Héhé j’espérais bien que des tintinophiles de passage auraient des palpitations en lisant cette histoire ! 😀
Et non, effectivement, de ce que j’en sais, nous n’en avons plus trace…
4.
Le lundi 12 décembre 2016, 13h20 par Matendouce
Comme quoi la BD est bien ancrée dans la famille, avec un grand-père collaborateur d’un temps d’Hergé… 🙂 On ne se rend pas bien compte parfois de l’or qu’on a dans les mains…
Maintenant on découperait la dédicace pour la mettre en vente sur un site d’enchère… ce qui est pire 🙂
bah qui sait, ces albums réapparaitront peut-être un jour d’un fond de carton 😀 On en trouve des choses étonnantes, dans les déménagements de famille…
Comme Prof, j’ai bien rigolé à « Dédicacé, c’est plus difficile à vendre ». Mais c’est logique : à l’époque, les BD n’étaient pas considérées comme de l’art*, et l’idée qu’une BD rare puisse avoir de la valeur ne devait même pas être envisageable**. C’est amusant de replonger dans une telle époque, surréaliste aujourd’hui.
* Vous me direz que ce n’est pas forcément le cas encore aujourd’hui ;-), et que la BD a parfois du mal à être reconnue. Certes, mais globalement si, quand même. La preuve : le marché des éditions originales atteint parfois des sommes impressionnantes.
** Dès les années 70, il semble que les collectionneurs de BD aient commencé à changer la donne. J’ai été frappé, en relisant l’un des premiers numéros du « Trombone illustré » (1977), que Delporte y écrivait (sous le pseudo de Jules-de-chez-Smith-en-face) que les auteurs de ce supplément foutraque, iconoclaste et formidable (et hélas éphémère) au journal de Spirou refusaient de voir leur amusement devenir pièce de collection. Avec une intuition incroyable (puisqu’à l’époque rien ne laissait penser que cette irrévérence potache allait devenir mythique), Delporte enjoignait les lecteurs de ne PAS le collectionner, mais de le lire, de l’abîmer, de le froisser, de le jeter, bref, d’en faire un objet de vie et pas un objet de culte. Preuve que la dérive collectionnite était déjà en route dans les années 70. Mais c’est très postérieur à l’époque évoquée ici.
9.
Le lundi 12 décembre 2016, 22h38 par Chris Dufaun
Je ne suis pas Tintinophile, mais WHAAAAAAT?! Tenter de troquer des Tintin ?! Et les perdre alors qu’il valent tous une petite fortune… AarGh… !
C’est comme avoir un coffre au au trésor et de se dire: « Ah tiens, je vais vider cette vieillerie pleine de cacailles et mettre des pièces en chocolat dedans! »
Bon, chez moi on fait pas mieux: à la mort de mon grand-père maternel, des types, venu faire le « ménage », on fait partir en fumée des paquets de vieux Spirou car ils étaient proprement empaquetés et conservés dans du journal… c’est dans ces moments-là qu’on regrette de ne pas avoir de Retourneur de Temps *snirf*
10.
Le lundi 12 décembre 2016, 23h10 par Castor tillon
C’est une très belle planche. Et je préfère son personnage à celui de Hergé. Mélaka est mon héroïne.
11.
Le lundi 12 décembre 2016, 23h19 par Castor tillon
14.
Le mercredi 14 décembre 2016, 11h58 par batojône
« Du passé faisons table rase » … 🙂
15.
Le mercredi 14 décembre 2016, 21h06 par Giallo
J’ai cru m’évanouir en lisant cette planche… Tout cet or en barre de perdu…
16.
Le vendredi 16 décembre 2016, 19h18 par Farenheid
Formidable cette série… Une question: tu dessines ta maman à différentes époques de sa vie… As-tu des photos ou est-ce sur description, ou même extrapolé ?
J’ai des photos. Il y a des extrapolations, sur ses coiffures ou ses vêtements, mais en gros j’ai des photos d’elle et de sa famille à différentes époques de sa vie ; à son décès, j’ai récupéré tous ses albums…
18.
