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Définition de la cytologie
La cytologie est une science de la biologie qui étudie la structure et les fonctions de la cellule.
Elle consistait avant à observer au microscope optique des cellules mortes colorées.
Récemment, de nouvelles techniques permettent de les observer au microscope électronique
encore appelé microscope à contraste de phase.
La cellule est la plus petite unité fonctionnelle d’un être vivant. Cet être vivant peut être
unicellulaires c'est-à-dire constitué d’une seule cellule ou pluricellulaire c'est-à-dire constitué
de plusieurs cellules.
La cellule peut être étudiée à l’œil nu, à la loupe ou au microscope. Cette étude peut être
accompagnée d’expériences et d’analyses chimiques.
Les aspects que nous développerons, porteront sur l’organisation de la cellule au microscope
optique ou photonique et au microscope électronique, les mouvements cellulaire, les échanges
cellulaires, les divisions cellulaires et la synthèse des protéines
L’étude des êtres vivants peut se faire à différentes échelles : constituants chimiques, cellule,
organisme. Elle requiert de nombreuses techniques ; la connaissance préalable des plus
employées d’entre elles peut faciliter grandement la compréhension de certaines expériences.
La théorie cellulaire, élaborée au cours du 19e siècle, établit que tous les êtres vivants sont
formés d’une ou de plusieurs cellules, les virus ne constituant qu’une exception apparent I-
Les techniques de prélèvement de cellules
Etage de l’échantillon
sur une lame en verre
Consigne :
A partir des documents ci-dessus identifie et décris les différentes techniques de prélèvement
de cellule
Résumé :
Examinée au MO, la cellule vivante est le plus souvent translucide et homogène. Les seuls
contours visibles sont dus à des différences de transparence. Pour bien visualiser la cellule on
utilise des colorants.
Consigne :
Résumé :
a- Le protocole du test de Feugen : l’échantillon est mis dans un tube contenant de l'acide
chlorhydrique puis on place ce tube au bain marie à 60°C pendant 10min. Ensuite on récupère
l'échantillon et le mettre dans le réactif de Schiff pendant 30min à 1h. Enfin on retire
l’échantillon pour le monter entre lame et lamelle pour l’observer au microscope optique.
Les colorants non vitaux sont : l’eau iodée, alcoolique de Soudan III tétroxyde d’osmium c-
1- La centrifugation a-
• Chimique : destruction des membranes avec des détergents (acides ou basiques) ou par des
enzymes ; cas des parois cellulaires (cellules végétales et cellules bactériennes).
Document 9 :
Consigne :
Lors de la centrifugation, on utilise une centrifugeuse qui est un appareil destiné à donner une
accélération, à un mélange liquide-solide grâce à un mouvement de rotation.
2- La chromatographie
C’est une méthode de séparation des constituants présents dans des mélanges variés. Elle sert
en analyse pour purifier, identifier et quantifier des composés d’un échantillon quelconque
Les éléments de la chromatographie sont :
La phase mobile: C’est un liquide ou gaz qui se déplace à travers la phase stationnaire, en
entraînant avec lui les composés de l’échantillon. Elle doit être soluble et interagir avec les
composés de l’échantillon et non pas avec la phase stationnaire.
La colonne: C’est le support de la phase stationnaire (gel ou résine). A travers lequel, la phase
mobile passe. Elle peut être en verre, en plastique ou en inox et de différentes dimensions.
Document 10 :
Le principe de base repose sur les équilibres de concentration qui apparaissent lorsqu’un
composé est mis en présence de deux phases non miscibles, l’une dite stationnaire (solide ou
liquide) et l’autre dite mobile liquide ou gazeux)
Bilan, la chlorophylle brute est un mélange de pigments, ces pigments sont localisés dans la
membrane des thylakoïdes des chloroplastes
3- L'électrophorèse
Document 12
Texte : « Les traceurs radioactifs sont notamment utilisés en biologie. Les propriétés
chimiques d'un isotope radioactif et d'un isotope stable du même élément chimique sont
identiques ; la seule différence est que le radio-isotope est instable. Cette instabilité provoque
l'émission de rayonnements qu'il suffit de détecter pour suivre sa trace et localiser la molécule
marquée. Le marquage peut être effectué de deux manières :
- remplaçant un atome stable d'une molécule par un de ses isotopes radioactifs
- accrochant à une molécule un atome supplémentaire, radioactif.
