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                        Vos pires dates – 5 – Arnaud
                    
        
                    le lundi 21 juillet 2025 à 16h29
TW : Sexe, NSFW. Enfin une histoire avec du cul ! 😀
NSFW Pires dates sexualité
                    
                    
                    
                    



C’est marrant il y a un podcast super intéressant qui vient de sortir sur la chaine audio d’Arte sur ‘l’incestuel », ce climat familial trop sexualisé qui brouille les frontières entre les parents et enfants, avec souvent des conséquences délétères sur ces derniers… Ce n’est pas de l’inceste en soi, c’est son antichambre en quelque sorte.
A mon sens on est complètement dedans: même bébé, un enfant n’a pas à être dans la même pièce que ses parents quand ces derniers font l’amour. C’est même étonnant que cela ne leur coupe pas, à EUX, toute envie érotique… Et encore pire de se dire qu’ils n’ont pas prévenu leur invité.
Ah ça, ramener un bébé qui tête en plein milieu d’un plan à trois, je comprends qu’il y a de quoi couper l’envie XD
Mais ? Bon bah c’est bien d’avoir une histoire où c’est le narrateur le boulet, pour changer. Je comprends qu’un bébé puisse couper la libido, mais de là à partir et les bloquer, je ne comprends pas.
pH > J’avoue que j’ai aussi trouvé la réaction immédiate « mensonge / fuite / blocage » un peu radical.
@pH Il a bien fait de faire comme il le sentait. Ce sont des situations qu’il n’y a pas à comprendre, sauf à connaître la sensibilité de chacun. Comme je l’ai écrit pour l’histoire d’Alex, si tu le sens pas, tu te casses. Si tu commences à chercher à comprendre, re comme pour l’histoire d’Alex, t’as tous les petits toutous pavlovisés (hein, mon Juju ?) qui te tombent dessus (homme+poing+très véner= ouah! ouah!).
Tiens, je vais leur donner du grain à moudre : le subliminal, ou le subconscient des bébés, c’est une réalité établie, alors il va se passer quoi, à votre avis, quand le poupon, adulte, va se rendre compte, après des années d’analyse que, bébé, ses parents le dorlotait au milieu d’un plan à 3 ?
Rhhhoo bordel, je sais pas trop quoi en penser mais l’anecdote est terrifiante, de mon point de vue perso!
(Je suis curieux de l’opinion commune -voir réac- sur l’histoire, cela dit: Je pense qu’il peut ptêt y avoir un bras de fer de ressenti entre « Allaiter un bébé dans une partouze*, quelle bande de dégénéré·es*, franchement » et « Mh…Bloquer, c’est un peu extrème, quand même, iels étaient très sympa et vu prix du vin, il est bien reçu, tout de même »)
*: pardon pour les termes connotés, c’est pour le personnage
Okaaaaay, en vrai je trouve ça un chouia gore et mal placé de ramener bébé pendant un moment sexuel, malaise malaise malaise, d’autant plus sans avoir prévenu le narrateur.
Je pense que niveau communication s’ils l’avaient juste prévenu en amont qu’ils avaient un bébé et qu’il pouvait se réveiller durant la fiesta boum boum, ça aurait été tout à fait entendu et entendable.
… et tiens, je relance de 100 dans le nourrain : en plus, ils ramènent le bébé alors qu’ils sont en train de s’alcooliser ! Bonjour, le lait maternel aromatisé « pinard » !
Mazette, dans le genre « échec critique en matière d’organisation et de compréhension mutuelle », ça se pose là !
Oulalala, j’avoue que là c’est un sacré malaise oui ! Comme dit plus haut, là tout part du fait qu’Arnaud n’ait pas été prévenu. Même s’il l’avait été, la femme qui ramène le poupon au milieu de tout ça, c’est aussi craignos, mais en soi si elle l’avait nourri dans une autre pièce, ça aurait déjà été moins chelou. Ca arrive que les parents ken alors qu’il y a un enfant dans la maison, tant que c’est fait discrètement et sans y exposer l’enfant, ça ne me choque pas. Mais gosh, pourquoi ne pas prévenir le mec ??
Après Arnaud aussi aurait pu s’expliquer, au moins pour tenter de leur faire comprendre le malaise (le couple avait l’air sympa), le blocage sans aucune explication est pas top non plus, mais vu l’ascenseur émotionnel que ça a dû être, je peux quand même comprendre
@Jean-Baltahzar
Tu continues de me mentionner dans d’autres posts maintenant ? Comme un ex relou qui n’arrive pas à tourner la page d’un moment où quelqu’un n’a pas trouvé ses blagues drôles.
Tu dis que tu veux “comprendre les sensibilités”, mais en fait t’essayes juste de t’entendre parler pendant que t’inventes des bébés traumatisés par des plans à trois en bd.
Et si je suis ton “Juju”, c’est uniquement dans ta tête. Un peu de pudeur, peut-être ?
Climat incestuel, ils ont le droit d avoir un bébé mais on ne fait pas l’amour à côté de son enfant. Le narrateur a eu une réaction de mec sain. Meme si oui on peut l’être libertin et parent!
