Đề cương NNH2
Đề cương NNH2
Đề cương NNH2
Subjonctif :
Modes personnels - présenter une action ou un état comme possibles sans certitude.
(avec des désinences de - exprimer généralement un désir, un souhait, un ordre, un doute, un
personne) regret, un conseil, une supposition.
TEMPS
Temps vécu Temps au plan existentiel, temps extralinguistique se divisant en siècle,
(Temps chronologique) années, mois, semaines, jours, heures…
Moyens lexicaux et Les adverbes (adverbes de temps) : hier, aujourd’hui, demain, souvent,
morphologiques toujours, tôt, avant, après, maintenant, soudain, encore…
(modes du verbe) Les modes impersonnels : le temps est lié au temps du procès
qu’exprime le verbe principal ou au contexte.
ASPECT
Le procès exprimé par le verbe peut être envisagé de 2 manières :
- Le temps : le procès est situé dans l’une de trois époques (passé, présent, futur), selon le rapport
entre 2 repères temporels (point d'énonciation, point de l'évènement)
- L’aspect : exprimer la manière dont l’énonciateur envisage l'événement dans son déroulement.
PROCÉDÉS ASPECTUELS EN FRANÇAIS
Les verbes
- Les verbes imperfectifs (états ou activités) : être la fille de X, fatigué, aimer qc,
dormir, pleuvoir, travailler, marcher, réfléchir, prendre…
- Verbes perfectifs (accomplissements ou activités) : entrer, naître, sortir, mourir,
Moyens lexicaux atteindre, tenir…
- Verbes biaspectuels (imperfectifs et perfectifs selon le contexte) : apprendre (=
étudier) / apprendre (= obtenir une formation).
Les affixes
- Les préfixes : reprendre, repartir, refaire (itératif) ; réveiller, ramasser
Moyens (ponctuel) ; remplir, parfaire (terminatif)
morphologiques - Les suffixes : feuilleter, voleter, sautiller (itératif) ; rougir, grandir, vieillir,
grossir (progressif)
- La forme pronominale : se mourir (progressif) ; s’endormir, s’en aller,
s’envoler (inchoatif)
Moyens Les temps verbaux : formes simples ou formes composées (avec auxiliaire être
grammaticaux ou avoir)
- Formes composées -> accompli : Il est rentré.
- Formes simples -> inaccompli : Il mange. (Il est en train de manger.)
- Formes simples -> aoristique (présent, P.S, F.S) : Je reviendrai. / J’arrive, je
me douche…
A. syntaxique A. énonciative
(4 formes) (3 formes)
Subordonnees relatives.
Je n’aime pas les étudiants qui ne travaillent pas.
Subordonnees completives.
Il est certain que la situation économique s’améliore.
Subordonnées circonstancielles.
- Subordonnées temporelles.
Avant que je prenne une décision, je veux encore réfléchir.
- Subordonnées de but.
Toutes les mesures seront prises pour que le code de la route soit appliqué strictement.
- Subordonnées de cause.
Marie ne peut pas sortir car elle est malade.
- Subordonnées de conséquence.
Il pleut si bien que nous ne sommes pas sortis.
- Subordonnées d’hypothèse.
Si tu travailles sérieusement, tu réussiras.
- Subordonnées d’opposition.
Vous reculez, tandis qu’il faudrait avancer.
- Subordonnées de concession.
Quoi que je dise, on ne me croira pas.
- Subordonnées de comparative.
Plus l’art est libre, plus il s'élève.
La communication interculturelle signifie le contact entre deux personnes (ou deux groupes) de
cultures différentes, en interaction et qui s’efforcent de se comprendre.
La métaphore de l’iceberg est souvent utilisée pour parler de culture car elle comporte une
partie visible et une partie cachée. Pour mettre en relief la différence entre la partie visible et la
partie invisible de l’iceberg, il est à souligner que la seconde partie est nettement plus
importante que la première. Cette partie invisible joue un rôle central pour la stabilité de
l’iceberg. Elle doit également être prise en compte par toute personne souhaitant naviguer
autour de l’iceberg.
