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Vos pires dates – 8 – Julie
le lundi 15 septembre 2025 à 16h29
Quel gâchis Je parle de lui, qui a gâché cette histoire avec une attitude plutôt infantile et immature. Tu aurais dû lui avouer, effectivement, mais c’est facile à dire pour moi, simple lecteur derrière son écran (et je suis le premier à ne pas oser certaines franchises qui peuvent blesser).
J’ai vécu une histoire à peu près similaire, qui a renforcé chez moi le même principe : « No zob in Job ». Puis j’ai craqué une seconde fois… Et ça a été une aventure fantastique.
En conclusion, les principes, ce sont de bons garde-fous, mais il faut les voir comme des filtres, par comme des murs.
J’ai freeze sur Pepita …. et je n’en suis toujours pas remis
Haha mais MÊME! Même s’il avait dit « foufoune », wadafeuque?? « Ch’était la bonne foufoune à cha mémère cha, oh ben oui elle voulait des gratouilles chette foufounette! »
Utiliser un mot très personnel (même un peu cucul) finalement pourquoi pas, s’adresser à la partie concernée aaadmettons, m’enfin c’est pas un caniche puisque c’est une chatte…
Bon il est un peu débandant à mon goût ce garçon mais y fait pas de mal. Je me demande comment pensent les femmes pour qui ce genre de langage serait pas du tout rebutant, y en a eu au moins une donc (vraie question)
(salut Mélaka, oui je suis totalement une bleue-bite des commentaires mais j’ai l’impression d’avoir passé des années avec toi comme beaucoup qui te lisent, alors bonjour chez toi)
Oh wow c’était si rapide! Plus de validation com par com? Tant mieux si ça s’est tassé 🙂
Alors… oui le no zob in job est une bonne règle générale, après étant entre adultes consentants c’est aux parties prenantes de voir si elles sont prêtes à prendre le risque. Certains métiers s’y prêtent mieux que d’autres hihi (si Julie avait été psy, il n’y aurait eu de la Pépita pour personne !).
J’ai plus été choquée par le refus de dire des gros mots que par tout le reste ! Qu’il les exclue de son propre vocabulaire, soit, mais de là à l’imposer aux autres ça m’aurait bloquée aussi. Et en rajoutant les Pépito et autres Pépita par-dessus, on aurait presque l’impression de rencarder un gamin… qualifier « vulve » et « pénis » de vulgaire, vraiment ?? Ce sont les termes anatomiques !
Mais du coup, au lieu de dire « travailleuse du sexe » ou « prostituée », il faut dire « péripépitaticienne ? »
C’est trop con. Ca avait l’air d’être un type tout à fait correct. Perso, j’en avais un comme ça, je l’ai dévergondé et maintenant c’est par-fait haha !
@Pitchoun : périPepitaticienne, j’adore XD
Effectivement Marc aurai besoin d’être un petit peu dévergondé ^^
> Écoute Marc tu va prendre ta *biiiiip* à deux main et me *biiiiip* la *biiiiip* ensuite je te *biiiiip* la *biiiiip* avec un *biiiiip* dans le *biiiiip* jusqu’à ce qu’on soit tout les deux complètement *biiiiip* !!! Ok ?
( ͡° ͜ʖ ͡°) …. (⊙ _ ⊙ )
No zob in job.
No fesses in business.
Pas de seins au turbin.
No chaleurs in labeur.
No pénis in office.
Pas de pine à l’usine.
les informaticiens y savent pas baiser eu
donc le gars,
à vélo ça palpite,
mais au lit c’est pas une pépite ?
Olalala, c’est bien rédhibitoire tout ça !
Je comprends le malaise à ne pas expliquer. Après, comme disait un ami, si c’est de la critique bienveillante, la réaction en face ne nous appartient pas. On a fait notre « acte moral » sans malveillance. Le reste ne nous regarde pas. Mais soit la personne y réfléchit et effectivement, se remet en question. Soit elle y réfléchit, reste sur sa position tout en étant courtois. Soit encore, n’y réfléchit pas et se vexe.
Et si c’est la dernière option, il faut se dire que ça lui appartient à elle, et pas à nous. Mais c’est plus facile à dire qu’à faire je sais.
