avatar Des petits cris dans la nuit.

Bonjour !

Voici la deuxième histoire. Je sais, ça fait pas tout à fait une semaine que j’ai posté l’autre, mais dorénavant, on va dire que la nouvelle BD des Mélakarnets, c’est le lundi. Ça vous va ?

 

Gudule

Commentaires

1. Le lundi 1 août 2016, 12h27 par Castor tillon

Haha ! Ces solitudes sont toutes plus marrantes les unes que les autres ! Gudule, une femme pleine d’amour qui ne se prenait pas au sérieux.
Très belle restitution, bravo Mélanie. Je sens que je vais attendre le lundi comme on attend le printemps.

2. Le lundi 1 août 2016, 14h09 par Catherine R

Yesss ! ça dépote ! (terme approprié à ton actualité jardinesque..)
Le lundi c’est parfait : une belle façon de commencer la semaine !!

3. Le lundi 1 août 2016, 14h12 par Castor tillon

Sur le mobile, y a un chat dessiné par Gudule, et un bonhomme à gros pif de Carali^^

4. Le lundi 1 août 2016, 15h54 par melaka

Huhuh je ne doutais pas que ta capacité d’observation dénicherait tout de suite ces détails, Castor !

5. Le lundi 1 août 2016, 21h14 par Youpi

Ce qui me fait le plus rire c’est le « attendez-moi, j’arrive! ». D’ici à ce qu’ils l’aient pris pour une proposition de triolisme… 😀

6. Le mardi 2 août 2016, 11h19 par lolobobo

C’est rigolo ou embarrassant au choix, mais il m’est arrivé exactement la même histoire a l’époque ou ma fille était toute petite et ou le manque de sommeil se faisait sentir 🙂

7. Le mardi 9 août 2016, 1h08 par N.

Sans offense, mais j’ai lu l’histoire d’origine.

Ce n’est pas très sympa la manière dont elle parle de la compagne de l’invité qui, dans son texte, est décrite comme une simple godiche « levée pour l’occasion ».

Je ne sais pas, je trouvais ces anecdotes mignonnes mais c’est quand même un peu chaud niveau sexisme ambiant non ?

8. Le mardi 9 août 2016, 16h06 par Castor tillon

@ N. : taxer Gudule ou Mélaka de sexisme, c’est comme concéder de l’empathie à Gœbbels. Vous avez mal lu le texte d’origine qui disait : « Michel P., un copain dessinateur, était venu passer le réveillon avec nous, en compagnie d’une créature de rêve qu’il avait levée pour l’occasion. »
Une créature de rêve. Pas une simple godiche.

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