Pour parler de culture, les propositions seraient identiques. Les manifestations visibles de la
culture (architecture, nourriture, comportement, institutions, arts, lois, costumes, rituels,
gestuelle...) ne sont que la partie émergée de l'iceberg. Elles reposent sur une partie invisible,
bien plus importante (valeurs, normes, croyances...), qui lui donne un fondement et un sens.
Ces éléments les plus puissants de la culture se situent sous la surface des interactions
quotidiennes.
La distance hiérarchique réfère au degré auquel les relations entre supérieurs et subordonnés
sont caractérisées par la hiérarchie et les interactions formelles.
L’individualisme/collectivisme réfère au degré auquel une culture met l’accent sur l’identité
individuelle et sur les choix personnels (individualisme), comparativement à l’identité
collective et au maintien du bien-être du groupe.
Exemple : Les États-Unis sont souvent considérés comme un pays individualiste, où l'accent
est mis sur la réussite personnelle et la promotion de soi, tandis que les cultures asiatiques
comme la Chine sont plus collectivistes, mettant l'accent sur l'harmonie sociale et les liens
familiaux étroits.
La masculinité caractérise les sociétés où les rôles sont nettement différenciés (où l’homme
doit être fort, s’imposer et s’intéresser à la réussite matérielle, tandis que la femme est censée
être plus modeste, tendre et concernée par la qualité de vie. À l’inverse, la féminité désigne les
cultures où les rôles sont plus interchangeables.
Exemple : Les sociétés scandinaves comme la Suède sont souvent considérées comme
féminines en raison de leur accent mis sur l'égalité des sexes, le bien-être social et la qualité de
vie, tandis que les cultures comme celle du Japon sont souvent perçues comme plus
masculines, en mettant l'accent sur la compétition et la réussite professionnelle.
Le contrôle de l’incertitude correspond au degré d’inquiétude des membres d’une société par
rapport à des situations jugées ambiguës, inconnues ou incertaines.
Exemple : Les pays comme la France et l'Italie ont tendance à avoir un faible indice
d'évitement de l'incertitude, ce qui se reflète dans leur propension à adopter des attitudes plus
souples envers le changement, tandis que les cultures comme celles du Japon ou de la Grèce
ont tendance à avoir un fort indice d'évitement de l'incertitude, ce qui se traduit par une
préférence pour la stabilité et la prévisibilité.
L'orientation à long terme promeut les vertus orientées vers les récompenses futures, telles la
persévérance et l’épargne. À l’opposé, l’orientation à court terme promeut les vertus reliées
au passé et au présent, tels le respect de la tradition, la sauvegarde de la « face » et
l’accomplissement des obligations sociales
Orientation à long terme : La Chine est souvent citée comme un exemple de culture avec une
forte orientation à long terme car la culture chinoise valorise la persévérance, l'endurance et la
planification à long terme. Par exemple, la philosophie confucéenne, qui a profondément
influencé la société chinoise, met l'accent sur la patience, la diligence et la construction d'une
base solide pour l'avenir.
Orientation à court terme : Certaines cultures méditerranéennes, telles que l'Italie et l'Espagne,
sont également souvent perçues comme ayant une orientation à court terme. Ces sociétés
peuvent valoriser la spontanéité, le plaisir immédiat et la flexibilité par rapport aux plans à
long terme.
4. Quels sont les composants de la communication ? Pourquoi dit-on que les variations
culturelles existent à tous les niveaux de la communication ? Donnez des exemples pour
illustrer votre réponse.
Le stéréotype peut être défini comme un ensemble de traits censés caractériser ou typifier un
groupe, dans son aspect physique et mental et dans son comportement. Cet ensemble s’éloigne
de la “réalité” en la restreignant, en la tronquant et en la déformant. En plus, une représentation
stéréotypée est généralisée en appliquant automatiquement le même modèle rigide d’un groupe
à chacun de ces membres.
Ex : Les Suisses sont lents. // Tous les produits bio sont chers et de qualité supérieure.
6. Présentez le déroulement du choc culturel. Quelles sont les stratégies pour surmonter
les chocs culturels ?