@melaka: J’ai comme l’impression que tu n’aimes pas dessiner les vélos. En principe la chaîne est censée relier le pédalier à la roue arrière, sur celui de Julie la chaîne part du pédalier pour aller en avant dans le vide…
LE PEUPLE VEUT DES CHAISES, NON MAIS DADA A LA FIN!!
J’avoue que je vois pas le rapport entre le fait que ça se soit mal passé et la drague au travail… Après dans un contexte de subordinnation employé patronne ouais là c’est toujours un peu touchy ! Je vois vraiment pas en quoi c’est amoral.
Je disais beaucoup de jurons quand j’étais jeune. Merde, fait chier, c’est chiant, bordel. Aucun autre. Jamais putain, trop de respect pour ces femmes. Jamais quelque chose à connotation sexuelle. Mais les quatre que j’avais dans mon vocabulaire étaient présents dans pratiquement chacune de mes phrases.
Jusqu’au jour où à passé 40 ans j’ai rencontré celui qui est devenu mon époux. Il parlait toujours très poliment, il ne m’a jamais reprise sur un de mes jurons, jamais fait une réflexion. Quand je disais « fait chier » il acquiesçait avec bienveillance « oui, tu as raison, c’est très agaçant ».
Je me suis mise à parler poliment, et comme Julie, je trouve que après un petit peu de concentration et d’effort, c’est finalement très agréable de savoir dire les choses sans être grossier 🙂
Perso, l’entre jambe des femmes je le surnomme « petit sourire »
hahaha, j’ai commencé à lire l’histoire, je me suis dit « oh, on dirait trop Julie, mais que devient-elle d’ailleurs ? » Et je vois la signature en bas… 😀 Des bises à Julie !
(hum. Je viens de remonter la page et de voir qu’il est écrit Julie en haut, aussi…)
c’est bien fait pour la gueule (dada) à Julie, en tant que gauchiste elle arrête pas de faire chier (dada) les gens en leur disant à tout bout de champ « ne dis pas ça, on peut croire que c’est raciste », « parle de façon plus inclusive ». Là elle a transgendisé durant quelques heures et est passée dans la peau d’un mec qui arrête pas de se faire reprendre par une gauchiste niaise chaque fois qu’il parle.
C’est vraiment un autre monde les gauchistes, la fille a pense à des trucs totalement hors de propos.
Et au passage utiliser un mail client pour le draguer un délit. Marrant que l’auteur du blog fasse l’apologie de ça alors qu’à côté de ça elle doit être à fond me too. Mais elle est plus à une contradiction près.
C’est un peu particulier… Bon moi, je suis croyante, et je pense que ça m’influence pas mal parce que je n’aime pas les jurons non plus. Mais je ne l’impose pas aux autres.
Et j’aime beaucoup tout ce qui va être dirty talk. Un juron et du dirty talk, ce n’est absolument pas la même chose. Il y a un contexte.
Sans vouloir être agressif ou dans le jugement, comme j’ai pu le lire ici ou là, je reviens juste sur le « un truc complétement illégal selon mes principes ». Je veux juste rappeler que ce n’est pas juste par principe, c’est effectivement illégal. Et même si c’est ici pour amener à quelque chose entre deux adultes consentant, j’ai eu le cas au travail d’un chef ayant récupéré le numéro d’une intérimaire sur son CV pour lui envoyer des SMS louche pendant une semaine. (Bien sûr, aucune sanction pour le chef et l’intérimaire n’a jamais été revue).
Donc oui, attention à ce que vous faites avec vos données clients 🙂 .
Histoire intéressante ! Pour le coup de Pépita, j’aurais plus eu tendance à penser à la chanson pour enfants de Pierre Perret (Ah pourquoi pépita sans répit m’épies-tu) qu’à la sortie raciste, mais c’est bizarre quoi qu’il arrive, c’est tellement random haha !
Je trouve ça cool la remise en question de la fin, que des fois on s’autorise des comportements nuls « mais que vu la situation ça se comprend », là où chez d’autres on les trouverait immondes, indépendamment de la situation. Là le mec est juste cringos, mais il a rien fait de terrible. Et pourtant, ça n’empêche pas de ne pas vouloir aller plus loin
J’ai juste un peu de mal avec le « Maintenant, je décourage toute vélléité de séduction [de la part des clients] », parce que meuf, là, de A à Z, du contact avec les données clients à la sortie vélo au date au bisou au rapport, c’était toi qui a eu des vélléités; dans les faits, c’est plus à toi de te dire qu’à l’avenir tu vas t’auto-décourager plutôt que de vouloir décourager les autres (ce qui est cependant logique aussi) :’)
Mais je pense que c’est plus la tournure de phrase, parce que le « no zob in job » résume bien ça au final
On ne peut avoir que de la compassion vis-à-vis de notre ami chauve, au regard des poncifs gauchiste de cette commerçante aux cheveux et aux idées court.e.s.