Sur un autre point: le mari n’est pas sensé être juste spectateur dans un couple caudaliste ?
Je suis d’accord qu’inventer un mensonge sur sa mère qui a fait un malaise cardiaque c’est extrême. A un moment, on a parfaitement le droit de dire que la situation nous met mal à l’aise et qu’on préfère arrêter. Un mensonge + un blocage sans explication n’est pas une réaction saine. C’est aussi ça la culture du consentement, s’autoriser à arrêter un rapport quand ça nous gêne sans avoir à prétexter qu’un membre de notre famille est au bord de la mort….
Je lis ces planches et tout ce que j’ai en tête c’est « L’amour en chaussettes ».
Personne n’a rien retiré, zéro pieds nus.
Alors soit c’est pour éviter de les dessiner ou c’est un clin d’oeil caché au livre.
: D
Tout à fait d’accord avec Laari. Pour moi aussi, la culture du consentement c’est ça. C’est pouvoir arrêter à n’importe quel moment sans avoir besoin de se justifier.
Tu rencontres quelqu’un qui te plait. Beaucoup. C’est réciproque. Le désir est là, on passe à l’acte. Mais manque de bol, on n’aime pas les mêmes pratiques. C’est hyper frustrant pour les deux parties (ou trois ou quatre 😉 ), mais on arrête.
On peut s’expliquer, c’est mieux si on réussi à mettre en mots, mais on n’est pas obligé de donner une explication, de se justifier si on a du mal à le verbaliser.
Alors se sentir obligé de mentir, ça me parait vraiment trop dommage.
Jean-Balthazar (8)> on peut boire une certaine quantité en allaitant, si elle a un verre, il n’y a aucun souci 🙂
Sinon : yuk, je comprends totalement la réaction du gaillard…
Jean-Balthazar (8)> on peut boire une certaine quantité en allaitant, si elle a un verre, il n’y a aucun souci 🙂
Sinon : yuk, je comprends totalement la réaction du gaillard…
> Marie : rien de plus incertain et imprécis que le terme « une certaine quantité ». Pour un bébé, faut toujours viser le plus safe et le plus safe, c’est 0 alcool point barre ._
Je prends moi-même de l’alcool et je sais qu’il est toxique dès la 1 ère molécule, ou la première goutte, si tu veux. Mais je prends mes responsabilité et je connais, à peu près, ma tolérance à la substance. Qui connaît celle d’un nourrisson ? Très très peu d’alcool dans le lait maternel, c’est quand même de l’alcool présent. Donc, 0 alcool !
D’ailleurs, ce qu’on voit dans la bd, c’est qu’une bouteille à 3 ne suffit déjà pas, le reste, on n’en sait rien.
On pourrait aussi supposer qu’elle a pris son bébé, après avoir tripoté le kiki du monsieur, sans se nettoyer les mains… et plein d’autres choses du même acabit, va savoir.
Aussi sympas soit-il tous les 3 (4?) au final, tout ça a un petit côté « Triolisme chez les cassos » et Arnaud a bien fait de se barrer.
Ah tu es médecin, Jean-Balthazar ? La Haute Autorité de Santé n’est pas aussi catégorique que toi. L’alcool pour une personne allaitante est certes déconseillé, mais s’il y a consommation d’alcool, cela doit être occasionnel et pas plus de deux verres. (https://www.has-sante.fr/upload/doc…)
À noter que nos « cousins » de Belgique et du Québec préconisent en outre de ne pas donner le sein dans les deux heures après l’ingestion d’alcool et de préférer un biberon de lait maternisé ou de lait maternel préalablement tiré. (https://www.inspq.qc.ca/sites/defau… ; https://www.ssmg.be/wp-content/imag…)
Ne publie pas ce post, c’est une confidence.
Je regrette toutes les conneries et saloperies que j’ai pu penser et écrire, convaincu d’être dans le vrai, alors que j’étais juste sous l’emprise de l’alcool.
En vrai je ne te veux aucun mal et je ne pense rien de spécial de toi. J’ai juste été un saoulard trop longtemps.
Climat incestuel, on ne ramène pas son enfant au milieu d’un plan à trois et on ne l’embrasse pas tendrement après avoir sucé copieusement la bite d’un inconnu. Avoir une vie sexuelle épanouie tout en étant parents : bien sûr ! Exposer son enfant à des scènes de partouzes : un peu moins. Je pige même pas que certains trouvent la réaction du protagoniste exagérée.
Sinon c’est archi-glauque cette b.d. là.
Faire profiter de ses parties de jambes en l’air à ses enfants pose en effet un problème éthique et je crois que dans le cas du pire date d’Arnaud y’a délit d’exhibitionnisme. Le libertinage peut conduire à d’autres libertés bien moins funky.
« on n’embrasse pas tendrement son enfant après avoir copieusement sucé la bite d’un inconnu »
Bienvenue dans les années 50. La mère ou la putain. Je ne me fais pas sucer par la bouche qui embrasse mes enfants alors je vais aux putes. C’est quoi ce cliché d’un autre âge ? Elle a une bouche, elle fait ce qu’elle veut avec, et tant mieux qu’elle embrasse son enfant. Et le fait que la bite soit celle d’un inconnu, mais qu’est-ce que ça change ?!