :
Rh= Sm/Pm
Avec
Rh : le rayon hydraulique -
Sm : la section mouillée
Pm : le périmètre mouillé
I est la pente du lit de l’écoulement ;
Les valeurs du coefficient de STRICKLER en fonction de la nature du lit sont données dans
le tableau ci-dessous :
Béton lisse 70
Terre régulière 60
Sur Cailloux 30
III. Résultats :
Le dimensionnement des ouvrages hydrauliques a été établi à l’aide de la formule du
seuil suivante :
3/
Q = 1.6 × L × (Ham ) 2
Qc> Q projet
Vérification :
IV. Conclusion :
Après l’exploitation des données de l’étude hydrologique dans l’étude hydraulique, cette
dernier nous a permis de dimensionner les ouvrages hydrauliques transversaux parcourus par
les écoulements ainsi que la vérification des conditions pour assurer le bon franchissement
d’eau sans engendrer des dommages pour notre structure.
Chapitre 7 :
Etude
géométrique
I. INTRODUCTION
La conception géométrique consiste à donner à la route une forme spatiale permettant
la circulation des véhicules à une vitesse bien définie (vitesse de référence) tout en
assurant des conditions de confort et de sécurité acceptables.
Pour assurer la vitesse, le confort et la sécurité nécessaires sur la route, il existe des
normes à respecter. Ces normes découlent des études empiriques effectuées sur les
relations entre les trois entités Route Véhicule Conducteur. En effet :
2. Vitesse de référence :
La normalisation des conditions technique d’aménagement s’appuie essentiellement sur la
vitesse de référence.
C’est la vitesse d’un véhicule isolée qui permet de définir les caractéristiques
minimales d’aménagement des points particuliers d’une section de route pour les quelle les
Contraintes géométriques sont les plus difficiles et dangereuses pour l'usage.
La vitesse de référence est la vitesse théorique la plus élevée à la quel la section peut
être parcours avec sécurité et confort.
La vitesse de référence est choisie par l'auteur de projet routier en tenant compte des
critères suivants :
La topographie.
L’importance de la route
Le trafic à écouler.
Catégories Exceptionnelle
4ème 3ème 2ème 1ère
Le tronçon étudié présente une route locale alors on s’intéresse de la 2ème catégorie,
donc la vitesse de référence égale 80 km/h
1. Tracé en plan :
Le tracé en plan est une succession de droite ou alignement droits et de courbes
(raccordements circulaire ou raccordements à rayon de courbure progressif).
Le tracé en plan doit être soigneusement choisi de façon à assurer d’une part de bonnes
conditions de drainage et généralement, dans l’aménagement des pistes rurales on doit tenir
compte les conditions suivantes :
a. Alignements droits :
Les alignements droits sont, en premier, définis par la disposition générale du tracé et
serviront généralement de bases à la détermination des autres éléments (cercles, clothoïdes).
Généralement on a évité la section de tracé en plan rectiligne de trop grandes longueurs,
malgré qu'ils permettent d'obtenir un tracé plus court et une bonne visibilité, car ils sont
monotones le jour et gênantes la nuit à cause de l'éblouissement des phares.
b. Les courbes :
Les valeurs fondamentales des rayons des courbes horizontales utilisées dans les projets
routiers sont définies à partir d'un document de base ARP les normes techniques
d'aménagement des routes principales présenté ci-dessous dans le tableau suivant :
Entre deux courbes circulaires ou une courbe circulaire et un alignement droit, on a prévu
un raccordement à courbure progressive. Ce raccordement permet :
D’éviter le changement de direction trop brusque, donc de passer d’un rayon infini
en alignement droite, à un rayon fini en courbe.
D’assurer aux usagers une vue satisfaisante du tracé en les conduisant
naturellement à s’inscrire dans le tracé.
D’assurer les conditions de confort dynamique par l’introduction progressive du
dévers.
3. Profil en long :
a. Définition :
Le profil en long est la coupe longitudinale du terrain suivant le plan vertical passant par l'axe
de la plate-forme. Il est constitué de segments de droites raccordés par des arcs de paraboles.
Dans le but d’avoir une conception acceptable pour un projet étudié, on doit respecter
plusieurs règles relatives pour le traçage d’un profil en long tels que :
Avoir, le plutôt possible, une équivalence entre les quantités des déblais et des
remblais en essayant de suivre le profil terrain de telle sorte à atteindre un projet plus
économique.
