Professeur associé en Langue et traduction françaises, Dipartimento di Lingue e letterature, comunicazione, formazione e società (DILL), Università degli Studi di Udine (Italie). Traducteur et soi-disant traductologue. Tout ce qui est traduction m'intéresse.
Address: Dipartimento DILL, Università degli Studi di Udine
Palazzo Antonini, Via Petracco 8 – I-33100 Udine
ORCID ID: https://orcid.org/0000-0003-3000-3360
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Books by Fabio Regattin
http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=58771
Contributions by / Contributions de / Contributi di / Beiträge von
Véronique Béghain, Emine Bogenç Demirel, Elena Chiocchetti, Zeynep Görgüler, Manon Hayette, Antonella Nardi, Fabio Regattin, Tiziana Roncoroni, Winibert Segers, Heidi Verplaetse
https://www.ilibridiemil.it/index.php?main_page=product_book_info&products_id=1016
[FR] Ce volume naît d’une question : qu’est-ce que s’autotraduire, pour un écrivain ? La réponse se compose de différentes parties. Une partie réflexive, où quelques autotraducteurs parlent de leur processus d’écriture ; une partie historico-théorique, où l’on analyse des textes ou des pratiques spécifiques ; une partie métadiscursive, où l’on observe ce que d’autres autotraducteurs ont dit sur leur propre travail. Le tout est précédé par une indispensable mise en contexte.
[FR] Un petit volume (en italien) sur la traduction des jeux de mots, à partir de et vers plusieurs langues européennes. Avec des contributions de Stefano Bartezzaghi, Franco Nasi, Marina Manfredi, Barbara Ivancic, Ana Pano Alamán, Fabio Regattin et Gabriella Imposti. Version intégrale à télécharger à l'adresse http://amsacta.unibo.it/5749/
[EN] A little book (in italian) on wordplay translation. Papers by Stefano Bartezzaghi, Franco Nasi, Marina Manfredi, Barbara Ivancic, Ana Pano Alamán, Fabio Regattin and Gabriella Imposti. Free download at http://amsacta.unibo.it/5749/
Papers by Fabio Regattin
Voici le résumé : Un des mots-clés de la réflexion contemporaine en traductologie est « élargissement ». Différents courants cherchent de plusieurs manières à pousser les frontières de la discipline en des directions multiples. Pourquoi en est-il ainsi? Pourquoi, en tant que traductologues, ne nous contentons-nous pas d’étudier le passage d’un texte écrit d’une langue à une autre? Je maintiendrai que le péché original de la traductologie est sa date de naissance : nous avons essentialisé une conception particulièrement restreinte, et historiquement déterminée, de l’acte traductif et de ses produits, et nous l’avons érigée en système. Avancer – ou revenir en arrière, tout dépend de notre perspective – est encore possible.
Résumé: Les traducteurs de la bande dessinée ont parfois été comparés à des investigateurs sémiotiques ; en effet, afin d’en réaliser une traduction efficace, l’iconotexte devrait souvent être appréhendé comme un tout où les différents systèmes sémiotiques en jeu – le graphique et le verbal, sous ses différentes formes – coopèrent et se répondent mutuellement. Cette vision de la traduction de la BD, qui permet entre autres de dépasser les lectures qui rangent ce type d’activité parmi les traductions à contrainte, est certainement appréciable ; toutefois, elle se situe toujours dans le cadre de l’équivalence entre texte-source et texte-cible. Or, il est des situations où le graphique prend le pas sur le verbal et cette forme d’équivalence n’est plus envisageable : la personne qui traduit est de ce fait obligée de recréer entièrement un texte, s’inspirant des images. C’est pourquoi nous proposons – à l’aide de quelques exemples, tirés de la traduction vers l’italien de livres illustrés, qui présentent des problèmes comparables à ceux de la BD – de remplacer l’image des traducteurs comme investigateurs sémiotiques par celle des traducteurs comme trompeurs sémiotiques.
L'articolo fa parte di un bel (anche se non dovrei dirlo, visto che l'ho co-curato assieme ad Alberto Bramati) numero di una bella (questo posso dirlo) rivista, mediAzioni, che ha tutti i suoi contributi in libero accesso. Se non la conoscevate, fateci un giro: https://mediazioni.unibo.it/
English: This contribution is based on an online seminar, held in April 2021, in which I asked the participants to translate some short passages from French into Italian, all of which can be linked to the concept of wordplay. All the excerpts were taken from a series of comics I had just translated at the time. My article will briefly describe the methods and contents of the seminar; it will then provide some quantitative and qualitative data on the versions I received (remembering that it will not be possible to draw generalizations from a sample that has not been selected according to any explicit criteria); finally, it will propose an assessment of the results and will try to provide some explanatory hypotheses.
