Histoire 3
Histoire 3
Histoire 3
Le monde est pensée dans un sens architectonique, il y a des causes dans les effets et des
effets dans les causes, c’est cette unité du monde dont on va parler dans la proposition 11.
On avait étudiée des manières d’être l’un dans l’autre, le mélange de l’eau et de le vin/
Albert va penser la possibilité de la causalité réciproque pour qu’elle puisse se trouver dans
l’effet sur le mode de l’effet. En quoi les modèkes d’agrégat et le mélange ne convient pas pour
penser une manière du monde se tenir ensemble. Est-il possible plutôt possible penser d’un système
clos pour penser l’unité de la pluralité des mondes ? Les agrégats ne mélangent pas l’essence.
Logique et ontologique vont toujours ensemble . Il faut concevoir au sens fort que l’animal est l’être
en puissance de l’homme qui va se développer. Dans l’agrégat il n’y a pas la possibilité de penser un
être dans un genre qui est une cohésion, les éléments de l’agrégat demeurent distinct logiquement
et ontologiquement. Platon le philosophe est celui qui s’est découpé l’être selon les bons points
d’articulation.
Unité du monde à la fois sur le plan logique et ontologique, sur l’essence et du devenir, la
définition décrit une genèse.
L’être, la vie et l’essence n’appartient pas au même ordre du réel, il ne peuvent pas se
mélanger, il n’y a pas de rapport entre eux, il y a un raport hiérarchique. La causalité réciproque
propre au premier principe se déploie selon une logique de la manifestations il révèle comment
l’être postérieur, ex homme, est en puissance dans l’antérieur, animal. Description génétique
sur le plan métaphysique. Il y a une manière d’être de l’un dans l’autre dans une génèse
réciproque.
Nous ne décrivons pas seulement un processus de production physique, ce processus de
production est toujours déjà la manifestation du principe, l’animal se fait connaîté dans l’homme en
le spécifiant. Dans l’homme on peut expliquer en quoi il fait connaïte la vie, l’être, l’animalité,
production = manifestation.
L’un est comprise dans l’autre. La cohérence de l’univers repose sur l’intériorité réciproque
des principes et la causalité réciproque des uns dans les autres, ils peuvent être cause et effet dans
un et dan sl’autre.
L’être et la vie dans l’intelligence, l’être et l’intelligence dans la vie, et l’intelligence et la vie
dans l’être.
Les deux termes (vie, et être, l’animal et le rationnel) dans une intelligence.
Ils ne vont pas être deux intelligences mais deux être, la vie et l’intelligence sont dans l’être deux
êtres. L‘intelligence dans la vie et l’être sont deux être.
Il faut rendre compte qu’il y a l’être lui-même, l’être de la vie dans l’être, et l’être de l’intelligence
dans l’être. C’est qui est dédoublé est la notion de la vie et celle de l’intelligence, lorsqu’ils sont dans
l’être.
L’intelligence dans l’être ne serait pas en effet selon l’être dans l’intelligence mais selon l’être du
premier crée, c’est-à-dire, de l’être.
Il y a chaque moment un triple être des choses, à chaque instant de l’observatoin de l’univers, il y a
l’univers en lui-même, présent, et l’univers selon les deux autres principes.
Principe du secondum modmum accipientis, selon le mode de ce qui reçoit. La variation ontologique
de l’essence de chaque chose dépend de ce principe. Nous nous recevons nous-mêmes et nous
sommes selon les modes de ce qui nous reçoit au même temps.
L’être est la première origine, et la vie est le milieu dans lequel l’intelligence s’applique. Se qui
nous permet de penser ce qu’à tout moment nous pouvons observer notre acte d’intelligence
(intelligence), la vie (vie, biologie), et cette ressemblance immédiate avec toute chose (être).
Être en cohation avec la vie n’est pas la même chose comme être en cohation avec l’intelligence.
Il faut éviter qu’il ait un principe de l’être, un principe de la vie et un principe de l’intelligence
juxtaposées, l’interiorité de chacun permet de penser que la vie et l’intelligence procèdent de l’être,
mais le fait qu’ils demeurent c’est penser la vie et l’intelligence dans leur principalité, c’est dans l’être
qu’ils coexistent comme choses à devenir.
Julie.casteigt@mac.com