Il parait naturel, dès lors, de perdre la tête au point de se résigner à converser avec la vulve de la susnommée, sans aucun doute odorante, mais qui présente le mérite de ne pas vomir des inepties inclusives.
Et que dire de l’utilisation des coordonnées clients afin d’obtenir des faveurs sexuelles, concours idéal d’infraction, caractérisant à la fois le délit de détournement de finalité (226-21 Code pénal) et de harcèlement sexuel (222-33 Code pénal) ?
On ne peut que s’interroger sur les motivations de l’auteur de ce blog, tout aussi chaleureuse qu’inconsistante. Elle et moi savons qu’elle s’offusquerait plus que de raison si le poseur de fibre de chez Free utilisait les coordonnées obtenues de son employeur pour lui proposer d’aller déguster un gyros dans le bouiboui du coin de la rue. Il s’agirait pourtant d’actes identiques à ceux commis par son amie.
Je le concède, l’hypothèse demeurera chimérique, tant on peine à imaginer ce qui pourrait motiver un acte aussi saugrenu ; même de la part du plus désespéré des hommes.
Julie, les lois sont aussi faites pour être transgressées, a suggéré
Spinoza. (non, Wih, pas le fouchtbolleur). Et quel meilleur prétexte qu’un crush pour cela ?
Au « no zob in job », on pourrait ajouter :
« Crushed at work
In bed with a dork »
Dada !
C’est dingue de voir à quel point les commentaires sont odieux.
Les mecs (car ce sont des mecs, évidemment) sont sur le blog de Mélaka, autrice politisée, qui a travaillé sur l’Avenir en Commun, qui a sorti un journal satirique et j’en passe… Et ils sont là à cracher sur à quel point le personnage de Julie est une « gauchiste » et citer le le code pénal pour pleurnicher « gneu gneu et si c’était un mec qui avait récupéré le numéro ?? » et défendre l’honneur des hommes.
Rassure moi Melaka, c’est juste un ou deux mecs qui utilisent des pseudos différents ou bien t’as bel et bien une partie de ta commu qui est comme ça ?
Et surtout : pourquoi ils viennent ici ?
Monsieur Aurel,
Vous m’avez maladroitement calomnié, je regrette que vous n’ayez pas eu l’élémentaire décence de me désigner céans sans ambiguïté aucune.
Quoiqu’il en soit, votre prose me laisse perplexe. Je n’ai que faire des faits d’armes de l’ « autrice » (sic). Quant à la loi, je ne suis guère positiviste, il s’est simplement agit de rappeler à l’auteur de ce blog ses contradictions les plus élémentaires, textes à l’appui.
Mais ces considérations persisteront à vous échapper, je le crains.
Assez coquasse de voir des leçons de droits assénées par un certains monsieur tout en se permettant d’émettre des commentaires infamants sur les idées et sur l’entrejambe de la protagoniste de l’histoire caractérisant ainsi de la diffamation (621-1 code pénal).
Je ne suis aussi guère positiviste, il s’est simplement agit de rappeler à l’auteur du commentaire ses contradictions les plus élémentaires, texte à l’appui :).
Cher Monsieur Maug,
Contrairement à vos pretentions, je ne suis pas certain que la 17e chambre considérerait qu’avoir l’entrejambe odorante porte atteinte à l’honneur et à la considération, d’autant moins compte tenu de l’exceptio veritatis.
Hélas pour vous, n’est pas juriste qui veut. Vous pouvez même reprendre mes propos à votre compte et saisir l’Avocat général si une démonstration pratique, à vos frais, vous tente.
Quant au reste de votre message, « pathétique » serait un qualificatif encore trop gratifiant. Je crains qu’il ne vous disqualifie de toute réponse de ma part.