Le marquage isotopique est une technique utilisée pour suivre le passage d'un isotope à
travers une réaction ou une voie métabolique Consigne :
Explique le principe du traçage radioactif en biologie.
Résumé :
Un traceur radioactif (radiotraceur) est une molécule radioactive décelable par le
rayonnement nucléaire qu'elle émet et qu’on peut suivre dans un organe ou une cellule sans
perturber son fonctionnement.
Remarque : On parle de marqueur quand le but recherché est la mise en évidence d’une
molécule dans une réaction.
V- Utilisation des microscopes pour observer des préparations
L’examen des cellules a toujours répondu à l’utilisation des microscopes. Il existe deux types
de microscopes suivant leur résolution : les microscopes dits « optiques » qui vont utiliser un
faisceau lumineux, et les microscopes électroniques qui vont utiliser un faisceau d'électrons.
Que ce soit pour la microscopie optique ou électronique, les structures à étudier nécessite une
préparation des coupes fines qui se fait en plusieurs étapes :
1. La fixation : consiste à plonger le tissu à étudier dans un fixateur, qui tue les cellules mais
permet leur immobilisation et leur conservation.
Le microscope optique
Les microscopes optiques (à lumière transmise ou photoniques) permettent l’observation de
cellules vivantes ou mortes, grâce à des coupes très fines de préparations fixées. L’échantillon
est éclairé en lumière transmise, et est examiné à travers un système optique.
Le microscope optique ou photonique sert à agrandir des objets invisibles à l’œil nu. Cet
agrandissement est dû à un système de lentilles, porté par des pièces métalliques formant le
statif. L’éclairage est assuré par un dispositif spécial.
Le statif
Il est constitué d’un ensemble de pièces :
Consigne :
a- Observe le document 13 puis indique les différents élément qui compose une
préparation microscopique
b- En utilisant les mots en gras du texte descriptif du microscope, identifie les différentes
lettre du document 12
c- Explique le principe de fonctionnement du microscope
Résumé :
a-Une préparation microssopique se compose de l’objet à observer, posé sur la lame dans
liquide de montage et couvert par un lamelle.
b-Voir le document
c- Le microscope optique ou microscope photonique est constitué d'un tube qui possède à ses
deux extrémités des lentilles.
La lentille de l’objectif dirigé vers l’objet à examiner, donne une image réelle, inversée et
agrandie de l’objet. Cette image n’est pas formée sur un verre dépoli, mais se trouve quelque
part dans le tube optique, c’est l’image intermédiaire.
La deuxième lentille, dirigé vers l’œil de l’observateur, est appelé l’oculaire ; il fonctionne
comme une simple loupe et grossit l’image précédente. On obtient alors l’image définitive
virtuelle, plus ou moins fortement grossie et renversée de l’objet initial.
Le grossissement total du microscope est égal au produit du grandissement de l’objectif (un
rapport de longueurs) par le grossissement de l’oculaire (un rapport angulaire) ou en faisant le
rapport taille image mesurée/taille réelle de l’objet.
Enfin, je regarde dans l’oculaire et à l’aide de la vis macrométrique je remonte le tube optique
jusqu’à avoir une image, la netteté de l’image est obtenue grâce à la vis micrométrique. Je peux
déplacer la préparation dans tous les sens pour l’explorer en entier. Pour changer de
grossissement on ne fait que tourner le revolver.