Tenir compte des positions des ouvrages hydrauliques rencontrés, comme des points
imposés, dans un profil en long ainsi que des hauteurs de ces ouvrages. Donner des
déclivités et des rayons acceptables en respectant les normes et utiliser si possible, des
rayons supérieurs aux valeurs minimales normaux.
Le profil en long est composé d’éléments rectilignes par leur déclivité (pente ou rampe),
et des raccordements paraboliques caractérisés par leur rayon. On distingue deux types de
rayon :
Le profil en long est profondément marqué par la valeur très faible des pentes qu'on peut
donner à la route pour assurer des vitesses de circulation convenables et par les problèmes de
visibilité nécessaire à une conduite non dangereuse. Le profil en long est ainsi constitué d'une
succession de segments de droites (ou pentes) et d'arcs de cercles permettant de raccorder
entre eux les segments de droites.
Profil en long
Vitesse (km/h) Vr 40 60 80 100 120
Déclivité maximale en rampe (%) Ϧ 8 7 6 5 4
Rayon Chaussée Minimal RVm1 500 1500 3000 6000 12000
en unidirectionnelle absolu
angle (route à 4 vois ou Minimal RVN1 1500 3000 6000 12000 12000
saillant à 2 voies normal
RV (m) chaussées)
Chaussée Minimal RVm2 500 1600 4500 10000
unidirectionnelle absolu
(route à 2 ou 3 Minimal RVN2 1600 4500 10000 17000
voies) normal
Rayon Minimal absolu RVm' 700 1500 2200 3000 4200
en
Minimal normal RVN' 1500 2200 3000 4200 6000
angle
rentrant
RV(m)
Rayon assurant la distance de visibilité de RVD 2500 6500 11000 17000 28000
dépassement minimale sur route à 2 ou 3 (m)
voies
4. Profil en travers :
Le profil en travers d’une chaussée est la coupe perpendiculaire à l’axe de la chaussée
par un plan vertical. Il contient tous les éléments constructifs de la future route, dans
toutes les situations (remblais, déblais, trottoirs).
Il existe trois types de profils en travers : les profils en remblai, en déblai ou bien les
profils mixtes :
IV. Conclusion :
Dans ce chapitre qui 'est très important au niveau de ce projet on a essayé de minimiser le
cout de projet et assurer la sécurité des usagers en respectant les normes et de pouvoir trouver
des solutions pratiques aux obstacles rencontrés.
NB :
Après la réalisation de la conception géométrique, on a abouti à des différentes sorties tel que
les tracés en plan, profil en long, TC (Tracé Combiné), Ces différentes sorties sont
mentionnées dans l’annexe.
Conclusion Générale
Afin de couronner nos études par l’obtention de diplôme de technicien supérieur en génie
civil, nous somme appelées à traiter un projet réel permettant de mettre en valeur les
connaissances théoriques que nous avons appris au cours des trois années que nous avons
passés au sein de l’institut supérieur des études technologiques de Médenine.
En conclusion de notre étude la route, qui comprend six étapes essentielles - géotechnique,
trafic, chaussées, hydrologique, hydraulique et conception - nous avons pu examiner en détail
chaque aspect clé pour assurer un développement efficace de cette voie de circulation.
Dans la quatrième étape, l'hydrologique, nous avons étudié les caractéristiques du drainage
de la route. Nous avons analysé les pentes, les cours d'eau à proximité, les niveaux d'eau
souterraine et les précipitations pour concevoir des systèmes de drainage appropriés afin
d'éviter les problèmes d'inondations et de détérioration de la route due à l'eau.
Finalement, dans la dernière étape de notre étude, la conception, nous avons consolidé
toutes les informations recueillies dans les étapes précédentes pour élaborer un plan détaillé
de conception de la route. Ce plan a pris en compte toutes les considérations géotechniques,
de trafic, de chaussées, d'hydrologie et d'hydraulique pour garantir une route optimisée,
sécurisée et fonctionnelle.
Ce travail nous a apporté énormément sur le plan professionnel, mais ce n’est qu’un
premier pas dans un long chemin d’apprentissage, espérant qu’il nous aidera à franchir la
porte de l’ingénierie puis de s’intégrer dans le monde professionnel. Enfin, nous souhaitons
qu’avec ce modeste travail que nous avons pu aboutir à la satisfaction de nos enseignants et
de toute personne qui s’intéresse de près ou loin du domaine de Génie Civil
BIBLIOGRAPHIE
Annexe