> Maug
En postant le commentaire j’ai immédiatement eu la réponse à ma question : Mélaka a enlevé la validation manuelle. Cela permet à quelques (genre deux max) types de venir troller en permanence avec des propos réacs qui sentent bon le vieux gars frustré. Quand ils voient que ça réagit, ça fait mousser le bout de leur kiki.
Et là j’ai l’impression que ça mousse drôlement du côté du Pépito de SirAlphonchiotte, fais gaffe à ton clavier mon gars, tu vas le noyer !
Le design du gars… On dirait Lewis Trondheim xD
Monsieur Maug,
Je vous ai déjà gratifié d’une réponse, qui n’a malheureusement pas été publiée. Refusant de croire à une quelconque forme de censure sur le présent site, j’imagine que la cause en est mon réseau privé virtuel. Entre le risque de voir ressurgir ce message et l’impérieuse nécessité de vous faire parvenir ce qui sera l’ultime correspondance à l’endroit de votre triste personne, je prends mes responsabilités et entreprends de tenter, à nouveau, de vous éclairer.
Ainsi, et avec toute la patience requise par les individus de votre acabit, je vous informe qu’il est fort doutable qu’un soupçon d’odeur vaginale et de vacuité intellectuelle puisse porter atteinte à l’honneur et à la considération de la dévergondée faisant office d’héroïne d’un jour de la planche qui a été commise en ce début de semaine, d’autant plus qu’il est loisible à l’auteur de ces lignes d’invoquer l’exceptio veritatis.
En somme, un âne ne s’improvise pas juriste, mon cher Monsieur.
Pour ce qui est du reste de vos élucubrations, le qualificatif « pathétique » peine à englober l’entièreté de ma pensée. Il demeure le plus à propos, tant vous vous êtes disqualifié, par vos ineptie, de toute forme de réponse de ma part, au delà du présent message électronique.
OK les enfants, je suis revenue chez moi et j’ai remis la validation.
On arrête de se bouffer le nez, ça emmerde tout le monde.
Et les gens qui ramènent tout à « vous les gauchistes », c’est bon, vous avez eu tout le loisir de vous étaler dans la note précédente, je repasse en mode totalitarisme bisounours, tout propos trop agressif, je publie pas, c’est clair ?
Bisous chez vous, vive l’amour !
Ok Mélaka, je ne vais pas répondre au triste sir. De toute façon, je pense que je l’ai vexé en pointant tout simplement ses contradictions :).
Néanmoins pour ceux que la fin de l’histoire sur l’aspect juridique intéressent.
Un juge le cas échéant prendrai en compte le contexte et la volonté associées au message. L’exception de vérité ne saurait être retenue si le but des propos sont de ridiculiser ou stigmatiser la protagoniste caractérisant ainsi la diffamation.
Mais trop de personnes jouent avec des concepts qu’ils ne maitrisent pas.
Pour la peine je propose un grand goûter avec biscuits Pépito : https://www.lu.fr/produits
…et soda Pepita : https://www.pepita.ch/
On baise mieux le ventre plein !
Oui, on veut une dictature du love ici ! 😛
Et des pires dates ! Et des pepito pepita (ouais enfin non, c’est quand même un peu cringe ^^’).
J’avoue j’ai quand même songé à un potentiel trauma passé sur le sujet pour ce monsieur, j’espère pour lui qu’on n’est vraiment que sur un sujet léger de vocabulaire…. :/
Non, on veut une dictature des chaises !
Cela me rappelle une ancienne amie, qui se gaussait du caractère coincé de Flanders des Simpsons, rigolait des bigotes qui culpabilisent pour avoir rien que fait un rêve humide et… qui se comportait exactement comme ces mêmes bigotes, les sujets étaient juste différents.
Bloquer pour « Pépita et pépito », c’est pareil que celle qui se prive de relation parce que son partenaire a eu un mot qui *pourrait* se révéler blasphématoire. Les religions varient mais elles sont toutes aussi crétines les unes et les autres. On est bien loin des années 60 et 80…
Greg Tabibian dans une de ses interventions avait annoncé « l’humour et le cul sont passés à droite ». Cette histoire n’en est qu’une énième illustration.