Italiano: Questo contributo prende le mosse da un seminario online, tenuto nell’aprile del 2021, nel corso del quale ho proposto alle partecipanti di tradurre dal francese all’italiano alcuni brevi brani – estratti da una serie di volumi a fumetti alla cui traduzione avevo lavorato nei mesi precedenti all’incontro – globalmente riconducibili al concetto di gioco di parole. L’articolo esporrà in breve le modalità di svolgimento e i contenuti del seminario; fornirà poi qualche dato quantitativo e qualitativo sulle versioni ricevute (ricordando che non sarà possibile trarre generalizzazioni da un campione che non è stato selezionato secondo alcun criterio esplicito); proporrà infine un bilancio di quanto emerso e proverà a fornire alcune ipotesi esplicative.
NB: Tout le numéro est disponible en ligne sur le site de la revue MediAzioni, avec plein d'articles intéressants: https://mediazioni.unibo.it/issue/view/1113
Other papers on automatic wordplay and humor translation to be downloaded here: http://star.informatik.rwth-aachen.de/Publications/CEUR-WS/Vol-3180/ (pages 1641-1848)
Le numéro de trans-kom où le texte a été publié est entièrement disponible à l'adresse https://www.trans-kom.eu/. Bonne lecture!
Le numéro, très intéressant, est entièrement disponible à l'adresse https://sciendo.com/issue/TRAN/12-13/1.
http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=58771
Contributions by / Contributions de / Contributi di / Beiträge von
Véronique Béghain, Emine Bogenç Demirel, Elena Chiocchetti, Zeynep Görgüler, Manon Hayette, Antonella Nardi, Fabio Regattin, Tiziana Roncoroni, Winibert Segers, Heidi Verplaetse
https://www.ilibridiemil.it/index.php?main_page=product_book_info&products_id=1016
[FR] Ce volume naît d’une question : qu’est-ce que s’autotraduire, pour un écrivain ? La réponse se compose de différentes parties. Une partie réflexive, où quelques autotraducteurs parlent de leur processus d’écriture ; une partie historico-théorique, où l’on analyse des textes ou des pratiques spécifiques ; une partie métadiscursive, où l’on observe ce que d’autres autotraducteurs ont dit sur leur propre travail. Le tout est précédé par une indispensable mise en contexte.
[FR] Un petit volume (en italien) sur la traduction des jeux de mots, à partir de et vers plusieurs langues européennes. Avec des contributions de Stefano Bartezzaghi, Franco Nasi, Marina Manfredi, Barbara Ivancic, Ana Pano Alamán, Fabio Regattin et Gabriella Imposti. Version intégrale à télécharger à l'adresse http://amsacta.unibo.it/5749/
[EN] A little book (in italian) on wordplay translation. Papers by Stefano Bartezzaghi, Franco Nasi, Marina Manfredi, Barbara Ivancic, Ana Pano Alamán, Fabio Regattin and Gabriella Imposti. Free download at http://amsacta.unibo.it/5749/
Voici le résumé : Un des mots-clés de la réflexion contemporaine en traductologie est « élargissement ». Différents courants cherchent de plusieurs manières à pousser les frontières de la discipline en des directions multiples. Pourquoi en est-il ainsi? Pourquoi, en tant que traductologues, ne nous contentons-nous pas d’étudier le passage d’un texte écrit d’une langue à une autre? Je maintiendrai que le péché original de la traductologie est sa date de naissance : nous avons essentialisé une conception particulièrement restreinte, et historiquement déterminée, de l’acte traductif et de ses produits, et nous l’avons érigée en système. Avancer – ou revenir en arrière, tout dépend de notre perspective – est encore possible.
