avatar Angougou forever

youpla ! enoooOOoormément de taf, en ce moment, les copains… alors, pour faire des notes quotidiennes, hein, ben c’est pas facile. Heureusement, Soulman m’a scanné la deux de couv de son exemplaire de « Romain », ce qui se passe de commentaire et me permet d’aller me coucher… bonne nuit !

Commentaires

1. Le dimanche 29 mars 2020, 1h00 par Pata

J’étais déjà passée, en mode aléatoire autant qu’incognito ; me revoici dans une version insomniaque et angoissée qui me pousse à te laisser ces quelques mots :

Merci.
Pour la dédicace, et pour l’album que tu as créé et que je pressent magnifique.

Je ne l’ai pas ouvert encore (enfin, si, bien sûr, sinon je n’aurais pas vu la dite dédicace !) mais je trouve la démarche si belle.
Et touchante, tellement.

(Alors qu’est-ce que ce sera quand je l’aurai refermé !)

Je reviendrai pour en parler ; ici, aux origines 😉
Parce que c’est là d’où je viens et où ton bel ouvrage va me ramener.

A ta maman, que je n’ai pas connu mais dont bien des situations m’ont fait m’y reconnaitre.
J’ai hâte, même si paradoxalement, j’ai le trac

2. Le mercredi 15 avril 2020, 2h00 par Pata

J’avais dit avoir le trac à l’ouvrir, ta BD…
J’ai eu un mal fou à la refermer surtout.

Je ne sais pas quoi dire pour rendre hommage à la justesse et à la tendresse dont tu as fait preuve.
Bravo est un mot indécent…
Le meilleur compliment que je puisse te faire est ce simple compte rendu : je me mouche au PQ et j’ai le regret d’avoir fermé le livre.
Un regret teinté de soulagement, parce que oui, ta description de la fin de votre histoire est d’une insoutenable justesse.
Tu as été une fille exceptionnelle pour l’accompagner ; avant, pendant et après.
Condoléances et profond respect.

Et merci, c’est beau une relation mère fille comme la vôtre 🙂

3. Le dimanche 19 avril 2020, 0h35 par Pata

Bla, bla, bla…
Je me suis remise ceci dit, de la claque de ma lecture.
Et j’ai enchaîné sur la relecture du Bel été juste après, dont la fin est moins lourde que celles de tes bulles (qui n’auront jamais moins bien porté leur nom, tant elles étaient pesantes -ce qui, vu les circonstances est un compliment !).

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