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Objectif Perruches – etape 1
le lundi 6 mars 2023 à 8h59
Chacun sa façon de voir, mais pour moi une cage reste une cage, quel que soit la taille.
Oh j’ai hâte de voir l’évolution de vos relations avec les petits oiseaux !
Je suis tombé par hasard sur les réseaux sociaux d’un éducateur qui possède un perroquet femelle qu’il a appelé Tropico, et qui se retrouve souvent avec plein d’autres oiseaux qu’il apprivoise, remet sur patte et laisse en liberté autour de lui.
J’espère que vous arriverez à faire comme lui. Son pseudo c’est yousstropico si tu ne connais pas et que tu veux aller jeter un coup d’oeil !
Plantvert > Même une pièce de 35m2 ? Et un jardin de 2000m2 aussi ? Parce que c’est là qu’ils vont habiter, dès qu’ils auront compris que la cage, c’est juste pour manger et dormir…
Je ne ferai de commentaire. Ne juge point et tu ne seras point jugé.
La Sainte-Messe dominicale m’enseigne à exorciser mon péché de colère.
C’est vrai que les plus jeunes ont un air un peu maladif ;( Consanguinité ou trop jeunes encore ? Je suis les nouvelles ! Fidèle que je suis !
@PlantVert:
Hors de la cage il y a les chats, les chasseurs, les buses, les faucons, les renards, les fouines, les…
Ou on réussi à apprendre aux 4 perruches les techniques d’autodéfense, la notion de guerre aérienne, etc.. Ou malheureusement il faudra les protéger. La Nature est féroce.
Et pense à Pipir… Lui, en milieu naturel, ça s’appelle un casse croute…
@Melaka
Mode Cromignon activé 🙂
J’ai été très touché par l’adoption de Pipir, ça me rappelle ton adoption de « Freddy » (?)(le petit chien)
J’ai googlé un peu pour la perte de plume. Désolé si j’écris des choses que tu connais déjà.
Je te dirais que d’abord, les plumes c’est des phanères comme les ongles ou les cheveux, ça repousse (mue). Sauf si le membre qui les porte est manquant.
Génétique: peu probable.
La génétique c’est souvent tout ou rien. Il existe des perruches sans plume mais ce n’est pas le cas. Ou alors il existe des cas où toutes les plumes sont défectueuses, pas seulement certaines.
Et en général la génétique c’est symétrique par rapport à l’axe du corps: pas de plume à droite, pas de plume à gauche. Les asymétries… sauf chimérisme je suis sceptique ou mes connaissances sont trop datées.
Par contre il y a beaucoup de cause non génétiques qui peuvent causer des pertes de plume. Maladies type champignon ou bactéries, ectoparasites, arrachage des plumes par d’autres oiseaux ou par l’oiseau lui même en cas de stress. Un peu comme chez l’humain on a la teigne ou des gens qui se rognent les ongles. Si c’est ça, ça se soigne.
Je miserais bien là dessus: la cage d’origine était très peuplée, c’est un petit piaf timide… soit les maladies ont pu circuler (et il l’a attrapée car plus fragile), soit les autres oiseaux ont pu lui arracher les plumes, soit il les a lui même arrachées pour cause de stress.
Autre hypothèse: j’ai remarqué que ce qui lui manque sur les photos se sont les dernières rémiges primaires. Pour pousser il faut que l’os sur lequel elles poussent soit présent. Si pour une quelconque raison il a perdu cet os (phalange proximale/ phalange de base), ça ne repoussera pas. Si tu as le bout du pouce broyé, l’ongle ne repoussera pas sur la partie restante.
Bref, peut-être faudrait il l’amener chez un véto pour inspection, voir si on peut lui faire quelque chose? Je redoute surtout la maladie qui pourrait contaminer les autres et lui causer d’autres problèmes.
J’ai un grand terrain que je travaille. Plusieurs hectares avec plus d’un km de haies dont certaines que j’ai replantées et qui ont bien poussé depuis le temps. Au milieu, j’ai un grand taillis de + de 1000m² avec de grands arbres, le tout bordé par mon jardin familial abrité des vents dominants, lui même entouré de nouveaux arbres.
Les piafounets font des allers et retours entre leurs nids et le jardin. C’est un grand bonheur de se poser et de les regarder piailler, se batailler, vivre quoi. A force, ils sont habitués à moi, jusqu’à un certain point. La saison dernière en plus des auges, avec de quoi laisser ressortir les bestioles tombées dedans (important !), j’avais mis un ancien bac à chat avec des pierres et de l’eau dedans, bien à l’ombre. Hé oui, saison très sèche et chaude, la nature souffrait, dont les oiseaux…
Mon bonheur avait été, sur la fin de la saison, de voir un des piafounets venir se baigner dedans et faire sa toilette alors que je rêvassais sur ma chaise à quelques mètres de là. Je ne doute pas qu’ils venaient déjà quand j’avais le dos tourné, mais les voir le faire quand j’étais juste là en comprenant que je leur voulais du bien m’a vraiment réchauffé le cœur.
Les oiseaux c’est vraiment sympa. J’ai des piafounets mais aussi des grosses buses qui planent au dessus attendant leur heure… et toute la panoplie. J’ai envie de dire que quand les oiseaux sont de nouveau chez eux chez nous, en relative confiance, c’est qu’on est en voie de gagner la partie. (je pars d’une parcelle en maïs indus)
Dans le grand taillis (il y en a quelques autres plus petits aussi), c’est une véritable volière à ciel ouvert. Il y a une petite clairière où j’aime bien me poser et j’observe.
Heureux.
Les piafounets c’est cool ! 🙂
(Mais ne me demande pas comment gérer des perruches ! 😀 )
Merci pour ces dessins très bien réalisés et les jolies photos ! C’est une note de blog pleine de douceur et apaisante qui fait du bien dans nos vies trop speed 🙂
Waao, Pipir est tout mignon, à dormir dans ses plumes. J’ai toujours eu un faible pour les éclopés d’une portée/nichée/famille, il est adorable ♥
Et Kiwi, avec son look de canari mixé avec une bouteille Orangina, trop belle !:))
Ah oui, je me demandais, « Aki », c’est pour Aki Hayakawa ?
Trop mimi!!! J’espère que les petits jeunes vont bien grandir!! Tu as bien fait de te laisser avoir par tes enfants hihihi!! Et ces petits anges seront sûrs de recevoir des bons soins et de l’affection chez vous!
@Mouais:
« Plusieurs hectares avec plus d’un km de haies dont certaines que j’ai replantées et qui ont bien poussé depuis le temps. Au milieu, j’ai un grand taillis de + de 1000m² «
Bravo! Respect 🙂
Outre le plaisir de leur venue, les piafs ont un rôle régulateur sur les populations de ravageurs. Même les granivores peuvent devenir temporairement carnivores pour nourrir leur petits.
Par exemple, pour les chenilles processionnaires. En plus des méthodes de luttes type collier ceinturant le tronc avec sac, les nichoirs à mésanges permettent la venue de mésanges bleues qui considèrent ces chenilles comme un excellent en-cas.
Les haies jouent un rôle important dans la lutte IPM (integrated pest management) (Lutte intégrée en français) car elles abritent des prédateurs des ravageurs de cultures.
Et puis quoi de plus beau qu’un oiseau faisant sa toilette avec application dans un bassin 🙂
J’ai eu le bonheur d’en voir et d’en photographier, la fenêtre de la salle de bain de la maison parentale donnant sur le bassin 🙂