Résumé: Les traducteurs de la bande dessinée ont parfois été comparés à des investigateurs sémiotiques ; en effet, afin d’en réaliser une traduction efficace, l’iconotexte devrait souvent être appréhendé comme un tout où les différents systèmes sémiotiques en jeu – le graphique et le verbal, sous ses différentes formes – coopèrent et se répondent mutuellement. Cette vision de la traduction de la BD, qui permet entre autres de dépasser les lectures qui rangent ce type d’activité parmi les traductions à contrainte, est certainement appréciable ; toutefois, elle se situe toujours dans le cadre de l’équivalence entre texte-source et texte-cible. Or, il est des situations où le graphique prend le pas sur le verbal et cette forme d’équivalence n’est plus envisageable : la personne qui traduit est de ce fait obligée de recréer entièrement un texte, s’inspirant des images. C’est pourquoi nous proposons – à l’aide de quelques exemples, tirés de la traduction vers l’italien de livres illustrés, qui présentent des problèmes comparables à ceux de la BD – de remplacer l’image des traducteurs comme investigateurs sémiotiques par celle des traducteurs comme trompeurs sémiotiques.
L'articolo fa parte di un bel (anche se non dovrei dirlo, visto che l'ho co-curato assieme ad Alberto Bramati) numero di una bella (questo posso dirlo) rivista, mediAzioni, che ha tutti i suoi contributi in libero accesso. Se non la conoscevate, fateci un giro: https://mediazioni.unibo.it/
English: This contribution is based on an online seminar, held in April 2021, in which I asked the participants to translate some short passages from French into Italian, all of which can be linked to the concept of wordplay. All the excerpts were taken from a series of comics I had just translated at the time. My article will briefly describe the methods and contents of the seminar; it will then provide some quantitative and qualitative data on the versions I received (remembering that it will not be possible to draw generalizations from a sample that has not been selected according to any explicit criteria); finally, it will propose an assessment of the results and will try to provide some explanatory hypotheses.
Italiano: Questo contributo prende le mosse da un seminario online, tenuto nell’aprile del 2021, nel corso del quale ho proposto alle partecipanti di tradurre dal francese all’italiano alcuni brevi brani – estratti da una serie di volumi a fumetti alla cui traduzione avevo lavorato nei mesi precedenti all’incontro – globalmente riconducibili al concetto di gioco di parole. L’articolo esporrà in breve le modalità di svolgimento e i contenuti del seminario; fornirà poi qualche dato quantitativo e qualitativo sulle versioni ricevute (ricordando che non sarà possibile trarre generalizzazioni da un campione che non è stato selezionato secondo alcun criterio esplicito); proporrà infine un bilancio di quanto emerso e proverà a fornire alcune ipotesi esplicative.
NB: Tout le numéro est disponible en ligne sur le site de la revue MediAzioni, avec plein d'articles intéressants: https://mediazioni.unibo.it/issue/view/1113
Other papers on automatic wordplay and humor translation to be downloaded here: http://star.informatik.rwth-aachen.de/Publications/CEUR-WS/Vol-3180/ (pages 1641-1848)
Le numéro de trans-kom où le texte a été publié est entièrement disponible à l'adresse https://www.trans-kom.eu/. Bonne lecture!
Le numéro, très intéressant, est entièrement disponible à l'adresse https://sciendo.com/issue/TRAN/12-13/1.
[EN] We have argued elsewhere that translation is the form of (Darwinian) cultural evolution par excellence. In this paper, we will try to support this affirmation, by putting forward the following hypothesis: the idea of translation as cultural evolution has at least one great advantage – it sums up all the metaphors used to speak of translation as process. You can read all the papers of the issue at the following address: https://mediazioni.sitlec.unibo.it/index.php/no30-2021/129-articoliarticles-no-30-2021.html
The paper (in Italian) can be downloaded here: https://bit.ly/3x0Y8ML
[EN] In recent years, attention to metaphor has grown in translation studies. However, research mostly focusses on the interlingual translation of metaphors or on recurring metaphors for translational activity at a given moment in history. This article, in contrast, seeks to provide a detailed analysis of one single metaphorical extension (the one that links translation with the concept of game, or play) and its occurrence in contemporary theories of translation. After a discussion of the concepts of “metaphor” and “analogy,” this contribution presents a selection of theoretical works that, in the context of so-called “scientific” translation studies, have linked games and translation. These works have been divided into three categories: translation as play/game, translation as a specific type of game, “playful” translation of “playful” texts and wordplay. After presenting these data, we will attempt to analyse them in order to answer the following question: how can visions that are very different from each other co-exist under the same basic formulation, i.e., the predicative metaphor “translation is a (type of) play/game”?
L'article est désormais disponible sur Erudit, à l'adresse https://www.erudit.org/fr/revues/ttr/2013-v26-n1-ttr02584/1036956ar/.