Sans vouloir être négatif, la tirade sur la pépita m’aurait cryogénisée la libido pour quelques mois, je pense. (Si c’est votre kink mutuellement consenti, méprisez mon com et éclatez-vous, évidemment)
Je ne sais absolument pas pourquoi, mais il y a un truc malaisant qui me fait un peu penser à Roland Topor dans les expressions « dada »/ »pépito » péremptoire. (et pourtant j’ai pas vu « Marquis », juste Téléchat)
@psycho: C’est fou d’insinuer une pudibonderie de la part de Julie quand elle fait juste état de ses préférences et le précise bien dans l’épilogue: Tout est bon pour appliquer une grille de lecture confusioniste (faire état de ses préférences=sectarisme religieux) à n’importe quoi.
Greg Tabibian est un polémiste réac. L’exploitation « maintenant c’est la droite qui est la gauche » en partant à la cueillette de cerises anecdotique et HS, c’est tout un écosystème sur youtube.
rho tu fais chier avec les blocages, j’avais ramené de la jolie musique pour les fafs
https://www.youtube.com/watch?v=c-X…
Cher Monsieur psycho,
Je vous adresse le présent commentaire pour vous signifier l’entière adhésion de ma personne à vos propos. Utiliser le mauvais pronom, ou bien associer n’importe quel qualificatif, fût-il neutre, à l’une quelconque des ethnies composant notre vaste Monde (à l’exception de deux ou trois que je vous laisse deviner), nous vaut aujourd’hui les fourches de l’Inquisition.
Preuve en est ici avec la simple évocation du pseudonyme d’une présentatrice de couleur et les réactions disproportionnées de la protagoniste de cette BD, ainsi que de certains de nos amis en commentaires, dont je n’ai aucun doute sur la couleur de peau.
L’humour, s’il ne bouleverse pas un minimum l’ordre établi, n’est pas de l’humour. Il en résulte qu’aujourd’hui, l’humour ne peut pas être de gauche.
Debout à 4 h du mat. à cause d’une connerie de vieux (non, pas la prostate !, plutôt le châssis qui se fait la malle… vous verrez quand vous approcherez la 50 taine, p’tits cons…), j’en profite pour aller voir ce qui se passe sur le MeeToo du date.
D’abord, merci Melaka d’avoir viré les haters à la noix. On respire du coup beaucoup mieux. Ensuite, les 2 posts quasi simultanés, psycho et c’était machin/e, et contradictoire, sont en phase avec quelques questions que le blog me fait me poser.
Je suppose que le cul, le mien en tout, n’est ni de droite ni de gauche, il est juste là où tu le poses, pour t’asseoir où autre, contrairement à l’amour, quelque soit sa forme, qui lui, comme l’humour, est forcément de gauche. Le problème, c’est qu’on confond humour et ironie qui, elle, n’est jamais, ou trop souvent, que l’expression de la haine qui s’amuse.
Le problème, contrairement à ce que dit Greg Taliban, c’est pas que l’humour et cul soit passés à droite, c’est que beaucoup de curés « de gauche mais pas que » se sentent comme des poissons dans l’eau dans la vague « moralisatrice » actuelle (ouais, je mets des guillemets partout, je vais me recoucher et j’ai pas envie de me prendre la tête à trouver l’expression politiquement correcque). Allez, je calte me repieuter…. j’espère que ce fdp de correcteur automatique a pas trop fait le con.
Dada, pépita, pépito… Mais c’est mimi, c’est rigolo tout plein, je peux comprendre que ça soit tue-l’amour, mais à quoi bon flipper comme ça, il y’a rien de glauque là dedans. Au contraire c’est tendre, à chacun sa fantaisie. Pauvre Marc.
Dommage, ils avaient l’air d’être fait l’un pour l’autre les deux loustics. Tout ça pour une histoire de « pepita »… En plus c’est le nom de mon chien (enfin chienne). Euh c’est raciste du coup ?
Bah façon les admin-sys, c’est des devs contrariés.
#LeTauntGratos
#EnCeMomentCestLesVendangesJePeuxPasFairePlus
#EtPuisOnSenTapeCaDateDelaSemaineDerniere
« Dada » … Ça serait pas un horrible juron en Saturnien hyperboréen? Mais quelle indignité, quelle vulgarité, ce type !
M’a bien fait rigoler ce c0n.
Bon, tue l’amour absolu. Je comprends le besoin de politesse mais l’intégrisme du vocabulaire m’embrenne.
Remarque, si Julie l’avait saturé de jurons, à force de dire dadadadadada.. il aurait pu faire un excellent vibromasseur.