2) Le microscope électronique
Document 15
Tous les êtres vivants sont constitués de cellules associées ou non en organes. Chez les êtres
pluricellulaires, les cellules se sont spécialisées pour accomplir les fonctions vitales de
l'organisme tout entier (partage des tâches comme dans une société)...
Il existe de nombreuses cellules différentes de par leur aspect et leur fonction et malgré tout,
les scientifiques parlent d'unité structurale lorsqu'ils parlent de la cellule : pourquoi ?
Photo c Photo d
Consigne :
Observe les différents documents pour identifier les éléments communs de la cellule animale
Résumé :
Les cellules animales présentent une structure relativement simple : un milieu intracellulaire
appelé cytoplasme limité par une membrane cytoplasmique et contenant un noyau .
On distingue dans le cytoplasme des éléments difficiles à déterminer qui seront pour le
moment appelés « granulation cytoplasmiques » ou « inclusions cytoplasmiques ». Ces
éléments nécessitent le microscope électronique pour être analysés
c- On prélève un peu de pulpe de pomme de terre en grattant avec l’aiguille lancéolée, ensuite
on le monte entre lame et lamelle dans une goutte d’eau iodée et enfin observe au
microscope optique au faible puis au fort grossissement
Document 4 : Observation de cellules de pomme de terre au microscope optique
Consigne :
La cellule végétale est entourée d’une paroi cellulosique épaisse lui donnant sa forme. La
paroi se situe autour de la membrane plasmique qui délimite le cytoplasme des
compartiments appelés organites. Parmi les organites spécifique de la cellule végétale, on
observe les chloroplastes (colorés en vert par la chlorophylle), la vacuole (qui occupe le
plus grand volume du contenu cellulaire),les amyloplastes ( réserves d’amidon).
Remarque : En plus des chloroplastes et des amyloplastes, on trouve aussi les chromoplastes
au niveau des algues rouges , les organes végétaux colorés en rouge, orange , jaune etc.
Les cellules animales et les cellules végétales ont en commun la membrane plasmique, le
cytoplasme avec beaucoup d’inclusions et le noyau. Cependant on trouve la paroi
pectocellulosique, la grande vacuole, les plastes (chloroplaste et amyloplaste) uniquement
chez la cellule végétale II- Les ultrastructures cellulaires
Les analyses chimiques ont montré que les membranes cellulaires sont essentiellement
composées de phospholipides (lipides contenant un acide phosphorique H3PO4) et de
protéines. Elles contiennent aussi du cholestérol et des polysaccharides.
Remarque : Les phospholipides sont des molécules qui ont deux pôles, une « tête »
hydrophile (qui a une affinité pour l'eau) et de deux « queues » hydrophobes (qui repoussent
l'eau)
Observée au microscope électronique, la membrane cytoplasmique est formée de deux
couches sombres (de 20 Å d’épaisseur) séparées par une couche claire (de 35 Å d’épaisseur).
Remarque : 1 Å (ångström) est égal à 10-10 m.
En 1935, James Frederic Danielli et Hugh Dawson, formulent l'hypothèse selon laquelle les
membranes cellulaires se présentent selon le modèle présenté par le document 5a. Ce modèle
se révèle très vite insuffisant car la bicouche lipidique est en effet imperméable, elle ne laisse
passer que les gaz et quelques substances hydrophobes. Or la cellule échange avec le milieu
extérieur des centaines de molécules diverses nécessaires à la vie cellulaire. Ainsi en 1972,
Jonathan Singer et Garth Nicholson repensent l'hypothèse de Danielli et Dawson et décrivent
le modèle de la mosaïque fluide (doc 5b).
Résumé :
L’observation de la position de ces protéines dans le temps et dans l’espace ne donne pas le
même aspect, cela signifie que les différents types de molécules de la membrane se déplacent
constamment : c’est ce qu’on appelle la mosaïque fluide de la membrane.