Articles et/ou résumés de la journée disponibles à l'adresse https://motsmachines.github.io/2021/program
[FR] Récemment, Itamar Even-Zohar a souligné à plusieurs reprises (2013, 2015) la nécessité d’une approche évolutionnaire à l’étude de la culture. Une telle approche pourrait certainement être considérée comme écologique, comme Iovino (2011 : 56) semble le signaler lorsqu’elle affirme que l’écologie doit être comprise comme «la science des relations [entre] les êtres vivants mais aussi entre les idées ou les cultures». Il existe au moins deux manières possibles d’approcher la culture et la traduction d’un point de vue évolutionnaire. La première est la vision populationnelle, laquelle considère que les textes et, plus généralement, les produits culturels sont engagés dans une constante lutte darwinienne pour la survie : la mémétique est peut-être l’approche la plus connue à l’intérieur de ce courant, et elle a été explorée à plusieurs reprises en traductologie aussi (voir Chesterman, 2016 ; Regattin, 2018). Dans notre article, nous allons toutefois nous concentrer sur un deuxième groupe de théories de l’évolution culturelle ; celles-ci ne mettent pas au centre la sélection naturelle entre objets culturels, mais leur développement interne. Ces théories «développementales» remontent au moins aux travaux de sémioticiens et théoriciens de la culture tels que Youri Lotman ou Niklas Luhmann. Notre article se concentrera sur leur présence en traductologie.
Tout le numéro est très beau, avec plein d'articles intéressants, et c'est librement téléchargeable à l'adresse https://atelierdetraduction.usv.ro/archives/
This is the Italian translation of “Conversación con Jorge Semprún. Sobre autotraducción: de los recuerdos y sus formas de reescritura.”
Quaderns 16 (2009): 157-164.
[EN] In this article, we will use skopos theory, in the form developed by Hans J. Vermeer in Reiss & Vermeer (2013), to describe the translational choices of literary self-translators. We will first summarize the basics of skopos theory; we will then relate them to certain literary self-translation readings that seem to distance this practice from instances of "normal" translation, i.e. translation which is not made by the author of the source text. This will finally lead us to show how skopos theory can account for these differences on its own.
https://www.raco.cat/index.php/QuadernsTraduccio/article/view/369956
https://ejournals.lib.auth.gr/syn-theses/issue/view/1027/showToc
En 2006, dans un livre important pour l'établissement du caractère interdisciplinaire de notre discipline, Mary Snell-Hornby évoquait, parmi les directions futures que la traductologie pourrait suivre, l'évolutionnisme culturel. Douze ans plus tard, en 2018, une contribution dirigée par Olaf-Immanuel Seel semble donner une nouvelle impulsion à ce projet. Qu'en est-il alors, aujourd'hui, des rapports qui relient la traduction à quelques lectures « biologisantes » de la culture ? C'est à cette question que notre contribution essaiera de donner une réponse. Dans une première partie, nous présenterons les bases de la théorie de l'évolution, ainsi qu'une des théories qui relient celle-ci à la culture - la mémétique. Nous passerons ensuite à un tour d'horizon des textes qui ont essayé d'introduire ces approches en traductologie. Ce tableau constituera le coeur de notre article. Nous y verrons que, malgré quelques avancées intéressantes, si l'évolution culturelle a désormais été introduite en traductologie, le contraire n'est pas vrai : dans les travaux consacrés à l'évolution culturelle, la traduction brille par son absence. C'est pourquoi notre conclusion proposera quelques solutions pour qu'un dialogue s'établisse entre ces deux champs de recherche, ainsi que quelques pistes pour que la recherche dans le domaine se poursuive.
Con questo secondo volume si chiude il primo episodio della serie Villevermine, la graphic novel al crocevia tra diversi generi (fantascienza, horror, steampunk, noir), che mette in scena un universo delirante popolato da personaggi bislacchi e irresistibili. E al contempo invita il lettore a riflettere su temi cruciali della contemporaneità, quali il consumismo, l’empatia e il degrado dei centri urbani.
Al crocevia tra diversi generi (poliziesco, fantascienza, horror, steampunk), questa graphic novel mette in scena un universo delirante popolato da personaggi bislacchi e irresistibili. E al contempo porta l’attenzione del lettore verso una serie di temi cruciali della contemporaneità: il consumismo, l’empatia e il degrado dei centri urbani.