Le jeudi 22 décembre 2016, 1h52 par thomas thierry
Sans dec, avec ses livres, tu serais en retraite en les revendant! dommage……
Tintin
Mon coeur s’est arrêté de battre 1/2 seconde quand j’ai lu « crrr… »
Nan mais sérieux? Vous les avez JAMAIS retrouvés? Personne? Oo
Quand on sait la valeur que ça a aujourd’hui, c’est à ce manger les C*******
Héhé j’espérais bien que des tintinophiles de passage auraient des palpitations en lisant cette histoire ! 😀
Et non, effectivement, de ce que j’en sais, nous n’en avons plus trace…
Impressionnant l’arrière grand père ! Comme sur cet article de presse: http://files.lalicorne.webnode.fr/2…
J’avoue: moi aussi j’ai eu peur comme le premier commentateur! 😀
« Dédicacé, c’est plus difficile à vendre… » hahaha !
Comme quoi la BD est bien ancrée dans la famille, avec un grand-père collaborateur d’un temps d’Hergé… 🙂 On ne se rend pas bien compte parfois de l’or qu’on a dans les mains…
Maintenant on découperait la dédicace pour la mettre en vente sur un site d’enchère… ce qui est pire 🙂
bah qui sait, ces albums réapparaitront peut-être un jour d’un fond de carton 😀 On en trouve des choses étonnantes, dans les déménagements de famille…
Comme Prof, j’ai bien rigolé à « Dédicacé, c’est plus difficile à vendre ». Mais c’est logique : à l’époque, les BD n’étaient pas considérées comme de l’art*, et l’idée qu’une BD rare puisse avoir de la valeur ne devait même pas être envisageable**. C’est amusant de replonger dans une telle époque, surréaliste aujourd’hui.
* Vous me direz que ce n’est pas forcément le cas encore aujourd’hui ;-), et que la BD a parfois du mal à être reconnue. Certes, mais globalement si, quand même. La preuve : le marché des éditions originales atteint parfois des sommes impressionnantes.
** Dès les années 70, il semble que les collectionneurs de BD aient commencé à changer la donne. J’ai été frappé, en relisant l’un des premiers numéros du « Trombone illustré » (1977), que Delporte y écrivait (sous le pseudo de Jules-de-chez-Smith-en-face) que les auteurs de ce supplément foutraque, iconoclaste et formidable (et hélas éphémère) au journal de Spirou refusaient de voir leur amusement devenir pièce de collection. Avec une intuition incroyable (puisqu’à l’époque rien ne laissait penser que cette irrévérence potache allait devenir mythique), Delporte enjoignait les lecteurs de ne PAS le collectionner, mais de le lire, de l’abîmer, de le froisser, de le jeter, bref, d’en faire un objet de vie et pas un objet de culte. Preuve que la dérive collectionnite était déjà en route dans les années 70. Mais c’est très postérieur à l’époque évoquée ici.
Je ne suis pas Tintinophile, mais WHAAAAAAT?! Tenter de troquer des Tintin ?! Et les perdre alors qu’il valent tous une petite fortune… AarGh… !
C’est comme avoir un coffre au au trésor et de se dire: « Ah tiens, je vais vider cette vieillerie pleine de cacailles et mettre des pièces en chocolat dedans! »
Bon, chez moi on fait pas mieux: à la mort de mon grand-père maternel, des types, venu faire le « ménage », on fait partir en fumée des paquets de vieux Spirou car ils étaient proprement empaquetés et conservés dans du journal… c’est dans ces moments-là qu’on regrette de ne pas avoir de Retourneur de Temps *snirf*
C’est une très belle planche. Et je préfère son personnage à celui de Hergé. Mélaka est mon héroïne.
Tronchet aussi, c’est un sérieux concurrent :
http://nsm08.casimages.com/img/2016…
« C’est quand on meurt de faim qu’on s’aperçoit que l’or ne se mange pas. »
L’or des collectionneurs ne nourrit pas l’esprit qui a faim de culture.
Ça me fend le cœur !
« Du passé faisons table rase » … 🙂
J’ai cru m’évanouir en lisant cette planche… Tout cet or en barre de perdu…
Formidable cette série… Une question: tu dessines ta maman à différentes époques de sa vie… As-tu des photos ou est-ce sur description, ou même extrapolé ?
J’ai des photos. Il y a des extrapolations, sur ses coiffures ou ses vêtements, mais en gros j’ai des photos d’elle et de sa famille à différentes époques de sa vie ; à son décès, j’ai récupéré tous ses albums…
Sans dec, avec ses livres, tu serais en retraite en les revendant! dommage……
Rhââa le mec qui a fait la maquette de la licorne de Tintin c’était ton grand-père ?
La classe !