Le cholestérol est une molécule présent entre les phospholipides joue un rôle efficace de
modulateur naturel de la fluidité membranaire
Les groupes glucidiques ne sont présents que sur la surface extérieure de la membrane
plasmique, et sont soit attachés à des protéines, ce qui forme des glycoprotéines, soit attachés
à des lipides, ce qui forme des glycolipides
Rémarque ; L’interprétation de Singer et Nicholson est la plus complète que celle de Danielli
et Dawson car elle permet d’expliquer la perméabilité et la mosaïque fluide de la membrane
Résumé :
Au niveau de la zone de contact entre cellules animales voisines, on a des jonctions serrées et
des desmosone qui assurent la cohésion cellulaire tandis que les jonctions ouvertes assurent la
communication cellulaire
b- La paroi pectocellulosique
Consigne :
La paroi pectocellulosique est épaisse et présente deux couches de part et d’autres d’une
couche de base, appelée la lamelle moyenne et formée de pectines :
Une observation plus fine de la paroi pectocellulosique montre les plasmodesmes qui sont des
trous fins assurant la continuité cytoplasmique entre deux cellules contigües. 2- Les organites
cytoplasmiques
Réseau de sacs et de tubes aplatis dont certains portent de nombreux granulations et d’autres lisses
Empilement de sacs aplatis formés à partir du réticulum et qui « bourgeonnent » en permanace des vésicules qui ceontiennent
des molécules emballées puis exportées
Document 10 :
Organite spécialisé dans la respiration cellulaire, c’est dire dans la dégradation des nutriments carbonés
a- A partir les électronographies des documents 8 à 14, décris les différents organites
cellulaires b-Réalise le schéma d’interprétation de la mitochondrie et du
chloroplaste Résumé :
Le réticulum endoplasmique : C’est un ensemble de saccules et de canaux limités par des
membranes et communiquant entre eux. Ils proviennent de certaines invaginations de la
membrane cytoplasmique ou de la membrane nucléaire. Il existe deux types de réticulum
endoplasmiques :
L’ergastoplasme ou réticulum endoplasmique granuleux ou rugueux (REG)
Sa face externe porte des granulations, les ribosome ou grains de Palade. Il est le lieu de la
synthèse des protéines
Le chloroplaste est un organite ovoïde qui possède une membrane externe, une membrane
interne formant des crêtes et une substance fondamentale formant (la matrice ou stroma).
La Vacuole : C’est une cavité délimitée par une simple membrane et qui occupent la plus
grande partie du corps cellulaire chez les végétaux. Elle est remplie de nombreuses substances
dissoutes et interviennent dans la régulation des échanges cellulaires.
Remarque : dans la cellule animale la vacuole est de petite taille et assurent parfois une fonction
digestive (vacuoles digestives ou phagosomes). 3- Le noyau
Document 15 : électronographie et schéma d’interprétation du noyau
Résumé :
Le noyau est un organite arrondi constitué d’une enveloppe nucléaire, de nucléoles et d’un
nucléoplasme.
a. L’Enveloppe nucléaire
L’enveloppe nucléaire est constituée de deux membranes : la membrane externe qui porte des
granulations appelées ribosomes et la membrane interne. Elles proviennent du réticulum
endoplasmique et présentent des pores nucléaires à travers lesquels se font les échanges entre
le nucléoplasme et le cytoplasme.
b. Le nucléoplasme
C’est le contenu du noyau. Il est constitué d’eau, de sels minéraux et de substances dissoutes
dont la chromatine qui est constituée d’ADN et de protéines appelées histones. La chromatine
peut être claire (ou invisible) : on parle de euchromatine ; ou sombre (visible) : on parle
d’hétérochromatine c. Le nucléole
Il est situé dans le nucléoplasme, de forme sphérique et dense. Il est constitué d’ARN et de
protéines et assure la synthèse des grains de ribosome.