Prigioniera nella sua torre, una principessa attende con pazienza che un principe azzurro giunga a salvarla dalle barbariche orde che la assediano. Ed ecco che arriva Raowl che, dopo aver massacrato i barbari a uno a uno, prende la principessa tra le sue braccia muscolose e, decapitando e sventrando altri assalitori, la porta finalmente in salvo fuori dalle mura. Tutto come da copione dunque, ma alla principessa non sfugge un dettaglio: Raowl è una bestia che non assomiglia per niente a un principe azzurro! Ciò non toglie che l’ha salvata e quindi esige la sua ricompensa. Così, la principessa gli promette un bacio a patto che le trovi un principe azzurro come si conviene. Riuscirà il nostro eroe a portare a termine la nuova impresa? E la principessa manterrà la promessa?
Con il suo tipico stile dinamico e caricaturale, Tebo parodia i classici La bella e la bestia e La bella addormentata nel bosco per creare uno spassoso universo fiabesco con un protagonista irresistibile che strapperà più di una risata ai lettori di tutte le età.
Le colloque, co-organisé par les Universités de Padoue, d'Udine et de Bologne, aura lieu les 13 et 14 février prochains à l'Université de Padoue et en ligne (inscriptions à l'adresse suivante: https://unipd.zoom.us/meeting/register/faKRuTXpTbKcgo8D8hCS-Q).
Programme: https://goto.uniud.it/to/53
Info & inscriptions: simple[at]uniud.it
[EN]
This conference will investigate the relations between the acts of translating, writing and simplifying. Translating and technical writing, the pillars of previous T&R conferences, can be related to the idea of simplifying in various ways. At the same time, simplification can provide a bridge between the two. The idea of simplification will thus be examined in connection with translation, writing or both practices, both to confirm and question its relevance.
[FR]
Ce colloque se propose d’étudier les liens existant entre les trois activités évoquées dans son intitulé, à savoir traduire, écrire, simplifier. La traduction et la rédaction professionnelle, les deux piliers des colloques T&R, peuvent toutes deux être associées de diverses façons au concept de simplification. Parallèlement, la simplification peut d’une certaine manière servir de passerelle entre elles. Lors du colloque, le thème de la simplification sera donc exploré en relation avec la traduction, l'écriture ou toutes les deux à la fois, aussi bien pour confirmer sa pertinence que pour la remettre en cause.
I testi – specie quelli letterari – sono meccanismi complessi, il cui senso si costruisce su più livelli, non tutti contemporaneamente riproducibili in traduzione. Il traduttore è dunque costretto a privilegiarne alcuni, sacrificandone altri in funzione della sua interpretazione del testo originale. Valutare una traduzione limitandosi al solo livello semantico è quindi un’operazione impropria: gli errori “semantici” non sono necessariamente il segno dell’incompetenza linguistica del traduttore, di una sua insufficiente conoscenza della lingua di partenza o della lingua d’arrivo. Al contrario, sono in molti casi scelte consapevoli, motivate dalla necessità di riprodurre altri livelli del testo, considerati essenziali nella costruzione del suo significato complessivo. Questa giornata di studi si propone di indagare il complesso percorso che dalla lettura del testo originale porta il traduttore a costruire un nuovo testo nella lingua d’arrivo.
Interventi di Alberto Bramati, Giulia D'Andrea, Francesca Del Moro, Fernando Funari, Anna Giaufret, Catia Nannoni, Mirella Piacentini, Fabio Regattin e Ilaria Vitali.
Una "breve giornata" sugli autotraduttori al Dipartimento DILL dell'Università di Udine. Samuel Beckett non sarà della partita, ma diversi scrittori che si traducono parleranno della propria esperienza a cavallo tra le lingue e dialogheranno con alcuni specialisti del tema. Con la partecipazione di Antonio D’Alfonso, Chiara Lusetti, Lucia Mariani Chehab, Gilda Piersanti, Pasquale Verdicchio e Ornela Vorpsi.
Udine, 24-25/11/2022
Abstracts: 28/02/2022
simple@uniud.it
https://atelierdetraduction.usv.ro/archives/
Bonne lecture!
Ce numéro double d'Atelier de traduction se concentrera sur le croisement entre deux concepts apparemment assez éloignés, la traduction d'un côté et l'écologie de l'autre. Ce dernier terme, en particulier, se prête à confusion, puisque, s'il définit à l'origine la science qui étudie les relations entre les êtres vivants et le milieu dans lequel ils vivent (« écologie scientifique »), il est de plus en plus utilisé pour désigner les différents mouvements qui insistent sur l'importance de la protection de l'environnement (« écologie politique »). Les deux points de vue pourront être abordés.
Date-limite pour l'evoi des articles: le 1er mars 2020.
DATE-LIMITE / DEADLINE (résumés): 30 novembre 2019