NB : Le noyau permet de classer les êtres vivants en deux groupes : les procaryotes dont le
noyau n’est pas clairement délimité et les eucaryotes dont le noyau est délimité par une
enveloppe nucléaire.
Expérience 1 : On coupe une amibe (protozoaire) en deux parties, une partie nucléée (contient
un noyau) et une partie anucléée (sans noyau). On observe que la partie nucléée reste en vie,
croît et se multiplie, alors que la partie anucléée meure.
Expérience 2 : L’acétabulaire est une algue unicellulaire composée d’une base, d’une hampe
et d’un chapeau. On réalise l’expérience suivante sur deux espèces d’acétabulaire qui diffèrent
par la forme de leur chapeau.
Consigne : exploite les résultats de ces expériences puis tire une conclusion
Résumé :
Les résultats de l’expérience 1 montrent que le noyau est essentiel à la vie, la croissance et la
multiplication des cellules.
Les résultats de l’expérience 2 montrent que le noyau dirige les synthèses cellulaires, donc
c’est lui qui contient le matériel génétique responsable des caractéristiques d’un individu.
Consigne :
1. Les bactéries
Les bactéries sont des organismes unicellulaires. Elles peuvent mesurer environ 1 à 10μm de
long, mais la majorité d’entre elles n’ont qu’un diamètre d’environ 1 à 2μm. Il existe des
millions de différents types de bactéries dans le monde. C’est pourquoi il est important de se
doter d’un système permettant de les répertorier. Les scientifiques classent généralement les
bactéries en fonction de deux caractéristiques :
- l’épaisseur de leur paroi cellulaire : les bactéries à Gram positif ont des parois
cellulaires épaisses et les bactéries à Gram négatif ont des parois cellulaires minces
- leur forme : sphériques (les coques ou cocci) ; bâtonnets (les bacilles) et spiralées ou
autres.
Document 1 :
-un cytoplasme homogène, limité par une membrane plasmique, qui renferme des ARN
solubles (ARN messager et ARN de transfert), et ARN ribosomal.
-un nucléoïde : équivalent du noyau, occupe le centre du cytoplasme et est formé d’une seule
molécule d’ADN circulaire d’une longueur de 1mm représentant le chromosome bactérien. Il
n’est pas entouré d’une enveloppe qui le sépare du cytoplasme. L’ADN code pour 5000
protéines différentes.
-des plasmides : ce sont des fragments d’ADN extra chromosomiques circulaires et localisés
dans le cytoplasme.
Structures inconstantes :
1-un flagelle : qui est une expansion membranaire mobile dont le nombre est de 1à 8.
2-des pilis (poils) : qui sont des expansions membranaires rigides plus courtes que le flagelle,
utiles à l’adhésion.
2. Les virus
Un virus est une particule microscopique infectieuse qui ne peut se répliquer qu'en pénétrant
dans une cellule et en utilisant la machinerie cellulaire. Les virus qui infectent les bactéries
sont les bactériophages. Il existe des virus qui infectent des animaux et d'autres qui infectent
les végétaux. S'ils provoquent des maladies, les virus peuvent être considérés comme des
germes pathogènes.
- Une enveloppe virale constituée d'une double bicouche lipidique et de deux sortes de
glycoprotéines : gp120 et gp 41. La molécule gp 41 traverse la bicouche lipidique tandis que
la molécule gp120 occupe une position plus périphérique : elle joue le rôle de récepteur viral
de la molécule membranaire CD4 des cellules hôte. L'enveloppe virale dérive de la cellule
hôte : il en résulte qu'elle contient quelques protéines membranaires de cette dernière, y
compris des molécules du CMH.
- Un nucléocapside, qui inclut une couche de protéine p17 et une couche plus profonde
de protéines p24.
- Un génome constitué de deux copies d' ARN simple brin associées à deux molécules de
transcriptase inverse (p64) et à d'autres protéines enzymatiques ( protéase p10 et intégrase
p32)